‹ STATUT CIVIL : Marié à Aloisia Freidrich, devenue Rosenwald. Cependant le brun n'est pas fidèle. Une rumeur court d'ailleurs à ce sujet, mais elle reste à l'état de rumeur car personne n'a de preuves. En effet, Luis est assez persuasif pour éviter que les autres ne parlent.
‹ STATUT DU SANG : Pur, il serait inconscient d'en douter. Ses capacités magiques démontrent de son sang pourpre, qui coule dans ses veines.
‹ OCCUPATION : Prince héritier à plein temps, exerçant le métier d'avocat principalement parce que c'est amusant. Ambitieux, Luis est incapable de ne pas travailler. Même si il n'exerce plus autant qu'il le voudrait, il a aime retourner au bureau pour s'occuper de quelques richissimes sorciers capables de se payer ses services.
‹ SCOLARITÉ : Goldadler, bien sûr, dans le pavillion des purs. Très bon étudiant, il n'a jamais raté dans une seule branche.
‹ ALLÉGEANCE : A sa famille, à sa mère, à lui-même.
‹ LOCALISATION : Berlin.
‹ INVENTAIRE : Son téléphone portable (qu'il déteste), un portefeuille qui ne le quitte jamais et son alliance, bien sûr, qu'il ne retire jamais.
Sujet: ( the future starts slow. ) ft. aloisia rosenwald Lun 15 Aoû - 13:00
the future starts slow ft/Aloisia Rosenwald
Ca faisait des heures et des heures et des heures qu’il travaillait sans relâche. Dehors, la nuit était tombée. Sa femme lui avait fait apporter son repas dans le bureau, qu’elle savait qu’il ne quittait pas, et Lena était venue lui souhaiter une bonne nuit, avec sa bonne. Le jeune père avait pris sa fille sur ses genoux, lui avait embrassé le front et l’avait laissée partir en ne la quittant pas des yeux, jusqu’à ce que la porte se referme. Il avait mangé le plat qu’on lui avait apporté, et avait laissé l’assiette sur le bord d’un meuble, jusqu’à ce qu’un domestique vienne le rechercher. Les dossiers étaient étalés devant lui sans qu’il ne sache trouver la moindre piste. Il perdait doucement espoir, même si il n’en avait pas le droit. Pour Aloisia, pour Lena, pour sa tante et pour le reste des Freidrich il devait continuer, jusqu’à trouver. Lukas et Helmina avaient tenté de le raisonner : en vain. Luis était un homme déterminé, et têtu. Finalement, le soleil s’était couché depuis longtemps quand il se leva, et s’étira. Il consituta quelques piles bien rangées de ses dossiers et sortit de la pièce avant de la verrouiller à clé. L’objet métallique tomba au fond de la poche de son pantalon, et il se rendit dans la chambre qu’il partageait avec la jolie rousse. Luis poussa la porte, et vit qu’Aloisia était déjà sous les couvertures. Le brun lui lança un léger sourire et s’approcha d’elle, il se pencha pour poser un baiser sur ses lèvres. Même sans amour, sans véritable amour, il se comportait dans l’intimité avec sa femme comme un homme devait le faire. « Tu devrais dormir depuis longtemps. » Fit-il en la regardant. Elle l’attendait, ce n’était pas la première nuit qu’elle l’attendait. Il se demandait si elle arriverait à dormir sans lui, désormais. Et Luis n’avait plus quitté le lit conjugal depuis l’annonce de la mort de la famille de sa femme. Il ne pouvait pas s’y résoudre, trop effrayé que ça arrive à nouveau, chez lui, pendant qu’il était ailleurs. Le brun soupira en se redressant, il était épuisé. La fatigue mentale pesait sur ses épaules et ne lui laissait de toute façon plus assez d’énergie pour qu’il veuille aller voir ailleurs. Il retira sa chemise, et la pendit sur un cintre. Luis était différent de son jumeau sur ce point en particulier : il ne supportait pas le désordre. Et même si sa fille était encore très jeune, il tentait déjà de lui inculquer cette valeur, que Liliana n’aurait (avec chance) que si Liséa la lui inculquait, car Lukas était l’être le plus bordélique que Luis connaissait. « Je ne travaillerai pas ici demain. » Fit-il en se tournant vers elle, le cintre avec sa chemise toujours entre ses mains. Ils avaient un dressing juxtaposé à leur chambre, et Luis s’y rendit avec sa chemise, qu’il pendit sur un portant de vêtements déjà portés une fois. De là, il continua. « Ca ne sert à rien de fouiller les archives d’anciennes affaires, quoi qu’en dise ma mère, je pense qu’il faut chercher sur le terrain. » Ce qui n’était absolument pas son domaine d’application. Lui était avocat, il devait attendre qu’on lui fournisse les diverses preuves, afin de choisir comme défendre sa partie. Bien sûr, si procès il devait y avoir, il exigerait de défendre les Freidrich – ou ce qu’il en restait – devant la cour de justice impériale.
Aloisia Rosenwaldimpérialiste de la Rose
‹ MESSAGES : 468
‹ PSEUDO : flyingsquirrel. (maëlle)
‹ FACE & CREDITS : holland roden. (hepburns)
‹ MULTICOMPTES : andreas le plus beau.
‹ ÂGE DU PERSONNAGE : elle effleure les trois décennies du bout des doigts. vingt-huit ans, un âge vêtu d'une grande signification à ses yeux. une année qu'elle n'oubliera pas.
‹ STATUT CIVIL : l'alliance à son doigt la lie pour la vie à luis rosenwald. mariée depuis quatre ans au futur empereur, on ne peut pas dire qu'ils s'aiment d'un amour fou, mais forment un duo très soudé. cependant il n'est pas rare qu'aloisia ne se perde dans les draps d'un autre.
‹ STATUT DU SANG : son sang est pur et il ne pourrait pas en être autrement.
‹ OCCUPATION : aloisia est juge et ce depuis quelques années. c'est elle qui fait et défait des vies, qui décide qui est coupable et qui ne l'est pas.
‹ SCOLARITÉ : diplômée de goldadler depuis une dizaine d'années, aloisia était une étudiante qui excellait dans tous les domaines.
‹ ALLÉGEANCE : son allégeance va au rosenwald et de ce fait à l'impératrice. ça a toujours été une évidence pour aloisia, qui a été élevée avec les valeurs de l'empire.
