Luis Rosenwaldimpérialiste de la Rose
‹ MESSAGES : 1342
‹ PSEUDO : bigbadwolf, lise.
‹ FACE & CREDITS : dylan o'brien / bbw + sign. tumblr/halsey
‹ ÂGE DU PERSONNAGE : 25 ans depuis le 14 mai.
‹ STATUT CIVIL : Marié à Aloisia Freidrich, devenue Rosenwald. Cependant le brun n'est pas fidèle. Une rumeur court d'ailleurs à ce sujet, mais elle reste à l'état de rumeur car personne n'a de preuves. En effet, Luis est assez persuasif pour éviter que les autres ne parlent.
‹ STATUT DU SANG : Pur, il serait inconscient d'en douter. Ses capacités magiques démontrent de son sang pourpre, qui coule dans ses veines.
‹ OCCUPATION : Prince héritier à plein temps, exerçant le métier d'avocat principalement parce que c'est amusant. Ambitieux, Luis est incapable de ne pas travailler. Même si il n'exerce plus autant qu'il le voudrait, il a aime retourner au bureau pour s'occuper de quelques richissimes sorciers capables de se payer ses services.
‹ SCOLARITÉ : Goldadler, bien sûr, dans le pavillion des purs. Très bon étudiant, il n'a jamais raté dans une seule branche.
‹ ALLÉGEANCE : A sa famille, à sa mère, à lui-même.
‹ LOCALISATION : Berlin.
‹ INVENTAIRE : Son téléphone portable (qu'il déteste), un portefeuille qui ne le quitte jamais et son alliance, bien sûr, qu'il ne retire jamais.
‹ COMPÉTENCES : charisme (niv. 2), leadership (niv. 1), cruauté (niv. 2)
| Sujet: Re: ( hits you hard, leaves slow, comes back fast. ) ft. lukas rosenwald Mer 7 Sep - 1:14 | |
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Even when you know Hits you hard, Leaves slow, comes back fast When you can't take You don't swallow your pain Been around once It'll be around again ft/Lukas Rosenwald « Ne t’excuse pas. » répliqua Lukas, du tac-o-tac. Luis planta son regard dans le sien, le défiant presque. Il attendit la suite, taciturne comme toujours. « Nous sommes deux. Tu n’as pas à t’excuser pour quelque chose qu’on a fait tous les deux. » Luis ne bougea pas, tenta de retrouver contenance et agissait comme il l'avait toujours fait : il restait immobile, ne montrait pas ce qu'il ressentait. Mais c'était plus simple quand il ne ressentait tout simplement pas. Le brun hocha simplement la tête, doucement. « Certes. » souffla-t-il. Lukas avait raison, ils étaient deux, mais c'était lui qui avait initié le mouvement. Si il ne l'avait pas fait, Lukas n'aurait pas eu à le repousser pour l'éloigner. Alors que Luis croyait que son frère avait la même tare au fond de son être, il se rendait compte qu'il était le seul à sombrer à cause d'elle. Luis avait du mal à supporter cette situation, parce qu'elle lui échappait totalement et parce que Lukas se maitrisait bien mieux que lui. Habitué à avoir une meilleure image générale que son cadet, il n'arrivait pas à se faire à l'idée que Lukas le surpassait pour ça. Sa fierté lui revenait en pleine face, comme un mauvais retour de boomerang et Luis y trouva un moyen de vouloir s’éloigner de Lukas. Il devait réussir à se détacher aussi facilement que son cadet, à le surpasser à nouveau, même. « Tu… tu devrais aller voir Tomas. » Luis fut surpris par cette proposition, son visage le montra une seconde avant qu’il ne se refasse une contenance, et affiche une indifférence morne. « Tu m’as aidé à tout régler, et je t’appellerai si j’ai du nouveau. » Luka était agité de ses habituels tics, lié à un manque de concentration qu’il connaissait chez son jumeau. L’ainé observa un instant le manège des mains du médecin, avant de remonter son regard et de le verrouiller à ses iris. Il y vit une détermination qui rassura l’héritier. Si Lukas pouvait le faire, il devait le faire aussi. Alors, formel, il hocha la tête, glissa ses doigts sur sa bouche comme pour effacer toute trace de leur écartade et désigna le bloc-notes sur le bureau de son cadet. « Ne jette pas mes notes, elles te serviront si tu as des soucis. » Luis se retourna et posa sa main sur la poignée de la porte pour l’ouvrir, ce qu’il fit, avant de se tourner vers Lukas. « Si elle porte plainte, tu viens me voir moi Lukas. Moi, seulement, n’implique pas d’autres avocats dans cette affaire. » C’était un ordre, presque, mais une demande aussi. Il ne voulait pas qu’un autre avocat puisse s’occuper de son frère. Il n’avait pas confiance en ses collègues. Trop peur que d’autres, moins doués ou moins attachés au brun ne le fasse aller en prison, ou lui fasse perdre son boulot. Luis sortit de la pièce, il quitta le palais d’un pas vif et pressé, et une fois chez son amant, s’empara de ses lèvres, furieusement, et de son corps, et de ses soupires, et de son précieux temps qu’il ne devait accorder qu’à un prince malade de désir pour le seul être qu’il ne pouvait avoir.
rp terminé
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