Sujet: Re: ( the future starts slow. ) ft. aloisia rosenwald Lun 15 Aoû - 22:17
the future starts slow
this pain inside just won't go away
Elle détestait être seule. Depuis que tout ça était arrivé, elle ne supportait plus la solitude. Le silence l'oppressait, lui rappelant douloureusement cette matinée, il y a quelques semaines. Elle n'en avait parlé à personne. Admettre à elle-même sa propre faiblesse avait déjà été suffisamment difficile, personne d'autre n'avait besoin de savoir qu'Aloisia Rosenwald n'allait pas bien. Elle avait bien vu, dans leurs regards, que tout le monde attendait qu'elle s'effondre à la moindre sortie publique. On l'observait comme si elle allait fondre en larmes à n'importe quel moment. Lorsqu'elle marchait dans les couloirs, les employés lui jetaient des regards compatissants. Les autres familles pures la regardaient avec pitié. Et elle haïssait tout ça. Depuis plusieurs jours, la tristesse avait laissé place à la colère. C'était la convalescence logique lorsqu'il s'agissait d'un deuil. Aloisia était habitée par une rage qui ne lui était pas familière. Quelque chose de nouveau s'était éveillé en elle avec ce massacre et elle avait l'intention de ne pas la laisser s'éteindre. Aloisia essayait de se concentrer sur le livre qu'elle était en train de lire, mais elle n'y arrivait pas. Son regard dériva vers l'autre côté du lit qui était vide. Il était tard et Luis n'était toujours pas venu la rejoindre. Même si elle savait qu'il était dans son bureau, qu'il n'était pas loin, elle n'était pas rassurée. Bientôt, la porte de leur chambre à coucher s'ouvrit sur un Luis qui avait l'air fatigué. La jeune femme posa son livre sur la table de chevet, tandis que son mari venait déposer un baiser sur ses lèvres. « Tu devrais dormir depuis longtemps. » La rousse haussa les épaules. « Je n'étais pas fatiguée. » Un mensonge, et Luis le savait probablement, mais c'était plus fort qu'elle. Elle ne souhaitait pas ajouter ceci à toutes les choses qui préoccupaient déjà son mari. En réalité, Aloisia n'arrivait pas à dormir lorsqu'elle était seule. Elle ne réussissait à trouver le sommeil que lorsqu'elle sentait la chaleur réconfortante de Luis près d'elle. « Je ne travaillerai pas ici demain. » Elle le suivit du regard jusqu'à ce qu'il disparaisse dans leur dressing. Depuis l'incendie, Aloisia ne travaillait plus. On lui avait accordé un congé, pour circonstances exceptionnelles. Mais la jeune femme commençait à tourner en rond au sein du palais. Au contraire, Luis se tuait à la tâche, essayant de découvrir qui était derrière le meurtre de sa famille. Elle lui en était reconnaissante, mais s'inquiétait pour lui, qui passait bien trop d'heures enfermé dans son bureau. « Ça ne sert à rien de fouiller les archives d’anciennes affaires, quoi qu’en dise ma mère, je pense qu’il faut chercher sur le terrain. » Aloisia se redressa dans le lit, soudainement bien plus tendue. La mention de son ancienne demeure, du château familial, ne faisait que réveiller le ressentiment de la jeune femme. Elle imaginait la bâtisse détruite par les flammes, le sol souillé par les cadavres des siens. Elle n'était pas retournée là-bas depuis qu'elle avait appris, elle ne s'en sentait pas capable. Mais peut-être qu'il était temps de faire face à ses craintes. « Je veux venir avec toi. » Luis réapparut dans l'encadrement de la porte, mais Aloisia l'empêcha de dire quelque chose. « Et avant que tu dises quelque chose, oui je suis sûre de moi. Je veux voir de mes propres yeux ce qui a été fait à ma famille. » Elle ne savait pas si ça lui permettrait de faire son deuil, mais ça alimenterait au moins la haine qu'elle ressentait à l'égard de ceux qui avaient osé faire ça. Et cette haine, elle en avait besoin pour avancer.
‹ STATUT CIVIL : Marié à Aloisia Freidrich, devenue Rosenwald. Cependant le brun n'est pas fidèle. Une rumeur court d'ailleurs à ce sujet, mais elle reste à l'état de rumeur car personne n'a de preuves. En effet, Luis est assez persuasif pour éviter que les autres ne parlent.
‹ STATUT DU SANG : Pur, il serait inconscient d'en douter. Ses capacités magiques démontrent de son sang pourpre, qui coule dans ses veines.
‹ OCCUPATION : Prince héritier à plein temps, exerçant le métier d'avocat principalement parce que c'est amusant. Ambitieux, Luis est incapable de ne pas travailler. Même si il n'exerce plus autant qu'il le voudrait, il a aime retourner au bureau pour s'occuper de quelques richissimes sorciers capables de se payer ses services.
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Sujet: Re: ( the future starts slow. ) ft. aloisia rosenwald Lun 15 Aoû - 23:46
the future starts slow ft/Aloisia Rosenwald
Aloisia haussa les épaules, avançant qu’elle n’était pas fatiguée. Luis avait remarqué qu’elle ne dormait jamais tant qu’il n’était pas arrivé, et au final la rousse affichait elle aussi des cernes visibles sous ses yeux verts. Au moins pouvait-elle les camoufler à l’aide de maquillage et autres artifices que les femmes appréciaient particulièrement. Luis alla se déshabiller en annonçant qu’il avant l’intention d’aller sur le terrain, avançant le fait que fouiller les dossiers ne servait à rien. Lukas le lui avait dit, et Lukas avait eu raison. Avec un soupire, se souvenant de l’altercation avec son jumeau, il se débarrassa de son pantalon, et de ses sous-vêtements. Le brun dormait totalement nu, et Aloisia y était habituée. Elle connaissait son corps depuis près de dix ans, étant donné que c’était avec elle qu’il avait découvert les plaisirs de la chaire. « Je veux venir avec toi. » Luis ferma la porte du dressing en la regardant, redressée dans le lit. Son regard en disait long : tais-toi Luis. Le brun n’émit alors aucun commentaire et laissa sa femme parler. « Et avant que tu dises quelque chose, oui je suis sûre de moi. Je veux voir de mes propres yeux ce qui a été fait à ma famille. » Le jeune héritier souffla doucement avant de la rejoindre dans le lit. Il dégagea les couvertures sur son côté du lit, et se glissa contre les oreillers, assis mais le dos callé contre les épais coussins. « Tu as raison. » Il ne comptait pas le moins du monde tenter de l’empêcher de l’accompagner. « Et puis, il faut que tu sortes d’ici. Je n’ai pas envie que ça commence à jaser sur ton état, ou même sur le mien. On sortira demain, les journalistes auront quelque chose d’autre à écrire q… » Il s’arrêta. Autre chose d’autre que la détresse que devait ressentir les survivants de la famille, et plus encore la future impératrice. Luis se redressa, un peu, et glissa ses doigts sur sa joue. Il n’était pas doué d’une tendresse naturelle, mais apprenait en observant les gestes de son frère, par exemple, envers sa femme. Ou encore en observant ceux que Aloisia avaient envers leur fille. « Je placerai Lena sous plus de surveillance avant de partir. » Il savait qu’Aloisia aimait Lena autant qu’il l’aimait lui aussi. Peut-être même plus. Ils tenaient toutes les deux à la petite fille, cette magnifique princesse qu’ils avaient réussi à concevoir ensemble. Luis se rappellerait toute sa vie la première fois qu’il avait tenu le fruit de leur union entre ses bras. Il laissa finalement retomber sa main, mais regardait toujours la jolie rousse. « Pour le moment, je n’ai rien trouvé de concluant. Il y a plusieurs pistes : soit c’est une autre famille pure qui a fait le coup – et ça me semble la plus probable – soit c’est… Je ne sais pas. » Il était réellement dans le flou. Luis avait lu beaucoup de choses à propos de groupes politiques extrémistes, datant de l’époque de son ancêtre Alexander Rosenwald, mais depuis le temps, il était persuadé que ces groupes étaient dissout et n’existaient plus.
Aloisia Rosenwaldimpérialiste de la Rose
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‹ STATUT CIVIL : l'alliance à son doigt la lie pour la vie à luis rosenwald. mariée depuis quatre ans au futur empereur, on ne peut pas dire qu'ils s'aiment d'un amour fou, mais forment un duo très soudé. cependant il n'est pas rare qu'aloisia ne se perde dans les draps d'un autre.
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Sujet: Re: ( the future starts slow. ) ft. aloisia rosenwald Mar 30 Aoû - 0:21
Ses doigts se perdaient dans les draps en satin, tandis que Luis l'arrachait à ses pensées en venant s'asseoir dans leur lit. Toute cette situation l'affectait énormément. Aloisia aurait parfois préféré passer à autre chose, mais elle savait qu'elle n'en était pas capable. Il lui était impossible de faire son deuil avant que ceux qui avaient fait ça aient payé de leur vie. Si la violence n'avait jamais fait partie de son tempérament, aujourd'hui la jeune femme rêvait de voir les meurtriers de sa famille souffrir par sa main. Plus qu'une envie, ça en devenait presque une obsession. Une obsession grandissante, au fil des jours, alors que la rousse n'avait que ses pensées pour s'occuper toute la journée. « Tu as raison. » Aloisia savait qu'il ne l'en aurait jamais empêché. Luis était comme ça, il avait toujours respecté son opinion et ses choix, et elle lui en était reconnaissante pour ça. « Et puis, il faut que tu sortes d’ici. Je n’ai pas envie que ça commence à jaser sur ton état, ou même sur le mien. On sortira demain, les journalistes auront quelque chose d’autre à écrire q… » Un sourire amer glissa sur les lèvres de la jeune femme. Elle avait évité tous les médias durant les dernières semaines, mais elle imaginait parfaitement ce que ces rapaces pouvaient bien dire sur elle, sur eux. Et elle ne voulait pas leur faire le plaisir d'alimenter ne serait-ce qu'un jour de plus leurs ragots grotesques. Elle était également persuadée que les meurtriers des Freidrich n'attendaient probablement qu'une chose eux aussi; qu'elle s'effondre. Et il en était hors de question. « Ils verront qu'ils n'ont pas réussi à toucher ni la Rose, ni l'Ours. » La caresse de Luis apaisa le cœur à vif d'Aloisia. Son regard se plongea dans celui, intense, de son mari et la rousse le détesta pour ce qu'il était capable de lui faire ressentir. Elle avait réussi à se blinder avec les années, mais Luis restait Luis et la jeune femme ne se sentait jamais aussi bien que lorsqu'ils partageaient une étreinte. Il aurait toujours sur elle ce pouvoir qu'aucun autre ne détenait, et elle détestait ça. « Je placerai Lena sous plus de surveillance avant de partir. » Aloisia détestait savoir sa fille loin d'elle. Depuis cette fameuse nuit, elle avait besoin d'avoir toujours un œil sur elle. Si la rousse avait toujours été méfiante, elle l'était devenue plus encore et elle ne faisait plus confiance à personne concernant Lena. Malheureusement, il lui était impossible d'être toujours présente et elle avait bien dû se résigner à laisser sa princesse au bon soin du personnel. « Elle apprécie d'être entourée d'autant de personnes. Une vraie Rosenwald, si tu veux mon avis. » Cette pensée arracha un léger sourire à Aloisia. Elle était persuadée que Lena deviendrait une très belle personne, plus tard. « Pour le moment, je n’ai rien trouvé de concluant. Il y a plusieurs pistes : soit c’est une autre famille pure qui a fait le coup – et ça me semble la plus probable – soit c’est… Je ne sais pas. » La jeune femme savait que son époux était bien plus compétent que quiconque pour résoudre cette affaire. Elle lui faisait confiance - il était bien l'un des seuls - mais ne pouvait s'empêcher de se retrouver frustrée face au peu de réponses qui avaient été apportées au cours de ces dernières semaines. « C'est un ennemi de la Rose. » Aloisia ne voyait pas d'autre explication. Sa famille n'entretenait de haine mortelle avec personne, mais leur statut de proche allié des Rosenwald en faisait des cibles de choix. « Tu penses que les Lowëwald aurait pu faire ça? Ou les Wolffhart? » S'il s'agissait bel et bien d'une attaque venant d'une autre famille pure, c'était une véritable déclaration de guerre.
‹ STATUT CIVIL : Marié à Aloisia Freidrich, devenue Rosenwald. Cependant le brun n'est pas fidèle. Une rumeur court d'ailleurs à ce sujet, mais elle reste à l'état de rumeur car personne n'a de preuves. En effet, Luis est assez persuasif pour éviter que les autres ne parlent.
‹ STATUT DU SANG : Pur, il serait inconscient d'en douter. Ses capacités magiques démontrent de son sang pourpre, qui coule dans ses veines.
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Sujet: Re: ( the future starts slow. ) ft. aloisia rosenwald Mar 30 Aoû - 1:34
the future starts slow ft/Aloisia Rosenwald
« Ils verront qu'ils n'ont pas réussi à toucher ni la Rose, ni l'Ours. » Luis sourit à sa femme, un sourire qui avait quelque chose de victorieux, ou du moins en partie car la bataille ne faisait que commencer. Il aimait cette volonté qu’Aloisia avait de ne pas craquer, de n’avoir aucune faiblesse. Elle avait craqué contre lui, dans ses bras, le jour où elle l’avait appris mais il avait caché ses larmes à la face du monde, et il ne la trahirait jamais. Tout comme elle ne le trahirait jamais, ils étaient un couple des plus puissants. Il caressa doucement sa joue, et il sentit la rousse se détendre sous ce geste. Il nota mentalement à le répéter plus souvent, à essayer de faire preuve de plus de tendresse envers elle. Tout ce que Luis voulait était de remettre un sourire sur la bouche de sa femme. Il lui assura aussi que Lena serait encore mieux gardée, le lendemain, jour de leur départ. « Elle apprécie d'être entourée d'autant de personnes. Une vraie Rosenwald, si tu veux mon avis. » Luis sourit un peu plus franchement. L’évocation de leur princesse le changeait toujours un peu, Lena avait ce pouvoir sur lui parce qu’elle ramenait tout ce qu’il y avait de bon dans son père. « Ce sera une très bonne impératrice. » Il n’en doutait pas, et regrettait presque de ne jamais pouvoir la voir à l’œuvre. Car seule sa mort accorderait à Lena le trône que lui-même ne posséderait qu’une fois que sa mère serait partie. Finalement, Luis se cala à nouveau un peu plus contre les oreillers, il glissa ses doigts sur le bras de sa femme, à côté de lui, et annonça les pistes – faibles – qu’il avait. « C'est un ennemi de la Rose. » conclut Aloisia. Luis hocha doucement la tête, les Freidrich n’avaient pas autant d’ennemis que sa famille en avait. Et depuis qu’ils étaient montés sur le trône, Luis savait que beaucoup leur en voulait plus encore. Leur nouvelle position n’attirait pas que des fidèles et loyaux sujets, au contraire. Elle attirait convoitise, et haine. « Tu penses que les Lowëwald aurait pu faire ça? Ou les Wolffhart? » Ses doigts glissaient du poignet d’Aloisia à son coude, et faisaient l’aller-retour dans une lenteur monotone, alors qu’il réfléchissait à sa réponse. « Je ne sais pas. C’est trop direct, trop franc, comme attaque. » Et pourtant, le souvenir de l’histoire familiale s’imposa à lui. On avait tué son ancêtre sur son trône, et égorgé les autres membres de sa famille ici-même, au palais. Un léger frisson le parcouru, et il stoppa net le mouvement de ses doigts. « Les Wolffhart ne feraient pas la même erreur deux fois. » Attaquer une famille chez elle ? Non. Ca lui semblait étrange, en fait, cette attaque ne lui semblait pas être d’origine pure. Les purs n’agissaient pas comme ça, ils faisaient des complots, ils jouaient de politique. Cette attaque était quelque chose de plus barbare, de plus brouillon et d’impur. Mais il ne dit rien de ses soupçons, il devait les taire puisqu’il n’avait aucune piste pour les confirmer.
Aloisia Rosenwaldimpérialiste de la Rose
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‹ STATUT CIVIL : l'alliance à son doigt la lie pour la vie à luis rosenwald. mariée depuis quatre ans au futur empereur, on ne peut pas dire qu'ils s'aiment d'un amour fou, mais forment un duo très soudé. cependant il n'est pas rare qu'aloisia ne se perde dans les draps d'un autre.
‹ STATUT DU SANG : son sang est pur et il ne pourrait pas en être autrement.
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Sujet: Re: ( the future starts slow. ) ft. aloisia rosenwald Mer 31 Aoû - 22:45
Aloisia aimait voir ce sourire sur les lèvres de Luis. Lena était la seule qui réussissait à changer l'expression de son visage de cette façon. Le jeune brun n'était pas des plus doués pour manifester son affection. Aloisia s'était même demandé, à plusieurs reprises, s'il était réellement capable de ressentir de l'amour. Mais lorsqu'il s'agissait de leur fille, la rousse savait que son époux la chérissait plus que tout. Elle le voyait dans son regard, dans ce sourire et dans les gestes qu'il avait à l'attention de la fillette. « Ce sera une très bonne impératrice. » Aloisia hocha doucement la tête. Elle n'en avait aucun doute. Elle était persuadée que Lena serait très appréciée du peuple, plus tard, car elle possédait ce charisme qui, déjà, éveillait l'affection du peuple. La rousse espérait être toujours là pour voir sa fille monter sur le trône, même si ça signifiait perdre Luis avant cela. Aloisia n'arrivait pas à quitter son époux des yeux. Son visage était sérieux, elle pouvait voir qu'il était en train de réfléchir. Ses doigts remontaient le long de l'avant-bras de la jeune femme, un mouvement dénué de toute réflexion mais qui apaisait Aloisia. Depuis toujours, la jeune femme recherchait le contact physique auprès de ses amants. Tactile, elle avait été quelque peu perturbée au début de sa relation avec Luis. Mais désormais, depuis le temps, il avait appris à la connaître et effectuait ces gestes naturellement. « Je ne sais pas. C’est trop direct, trop franc, comme attaque. » Sans réellement formuler les mots à voix haute, il avait fait comprendre à Aloisia que cette attaque n'était pas digne des purs. Et la rousse souhaitait le croire, mais elle avait du mal à envisager l'innocence de ces familles qu'elle haïssait et qui la détestait tout autant. L'instauration du nouvel Empire était encore récente et au fond, Aloisia était persuadée que beaucoup de complots se tramaient dans leur dos. La reprise du pouvoir par les Rosenwald n'avait pas plu à tout le monde et aujourd'hui semblait être le bon moment pour tenter une offensive, alors que tout le monde commençait à penser que la situation s'était calmée. « Les Wolffhart ne feraient pas la même erreur deux fois. » Une erreur qui leur avait pourtant permis d'accéder au pouvoir, la première fois. Et Aloisia était persuadée que si l'occasion se représentait, ils n'hésiteraient pas à la saisir, sans laisser personne s'échapper cette fois-ci. Même si la jeune femme leur accordait des sourires lorsqu'elle les croisait, elle n'avait aucune sympathie pour cette famille et se méfiait grandement d'eux, tout autant qu'elle se méfiait des Lowëwald. « A qui aurait pu profiter ces morts, si ce n'est à l'un d'entre eux? Qui pourrait chercher à faire passer un message? » Elle savait que Luis ne possédait pas les réponses à ses questions, mais elle avait besoin d'exprimer ce qu'elle avait sur le cœur et ce qui lui travaillait l'esprit. « Est-ce que tu es au courant de quelque chose que j'ignore? » D'ordinaire, Luis partageait ses informations avec sa femme. Il ne gardait que très rarement quelque chose pour lui lorsqu'il s'agissait de la politique du pays. Après tout, ils allaient être amenés à régner ensemble, d'ici quelques années, et Aloisia souhaitait être plus qu'une simple potiche au bras de son mari. Elle voulait l'aider, l'épauler, le conseiller, comme elle l'avait toujours fait jusqu'à présent.
‹ STATUT CIVIL : Marié à Aloisia Freidrich, devenue Rosenwald. Cependant le brun n'est pas fidèle. Une rumeur court d'ailleurs à ce sujet, mais elle reste à l'état de rumeur car personne n'a de preuves. En effet, Luis est assez persuasif pour éviter que les autres ne parlent.
‹ STATUT DU SANG : Pur, il serait inconscient d'en douter. Ses capacités magiques démontrent de son sang pourpre, qui coule dans ses veines.
‹ OCCUPATION : Prince héritier à plein temps, exerçant le métier d'avocat principalement parce que c'est amusant. Ambitieux, Luis est incapable de ne pas travailler. Même si il n'exerce plus autant qu'il le voudrait, il a aime retourner au bureau pour s'occuper de quelques richissimes sorciers capables de se payer ses services.
‹ SCOLARITÉ : Goldadler, bien sûr, dans le pavillion des purs. Très bon étudiant, il n'a jamais raté dans une seule branche.
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‹ INVENTAIRE : Son téléphone portable (qu'il déteste), un portefeuille qui ne le quitte jamais et son alliance, bien sûr, qu'il ne retire jamais.
Sujet: Re: ( the future starts slow. ) ft. aloisia rosenwald Jeu 1 Sep - 18:58
the future starts slow ft/Aloisia Rosenwald
Il sentait que la rousse se détendait doucement sous ses caresses, et Luis ne les arrêta pas. Il avait appris à la connaître, depuis le temps qu’ils se fréquentaient, et qu’ils étaient mariés. Il savait que, surtout en ce moment, elle avait besoin de lui et d’un minimum de tendresse. Luis lui donnait tout ce qu’il pouvait lui donner pour qu’elle se sente un peu mieux. Lui aussi était proche de certains des Freidrich, dont Georg, qu’il avait longtemps envisagé comme potentiel Main quand il serait empereur. Désormais il ne savait que se tourner vers un cousin de sa belle, Roman, le rescapé. « A qui aurait pu profiter ces morts, si ce n'est à l'un d'entre eux? Qui pourrait chercher à faire passer un message? » Luis glissa sa langue sur sa lèvre inférieure, songeur. Il se tourna un peu vers Aloisia, dans leur lit, et bougea sa main sous les couvertures, sur son ventre. Le geste était fait sans arrière-pensée, il réfléchissait toujours à la réponse qu’il donnerait à sa femme. Elle avait la peau douce, toujours, il glissa ses doigts sur sa hanche et caressa un bout de peau nonchalamment. « Est-ce que tu es au courant de quelque chose que j’ignore ? » Elle alla plus vite pour reprendre la parole. Luis planta son regard dans le sien. L’ambre contre l’émeraude, il secoua doucement la tête. « Non… J’ai juste. » Il s’interrompit, hésita. « Des doutes. » Luis remonta un peu ses doigts contre la hanche de sa femme, désormais ses gestes étaient destinés à la rassurer, ils avaient un sens. « Les Wolffhart n’agiraient pas deux fois de la même manière j’en suis persuadé. C’est ridicule, c’est les premiers qu’on soupçonne et ils le savent très bien. » Souffla Luis. Les Wolffhart trouveraient un autre moyen, mais ils ne verseraient pas le sang une seconde fois. C’était redondant, et le peuple ne l’accepterait pas, pas une seconde fois, pas que la prise de pouvoir se fasse ainsi alors que le peuple lui-même avait voulu la destitution de la république. « Je pense… » Encore une fois, le prince d’habitude si sûr de lui hésita. Partir sur une toute autre piste était risqué, et de l’annoncer à sa femme l’était aussi. Elle voulait un coupable, et vite. Mais Luis voulait lui livrer le vrai coupable. « Je pense que ce n’est pas l’œuvre d’une famille pure. » Il s’approcha encore, posa un baiser sur ses lèvres. « Mais n’y pense pas, je m’en occupe. » C’était la première fois qu’il tentait de garder sa femme éloignée de ce genre d’affaire. Ils travaillaient tous les deux dans la justice, elle était même techniquement sa supérieure puisqu’elle faisait le métier de juge, et lui était avocat. Le brun ne se gênait d’habitude pas pour lui demander son avis sur telle ou telle affaire, et la manière dont il devait procéder. Mais là, c’était personnel. Aloisia n’était pas fragile – du moins il n’en avait jamais eu le sentiment – mais elle était tout de même l’une des victimes de cet incendie, même si elle dormait à poings fermés quand c’est arrivé. Alors il tenta de lui changer les idées, sa main toujours sur sa peau, ses lèvres qui vinrent lui voler un troisième baiser sur la soirée.
Aloisia Rosenwaldimpérialiste de la Rose
‹ MESSAGES : 468
‹ PSEUDO : flyingsquirrel. (maëlle)
‹ FACE & CREDITS : holland roden. (hepburns)
‹ MULTICOMPTES : andreas le plus beau.
‹ ÂGE DU PERSONNAGE : elle effleure les trois décennies du bout des doigts. vingt-huit ans, un âge vêtu d'une grande signification à ses yeux. une année qu'elle n'oubliera pas.
‹ STATUT CIVIL : l'alliance à son doigt la lie pour la vie à luis rosenwald. mariée depuis quatre ans au futur empereur, on ne peut pas dire qu'ils s'aiment d'un amour fou, mais forment un duo très soudé. cependant il n'est pas rare qu'aloisia ne se perde dans les draps d'un autre.
‹ STATUT DU SANG : son sang est pur et il ne pourrait pas en être autrement.
‹ OCCUPATION : aloisia est juge et ce depuis quelques années. c'est elle qui fait et défait des vies, qui décide qui est coupable et qui ne l'est pas.
‹ SCOLARITÉ : diplômée de goldadler depuis une dizaine d'années, aloisia était une étudiante qui excellait dans tous les domaines.
‹ ALLÉGEANCE : son allégeance va au rosenwald et de ce fait à l'impératrice. ça a toujours été une évidence pour aloisia, qui a été élevée avec les valeurs de l'empire.
Sujet: Re: ( the future starts slow. ) ft. aloisia rosenwald Jeu 8 Sep - 21:07
Son regard ne quittait pas le visage de son époux. Aloisia s'était perdue tant de fois dans la contemplation des traits parfaits de l'héritier qu'elle ne les comptait plus. Luis, elle le connaissait par cœur. Comme une œuvre d'art qu'elle avait sous les yeux chaque jour et dont elle avait appris chaque détail, chaque couleur avec une minutie désarmante. Lorsque les doigts du brun vinrent caresser son ventre, puis sa hanche, la jeune femme ne réagit pas. Son corps aussi était habitué aux gestes nonchalants de son époux. « Non… J’ai juste. » Son regard se fit plus insistant, l'encourageant à poursuivre. « Des doutes. » Des preuves inexistantes, mais Aloisia avait appris à se fier à l'intuition de Luis. Alors elle le croyait, même si elle aurait préféré que d'autres mots effleurent ses lèvres. Elle aurait aimé qu'il lui dise ce qu'elle avait envie d'entendre, que le coupable était sous leurs yeux et qu'il n'avait plus qu'à l'interpeller. Elle aurait souhaité que, pour une fois, cela soit simple. Mais ça ne l'était jamais. La simplicité n'existait pas pour des personnes comme eux. « Les Wolffhart n’agiraient pas deux fois de la même manière j’en suis persuadé. C’est ridicule, c’est les premiers qu’on soupçonne et ils le savent très bien. » La rousse hocha doucement la tête. Au fond, elle le savait bien avant qu'il ne prononce ces paroles. Si Aloisia méprisait les Wolffhart comme une rose se devait de le faire, elle était bien obligée d'admettre qu'ils n'étaient pas stupides et c'était bien ça qui les rendait dangereux. « C'est vrai. » Elle ne savait pas quoi dire de plus. Elle ne pouvait qu'acquiescer. « Je pense... » Les doigts d'Aloisia se joignirent à ceux de Luis, comme un réflexe, une habitude. Elle cherchait le contact du brun, la seule chose qui réussissait à l'apaiser en ces temps difficiles. « Je pense que ce n’est pas l’œuvre d’une famille pure. » Il accompagna ces paroles d'un baiser sur les lèvres de la rousse. Un baiser auquel elle ne s'empêcha pas de répondre, oubliant l'espace d'un instant les soucis qui la préoccupaient. Elle essaya de faire abstraction de toutes les questions qui la taraudaient désormais. Si une famille pure n'avait pas commis ce crime, qui était-ce alors? « Mais n’y pense pas, je m’en occupe. » Aloisia détestait cette situation dans laquelle elle se trouvait. Elle avait l'impression d'être faible, elle se sentait vulnérable. Et par-dessus tout, elle sentait que Luis essayait de la ménager. Comme si elle n'était qu'une poupée de porcelaine, à manipuler avec précaution. Elle ne pouvait lui en vouloir, à lui ou à quiconque d'ailleurs. Elle aurait probablement fait pareil avec une autre personne. A nouveau, le prince vint l'embrasser, dans le but de lui changer les idées. « Je sais que tu essayes de me préserver, Luis. » Un instant, elle resta silencieuse, observant les grands rideaux qui masquaient les fenêtres. « Mais tiens moi informée. C'est tout ce que je demande. » Elle ne souhaitait pas s'épancher davantage sur ce sujet. Aloisia s'approcha donc un peu plus de Luis, posant à son tour ses lèvres sur celles de son mari. Un baiser qui se voulait plus insistant, tandis qu'une de ses mains glissait dans ses cheveux, puis dans sa nuque. « Merci d'avoir été là, d'avoir été patient. » Car elle n'avait pas été d'une excellente compagnie, depuis quelques semaines, mais elle avait pu compter sur lui. Il n'était jamais loin, près à lui offrir tout le soutien et l'affection dont elle avait besoin. Et Aloisia lui en était reconnaissante.
‹ STATUT CIVIL : Marié à Aloisia Freidrich, devenue Rosenwald. Cependant le brun n'est pas fidèle. Une rumeur court d'ailleurs à ce sujet, mais elle reste à l'état de rumeur car personne n'a de preuves. En effet, Luis est assez persuasif pour éviter que les autres ne parlent.
‹ STATUT DU SANG : Pur, il serait inconscient d'en douter. Ses capacités magiques démontrent de son sang pourpre, qui coule dans ses veines.
‹ OCCUPATION : Prince héritier à plein temps, exerçant le métier d'avocat principalement parce que c'est amusant. Ambitieux, Luis est incapable de ne pas travailler. Même si il n'exerce plus autant qu'il le voudrait, il a aime retourner au bureau pour s'occuper de quelques richissimes sorciers capables de se payer ses services.
‹ SCOLARITÉ : Goldadler, bien sûr, dans le pavillion des purs. Très bon étudiant, il n'a jamais raté dans une seule branche.
‹ ALLÉGEANCE : A sa famille, à sa mère, à lui-même.
‹ LOCALISATION : Berlin.
‹ INVENTAIRE : Son téléphone portable (qu'il déteste), un portefeuille qui ne le quitte jamais et son alliance, bien sûr, qu'il ne retire jamais.
Sujet: Re: ( the future starts slow. ) ft. aloisia rosenwald Mar 20 Sep - 23:26
the future starts slow ft/Aloisia Rosenwald
L'intelligence caractéristique de son épouse se manifesta encore une fois quand elle admit qu'il était vrai que les Wolffhart ne feraient pas deux fois la même erreur. Une autre, plus aveuglée par la rage et le désir de vengeance, n'aurait probablement pas eu cette intelligence de se poser, de réfléchir, et de comprendre. Luis l'aimait, en un sens, pour ça aussi. Il n'appréciait ni les faibles, ni les idiots. Aloisia n'était ni l'un ni l'autre, au final. Elle était une fleur de délicatesse, mais aussi se fermeté et possédait cette aura de charisme qui seyait à une future impératrice. La jeune femme lia ses doigts aux siens, gestes que Luis accueilli en ouvrant la main, pour la laisser glisser ses doigts entre les siens. Elle répondit à son baiser, tendre mais sans amour. « Je sais que tu essayes de me préserver, Luis. » avait-elle dit après le second baiser donné par Luis. Celui-ci l’observa un instant. « Mais tiens moi informée. C'est tout ce que je demande. » Il hocha doucement la tête. « Tu sauras la première à savoir, quand j’aurai trouvé. » C’était une promesse qu’il faisait, même si il ne le disait pas explicitement, il était rare que Luis mente à sa femme, à vrai dire il ne se souvenait pas l’avoir réellement fait une fois. Aloisia s’approcha, ne répondant pas, elle glissa ses lèvres contre les siennes, et sa main dans sa nuque. Le baiser était plus long, plus insistant. Luis s’approcha un peu contre elle, glissant sa main qui était sur sa hanche contre la cuisse de la rousse, qu’il tira vers lui. « Merci d'avoir été là, d'avoir été patient. » Luis avait gardé son visage proche de celui de la rousse. Il tira un peu plus fort sur sa jambe, si bien qu’il avait remonté sa cuisse contre son flanc. « Aloisia… » Il n’était pas le genre d’homme à hésiter, mais l’embrassa encore, glissa ses lèvres contre sa mâchoire et se mit un peu plus au-dessus d’elle, alors que le dos de la princesse allemande était calé contre les luxueux oreillers, posés sur le lit du couple héritier. Les dents du jeune prince vinrent pincer doucement le lobe de l’oreille de sa femme. « Je veux un fils. » Souffla-t-il alors que sa main redescendait le long de la cuisse de la jeune femme, pour se glisser contre sa fesse. Il y pensait depuis un petit temps maintenant, mais ne voulait pas imposer quoi que ce soit à sa femme. Elle était une femme, certes, mais elle était son égale. Il ne voulait pas lui imposer une grossesse qui la rendrait irritable ou physiquement plus faible. Lui n’était qu’un homme, qui ne savait rien des effets physiques ou mentaux d’une grossesse. Sa mère le lui avait souvent rappelé, il devait respecter que sa femme ne désire plus enfanter. Il savait aussi qu’Aloisia prenait des potions de contraception, car la seule chose qu’il lui interdisait était qu’elle porte un bâtard qui ne fut pas de lui. C’était sans doute pour ça, pensait-il, qu’elle n’avait pas encore eu d’autre enfant que Lena. La potion, cependant, ne se prenait pas à la manière des pilules humaines. Elle pouvait arrêter quand bon lui semblait, et Luis savait qu’elle n’avait pas quitter le palais… Alors elle ne l’avait probablement pas prise. Il remonta la tête, pour observer le visage harmonieux de sa belle épouse. « Une fratrie pour Lena, une descendance aussi pour ta famille. » Même si ils s’appelleraient Rosenwald, ils seraient enfant de l’Ours, aussi.
Aloisia Rosenwaldimpérialiste de la Rose
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Sujet: Re: ( the future starts slow. ) ft. aloisia rosenwald Mer 21 Sep - 21:57
« Tu sauras la première à savoir, quand j’aurai trouvé. » Aloisia le croyait, bien évidemment. Elle n'avait jamais eu à se poser de questions sur la sincérité de Luis, depuis qu'ils étaient mariés. Il ne gardait jamais rien volontairement, ne lui mentait pas non plus. Il n'en voyait probablement pas l'utilité, lui qui était habitué à dire la vérité crue. Bien sûr que la rousse avait déjà été blessée par les paroles qu'il avait pu partager avec elle. Mais il ne s'en rendait pas compte. Elle savait qu'il ne souhaitait pas lui faire du mal. Luis était comme ça, Aloisia en avait conscience. Il n'était pas des plus doués lorsqu'il s'agissait de saisir les sentiments des autres. Ni même les siens en réalité. Et ça, la jeune femme l'avait réalisé il y a quelques années déjà, lorsqu'elle avait compris que les sentiments qu'elle pouvait ressentir ne serait jamais réciproque. Aloisia avait réussi à accepter cette idée, mais la peur qu'un jour, quelqu'un puisse revêtir cette place si spéciale dans le cœur de Luis, la terrorisait. La seule pensée qu'il finisse par totalement la délaisser pour quelqu'un qui réussirait là où elle avait échoué. « Aloisia... » Les lèvres du prince quittèrent celles de la rousse pour descendre vers sa mâchoire. Les mains de la jeune femme attirèrent le corps de Luis un peu plus proche du sien. Aloisia était lasse de cette distance qui s'était installée entre eux deux. Elle se languissait du contact de la peau de l'héritier contre la sienne, de ce corps qu'elle n'avait plus touché depuis trop longtemps à son goût. « Je veux un fils. » La main de Luis glissa le long du corps de la princesse, qui ne pouvait quitter son époux du regard. Avoir un autre enfant, elle y pensait depuis quelques mois déjà. Mais avec les récents événements, toutes ces idées lui étaient sorties de la tête. Pourtant, lorsque Luis en parlait, Aloisia ne pouvait s'empêcher de sourire. Elle souhaitait donner un fils à son époux, un petit frère à Lena. « Une fratrie pour Lena, une descendance aussi pour ta famille. » Avoir un enfant avait une toute autre signification désormais. Plus qu'une bonne nouvelle, ça en devenait presque un symbole. Montrer au peuple, mais surtout à leurs opposants, que les Rosenwald étaient toujours bel et bien présents. Que la future impératrice ne se laissait pas abattre. Au-delà de toute l'importance politique qui entourerait une nouvelle grossesse, c'était une promesse de renouveau pour Aloisia. Essayer de passer à autre chose, de surmonter les étapes d'un deuil difficile en se concentrant sur l'avenir. Alors, simplement, la princesse posa sa main sur la joue de son époux et déposa un baiser sur ses lèvres. « Je pense que tu n'as pas besoin de moi pour te dire comment ça fonctionne. » Un léger sourire se forma sur ses lippes. Aloisia laissa ses mains s'aventurer sur le corps de Luis, caressant son dos, suivant le tracé de ses muscles du bout des doigts, descendant toujours un peu plus bas, sans cesser de l'embrasser. Bientôt Luis abandonna ses lèvres pour déposer des baisers au creux du cou de la jeune femme. Cette dernière laissa reposer sa tête un peu plus sur les oreilles, fermant les yeux l'espace de quelques secondes. « Tu m'as manqué, Luis. » Un murmure à peine prononcé, mais elle le pensait, dans tous les sens du terme. Aloisia avait eu l'impression de vivre dans une bulle, ces dernières semaines. A l'écart du monde, à l'écart de Luis, ne laissant personne réellement partager sa peine. Alors aujourd'hui, elle était heureuse de le retrouver, d'être à nouveau capable de partager tout ça avec lui.
‹ STATUT CIVIL : Marié à Aloisia Freidrich, devenue Rosenwald. Cependant le brun n'est pas fidèle. Une rumeur court d'ailleurs à ce sujet, mais elle reste à l'état de rumeur car personne n'a de preuves. En effet, Luis est assez persuasif pour éviter que les autres ne parlent.
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Sujet: Re: ( the future starts slow. ) ft. aloisia rosenwald Ven 23 Sep - 21:19
the future starts slow ft/Aloisia Rosenwald
Ce n’était pas parce que Luis allait voir ailleurs qu’il ne désirait plus du tout sa femme. Il l’avait toujours désirée, elle plus que les autres femmes, d’ailleurs. Mais son besoin de découvrir son corps et de nouvelles sensations l’avait toujours poussé à quitter les bras accueillant de son épouse. Ce soir, cependant, il l’avait rejoint au lit avec une idée en tête, idée qu’il avait désormais formulé à voix haute, et qui semblait trouver écho dans l’esprit de la rousse. Celle-ci lui caressa la joue avec une tendresse qu’elle avait toujours eue envers lui. Elle l’embrassa brièvement avant d’ouvrir la bouche pour parler. « Je pense que tu n'as pas besoin de moi pour te dire comment ça fonctionne. » Luis revint l’embrasser, après un sourire équivoque, tandis qu’elle glissait ses mains sur lui. Il vint franchement au-dessus d’elle, se positionna naturellement entre ses jambes alors que ses lèvres butinaient avec délice la peau de sa gorge. Aloisia était la femme qu’il connaissait le mieux. Ses moindres réactions, ses envies, ce qui fonctionnait avec elle et comment l’amener au plaisir. Et c’était réciproque, les mains de la jeune femme sur son corps étaient à leur juste place. « Tu m'as manqué, Luis. » Le brun se fit plus tendre, un instant. Il caressa la cuisse de sa femme, jusqu’à son genou, alors qu’il se tenait sur son coude de l’autre bras pour ne pas écraser la princesse. Le jeune héritier leva les yeux vers elle, leurs regards se croisèrent juste l’espace d’un instant et il continua à descendre sur elle, à embrasser la peau qu’il avait à porter de lèvres, à suçoter ce qui se présentait sous sa bouche, et parfois même la mordiller pour lui tirer ces soupires qu’il adorait tant. Il ne voyait pas la consommation du mariage comme une corvée, surtout pas avec Aloisia. Le brun ne voulait pas que l’acte serve uniquement à la conception de leurs héritiers. Il voulait consolider leur lien, et plus que ça, cherchait à éprouver ces sensations qui faisaient vibrer quelque chose en lui. A chaque fois, il avait le sentiment de se rapprocher de ce qu’il cherchait tant. Aloisia était proche d’être la femme qu’il aurait pu aimer, mais quelque chose l’empêchait de ressentir de vrais sentiments pour elle. Cependant, pour elle, il savait se faire tendre, il savait l’écouter, il pensait à son bonheur parfois même avant le sien. Son égoïsme et sa cruauté n’avaient pas leur place dans leur mariage. Luis voulait être un bon mari, pour la femme qu’il voyait comme sa meilleure amie, et son alliée la plus précieuse. Les mains de la rousse étaient divines sur lui, elle le pressait de remonter, captura ses lèvres avec passion et Luis répondit à ce baiser enflammé. Les cuisses de sa belle l’enfermait comme dans un étau, mais la sensation n’avait rien de désagréable. Il avait de plus en plus de mal à ne pas simplement écraser son torse contre sa poitrine, alors qu’elle l’attirait à lui. Le brun sentait les muscles de ses bras faiblir. Il se mit sur un coude, à nouveau, interrompit le baiser mais leurs lèvres se touchaient toujours, s’effleuraient alors qu’il lui lança un regard équivoque. Il la désirait, plus que n’importe quelle autre de ses maitresses actuellement, plus que n’importe lequel de ses amants. Seule Aloisia hantait ses pensées en cet instant.
Aloisia Rosenwaldimpérialiste de la Rose
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Sujet: Re: ( the future starts slow. ) ft. aloisia rosenwald Mar 27 Sep - 20:39
Depuis le début, Aloisia n'avait connu que Luis comme étant un homme doux à son égard. Elle avait eu l'occasion d'observer son comportement avec d'autres personnes, et pouvait comprendre la crainte qu'il inspirait autour de lui. Mais aux yeux de la jeune femme, il n'avait rien d'effrayant. Elle avait appris à le connaître, au fil des années, à anticiper ses réactions, à deviner ses envies. Il était celui sur lequel elle se reposait lorsqu'elle n'allait pas bien, celui avec qui elle partageait ses journées, ses craintes et ses joies. Elle lui devait beaucoup, à commencer par la plus belle des choses : Lena. Dans leur relation, seul restait le vide créé par l'absence d'amour véritable, d'amour au sens qu'entendait Aloisia. Car de l'amour, il y en avait entre eux, mais il n'était pas celui que la rousse recherchait. Il manquait quelque chose, cette étincelle que la princesse avait ressenti au début, mais qu'elle avait rapidement refoulé lorsqu'elle avait compris que ses sentiments ne seraient jamais partagés. Elle y pensait régulièrement, sans pour autant se torturer l'esprit avec ces histoires. Si la frustration était présente, Aloisia avait accepté l'idée qu'elle allait probablement vivre le restant de sa vie ainsi. Et ça lui convenait. Cependant, lorsque la jeune femme se perdait dans les bras de son époux toutes ces questions s'envolaient. Elle avait l'impression de connaître l'amour au creux de son étreinte. Comme si c'était les sentiments qui accéléraient les battements de son cœur, qui faisaient rosir ses joues. Le temps semblait s'arrêter lorsqu'ils partageaient ces moments privilégiés, lorsque leurs lèvres se touchaient, que leurs iris se verrouillaient. Aloisia se languissait de cette intimité perdue, si bien qu'elle ne permis pas à Luis de perdre de temps. Ses caresses se faisaient plus insistantes, plus équivoques. Son regard séducteur, tandis qu'elle attirait le brun un peu plus contre elle, comme un ordre silencieux. Une requête qu'il sembla comprendre, et partager également. Leurs corps se mouvèrent à l'unisson, presque une danse qu'ils maîtrisaient tous deux à la perfection. Les iris d'Aloisia étaient plantés dans les pupilles sombres de Luis. La rousse avait toujours considéré le regard comme le miroir de l'âme, et lorsqu'elle se donnait au prince, elle ne souhaitait laisser aucun secret entre eux. Car c'était l'un des seuls moments où la rousse ne ressentait aucune culpabilité à se laisser aller. Devant Luis, elle n'avait pas peur, ne ressentait aucune gêne. Il la connaissait par cœur et elle lui laissait entrevoir des morceaux d'elle-même qu'elle ne laisserait jamais personne d'autre découvrir. Car il était son époux, et qu'il comptait plus que quiconque.
‹ STATUT CIVIL : Marié à Aloisia Freidrich, devenue Rosenwald. Cependant le brun n'est pas fidèle. Une rumeur court d'ailleurs à ce sujet, mais elle reste à l'état de rumeur car personne n'a de preuves. En effet, Luis est assez persuasif pour éviter que les autres ne parlent.
‹ STATUT DU SANG : Pur, il serait inconscient d'en douter. Ses capacités magiques démontrent de son sang pourpre, qui coule dans ses veines.
‹ OCCUPATION : Prince héritier à plein temps, exerçant le métier d'avocat principalement parce que c'est amusant. Ambitieux, Luis est incapable de ne pas travailler. Même si il n'exerce plus autant qu'il le voudrait, il a aime retourner au bureau pour s'occuper de quelques richissimes sorciers capables de se payer ses services.
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Sujet: Re: ( the future starts slow. ) ft. aloisia rosenwald Ven 30 Sep - 18:46
the future starts slow ft/Aloisia Rosenwald
Les caresses que la jeune femme posait sur son corps finissaient de lever le voile sur les désirs qui la prenaient. Les mêmes qui s'étaient insinués dans le corps du brun. Il passa à nouveau sa main sur la cuisse de la princesse, et, tout en ne lâchant pas son regard, leur donnèrent ce qu'ils avaient tous les deux envie d'avoir depuis quelques minutes déjà. Un voile de plaisir se posait sur son regard, alors qu'il ne pouvait lâcher les iris émeraude de la désormais rose qu'il avait entre ses mains et sous son corps. Des années qu'ils se connaissaient ainsi, des années qu'ils s'étaient découverts ainsi. Aloisia avait toujours été la femme qu'il désirait le plus. Les autres l'ennuyaient rapidement, mais Aloisia était d'un beauté à couper le souffle, et surtout la seule à soutenir son regard, à lui dire quoi faire quand il ne faisait pas assez attention à elle, à être son égale, au final. Pour un être dominant comme Luis, c’était parfois exaltant d’avoir à faire à une personne qui ne désirait pas être soumise ou inférieure. Aloisia était la seule personne à se tenir sur la même marche que lui, et à le faire avec dignité et fierté. Luis alla picorer ses lèvres, difficilement au fur et à mesure que leurs mouvements s’intensifiaient. Il fini par abandonner, et échoué son visage contre sa joue, ses lèvres contre son oreille, alors qu’il avait posé son front sur l’oreiller d’Aloisia. Les mains de la rousse étaient toujours sur lui. Le jeune héritié, lui, glissa ses doigts entre leurs corps, caressa la hanche de sa femme, en donnant un coup de reins plus doux. Il remonta ses doigts contre sa peau au touché de velours, et l’arrêta là, quelque part sous sa poitrine. Il sentait que, bientôt, il allait se perdre dans les méandres de son propre plaisir. Seuls étaient audibles leurs soupires, exhalés contre la peau de l’autre, et le bruit des draps que l’on froisse. Luis eut un soupire plus profond que les autres, il ferma les yeux un instant et ralentit au bout de quelques secondes. Il reprit une respiration difficile et s’écarta assez d’elle pour qu’ils se séparent. Luis ne lui laissa cependant pas le temps de changer de position, il s’écrasa doucement contre son corps moite, alors que le sien était dans le même état. Une fiche couche de transpiration recouvrait les deux époux, les cheveux de Luis collaient à son front. Le prince vint chercher le menton de sa femme, de ses doigts autrefois posé sous sa poitrine, et l’embrassa longuement. Il glissa sa langue contre ses lèvres, puis alla chercher la sienne. Joua un instant avec, dans une danse habituelle et connue d’eux deux. Ses dents vinrent doucement mordre sa lèvre inférieure, alors qu’il glissait ses doigts sur son corps pour lui prodiguer des caresses tendres. Il aurait pu l’aimer, elle avait presque tout ce qu’il fallait pour qu’il l’aime : elle était belle, intelligente, son égale, le comprenait mieux que beaucoup d’autres mais… Il ne se sentait pas plus complet avec elle qu’avec les autres, ou si peu… Il lui manquait toujours quelque chose, une étincelles au creux des reins, lorsque leurs regards se rencontraient.
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‹ STATUT CIVIL : l'alliance à son doigt la lie pour la vie à luis rosenwald. mariée depuis quatre ans au futur empereur, on ne peut pas dire qu'ils s'aiment d'un amour fou, mais forment un duo très soudé. cependant il n'est pas rare qu'aloisia ne se perde dans les draps d'un autre.
‹ STATUT DU SANG : son sang est pur et il ne pourrait pas en être autrement.
‹ OCCUPATION : aloisia est juge et ce depuis quelques années. c'est elle qui fait et défait des vies, qui décide qui est coupable et qui ne l'est pas.
‹ SCOLARITÉ : diplômée de goldadler depuis une dizaine d'années, aloisia était une étudiante qui excellait dans tous les domaines.
‹ ALLÉGEANCE : son allégeance va au rosenwald et de ce fait à l'impératrice. ça a toujours été une évidence pour aloisia, qui a été élevée avec les valeurs de l'empire.
Sujet: Re: ( the future starts slow. ) ft. aloisia rosenwald Sam 1 Oct - 16:09
S'il y avait bien quelque chose qu'Aloisia détestait, c'était toutes les conquêtes de Luis. Elle avait été la première, et aurait aimé rester la seule. Cependant, les nombreuses nuits à batifoler dans des draps inconnus avaient fait du prince un très bon amant. Le meilleur même, aux yeux de la rousse, même si elle se gardait bien de l'avouer à l'intéressé, pour ne pas trop flatter son ego. La différence résidait probablement dans la connaissance qu'ils avaient l'un de l'autre. La connaissance de leurs corps, de leurs envies et de leurs préférences. Les mains de Luis glissaient sur son corps, et la jeune femme ne pouvait plus se concentrer sur rien. Trop de sensations étaient en train de l'assaillir, alors que les soupirs échappaient ses lèvres sans qu'elle n'en ait aucun contrôle. Ses mains s'accrochaient là où elles pouvaient, laissant ses marques sur ce corps qu'elle estimait sien. Le plaisir se fit plus intense, et bientôt Luis s'écarta doucement d'elle. Aloisia n'eut pas le temps de réagir que son époux revint s'allonger presque sur elle. La poitrine de la jeune femme se soulevait frénétiquement, alors qu'elle essayait de retrouver son souffle. Ses cheveux roux formaient un halo désordonné autour de son visage de poupée. Ses joies étaient rosies par l'effort et l'émotion. Luis attrapa son menton et l'attira à lui pour l'embrasser avec passion. Leurs langues se lancèrent dans une danse qu'ils maîtrisaient tout deux. Chacun se battait pour avoir le dessus, comme ils l'avaient toujours fait. Les doigts de Luis traçaient un chemin invisible sur son corps, tandis que la main d'Aloisia venait se placer dans la nuque du prince, comme pour l'empêcher de s'éloigner. Un sourire se forma sur les lèvres de la futur impératrice, tandis que sa main glissait vers le torse du brun. Doucement mais fermement, elle poussa Luis pour qu'il se retrouve à côté d'elle, sur le dos. A son tour elle vint s'allonger sur lui, profitant de sa position pour déposer des baisers dans le cou de son époux. Aloisia aimait ça, presque plus que l'acte en lui-même. La tendresse, la proximité des moments qu'ils partageaient après avoir fait l'amour. C'était dans ces moments que Luis était le plus doux avec elle. Ces moments qui lui faisaient penser qu'il était capable d'aimer. Peut-être juste pas elle. Un léger sourire se nicha au creux des lèvres de la rousse, tandis qu'elle se redressait pour plonger son regard dans les yeux du brun. « Tu penses qu'on a réussi à faire un bébé? » Ils ne réussiraient probablement pas du premier coup. Même si Lena était arrivée rapidement, ça ne voulait pas dire que les choses se passeraient de la même façon pour le deuxième. « Je pense qu'on devrait réessayer plus tard. Juste pour nous donner plus de chances, bien sûr. » Bien sûr. « Rien à voir avec le fait que tout ça m'ait manqué. » Le sourire qu'elle arborait s'illumina un peu plus. Ses yeux qui étaient restés ternes ces dernières semaines, s'éclairait d'un éclat que la rousse pensait perdu. « En fait je dirais même que tout ça est une vraie corvée. »
‹ STATUT CIVIL : Marié à Aloisia Freidrich, devenue Rosenwald. Cependant le brun n'est pas fidèle. Une rumeur court d'ailleurs à ce sujet, mais elle reste à l'état de rumeur car personne n'a de preuves. En effet, Luis est assez persuasif pour éviter que les autres ne parlent.
‹ STATUT DU SANG : Pur, il serait inconscient d'en douter. Ses capacités magiques démontrent de son sang pourpre, qui coule dans ses veines.
‹ OCCUPATION : Prince héritier à plein temps, exerçant le métier d'avocat principalement parce que c'est amusant. Ambitieux, Luis est incapable de ne pas travailler. Même si il n'exerce plus autant qu'il le voudrait, il a aime retourner au bureau pour s'occuper de quelques richissimes sorciers capables de se payer ses services.
‹ SCOLARITÉ : Goldadler, bien sûr, dans le pavillion des purs. Très bon étudiant, il n'a jamais raté dans une seule branche.
‹ ALLÉGEANCE : A sa famille, à sa mère, à lui-même.
‹ LOCALISATION : Berlin.
‹ INVENTAIRE : Son téléphone portable (qu'il déteste), un portefeuille qui ne le quitte jamais et son alliance, bien sûr, qu'il ne retire jamais.
Sujet: Re: ( the future starts slow. ) ft. aloisia rosenwald Jeu 6 Oct - 11:13
the future starts slow ft/Aloisia Rosenwald
La main de sa femme dans sa nuque semblait toujours y être à sa place, tant elle l’y glissait souvent. Aloisia trouvait ses marques sur son corps, et était d’ailleurs la seule personne à pouvoir y laisser de vraies marques, celles qui étaient visibles. Comme celles qu’il devinait, dans son dos, alors qu’il avait senti les ongles de sa belle s’enfoncer dans sa peau, comme souvent, comme toujours même. Il était conscient, parfois, du regard de ses amants et maitresses sur ces marques, comme un constant rappel qu’il n’était pas à eux, mais à Aloisia, et son alliance finissait de le leur rappeller, parce qu’il ne la retirait jamais. Jamais. La rousse poussa son époux, fermement, pour qu’il pose son dos contre le matelas et les oreilles. Résistant un peu pour la forme, ce qui le fit légèrement sourire d’ailleurs, il finit par s’abandonner, pour reccueillir cette rose contre lui, ce qu’elle ne tarda pas à faire. Elle déposa alors des baisers sur la peau de sa gorge, Luis glissant ses mains sur sa chute de reins, alors qu’il relevait un peu le menton pour lui laisser plus de place. Ses doigts parcourait sa colonne vertébrale quand elle releva la tête, et que Luis se plongea dans l’horizon émeraude de ses yeux. « Tu penses qu'on a réussi à faire un bébé? » Le jeune héritier eut un léger sourire. Il n’eut pas le loisir de répondre que la rousse continua. « Je pense qu'on devrait réessayer plus tard. Juste pour nous donner plus de chances, bien sûr. » Luis avait toujours son léger sourire amusé, bien sûr… « Rien à voir avec le fait que tout ça m'ait manqué. » Elle eut un sourire plus lumineux, qui retourna légèrement les tripes de son époux. « En fait je dirais même que tout ça est une vraie corvée. » Luis eut cette fois-ci un léger rire, émotion qui l’envahissait rarement mais qu’il était plus facile de retrouver en lui après l’amour. Son corps se libérait alors d’un poids, et il était plus sensible. Il agrippa les hanches de sa femme, la prit un peu plus sur lui et glissa ses mains sur ses cuisses, et son corps. « Tu n’aurais pas pu rêver meilleur mari, admet le. » Fit-il en venant lui mordiller la lèvre, doucement. « On réessaierai autant qu’il le faut, plusieurs fois par jour… » Il glissa une main à l’arrière du crâne de sa belle, l’attira à lui. « Et pas uniquement dans cette pièce. » Luis était un homme des plus normal quand il était en présence de sa magnifique épouse. Il lui était déjà arrivé d’avoir envie d’elle quand elle prenait sa douche, ou quand elle venait dans son bureau, et Luis n’était pas homme à se priver, quand il savait que sa femme le désirait tout autant. Le brun embrassa encore une fois sa femme. « On va devoir se lever tôt, demain… » Ils devaient toujours se rendre à Liepzig. Il l’aida à se décaler un peu, mais Aloisia resta contre lui et il n’en était pas dérangé. « Bonne nuit. » Fit-il doucement, la rousse lui souhaita une bonne nuit également et ils finirent par s’endormir rapidement, épuisé par tout, et surtout par ce qu’ils venaient de faire.
RP terminé
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Sujet: Re: ( the future starts slow. ) ft. aloisia rosenwald