Luis Rosenwaldimpérialiste de la Rose
‹ MESSAGES : 1342
‹ PSEUDO : bigbadwolf, lise.
‹ FACE & CREDITS : dylan o'brien / bbw + sign. tumblr/halsey
‹ ÂGE DU PERSONNAGE : 25 ans depuis le 14 mai.
‹ STATUT CIVIL : Marié à Aloisia Freidrich, devenue Rosenwald. Cependant le brun n'est pas fidèle. Une rumeur court d'ailleurs à ce sujet, mais elle reste à l'état de rumeur car personne n'a de preuves. En effet, Luis est assez persuasif pour éviter que les autres ne parlent.
‹ STATUT DU SANG : Pur, il serait inconscient d'en douter. Ses capacités magiques démontrent de son sang pourpre, qui coule dans ses veines.
‹ OCCUPATION : Prince héritier à plein temps, exerçant le métier d'avocat principalement parce que c'est amusant. Ambitieux, Luis est incapable de ne pas travailler. Même si il n'exerce plus autant qu'il le voudrait, il a aime retourner au bureau pour s'occuper de quelques richissimes sorciers capables de se payer ses services.
‹ SCOLARITÉ : Goldadler, bien sûr, dans le pavillion des purs. Très bon étudiant, il n'a jamais raté dans une seule branche.
‹ ALLÉGEANCE : A sa famille, à sa mère, à lui-même.
‹ LOCALISATION : Berlin.
‹ INVENTAIRE : Son téléphone portable (qu'il déteste), un portefeuille qui ne le quitte jamais et son alliance, bien sûr, qu'il ne retire jamais.
‹ COMPÉTENCES : charisme (niv. 2), leadership (niv. 1), cruauté (niv. 2)
| Sujet: ( behind every door is a fall. ) ft. katharina monaci Dim 4 Sep - 21:56 | |
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behind every door is a fall ft/Katharina Monaci Le brun n’était normalement pas habilité à faire ce genre d’interrogatoire, mais ils manquaient d’effectifs et l’avocat voulait participer. Il voulait trouver qui avait attenté à la vie de sa mère, car il était très protecteur envers son clan. Il était hors de question qu’on le projette sur le trône impériale, en volant la vie de sa précieuse mère. Le jeune héritier avait étudié un rapport d’arrestation. Katharina Monaci était présente dans une salle d’audience depuis maintenant plus de trois heures. Sa mère avait exigé qu’on apporte à boire et à mangr à tous les détenus des salles d’audiences. Ceux-ci n’étaient que des suspects “légers” et ne méritaient pas un mauvais traitement. Le brun avait aussi avalé quelque chose rapidement, avant de parcourir les couloirs qui le séparaient de la cour des juges, présente dans l’aile nord du palais. Son pas était vif et pressés, à cause de la colère qu’une telle attaque avait provoquée. Pourtant, comme à son habitude, Luis maitrisait parfaitement ses traits et semblait plus détendu que la plupart des officiers qui interrogeaient les autres suspects. Lui s’occupait des suspects les plus hauts placés, dont Katharina. Il toqua à la porte, par politesse, et attendit un instant avant de pénétrer dans la salle. On avait placé une table au milieu de la pièce, avec une chaise de chaque côté. « Madame Monaci. » Le brun s’approcha, conscient de son rang et du sien, conscient de l’animosité entre sa famille d’origine et la sienne. Il la salua cependant comme si elle n’était pas interrogée, à la merci de l’Empire qu’il représentait par son nom, son statut, et surtout son travail dans cette affaire. Le brun tira la chaise en face de celle de la blonde, et s’y installa. Il avait emmené un petit bloc-notes, préférant toujours travailler sur papier plutôt que sur ces ordinateurs portables que les humains avaient conçus. Il ne connaissait pas Katharina Monaci personnellement. Il avait déjà échangé quelques mots polis avec elle, lors de différentes soirées mondaines, et en était rapidement arrivé à une conclusion : elle était stupide. L’homme qu’elle avait épousé, Vittore Monaci, était bien à plaindre dans l’histoire, même si il semblait réellement tenir à la jeune femme. C’était aussi pour ça que Luis avait tenu à s’occuper de son cas lui-même, il fallait faire attention à ne pas ruiner ses relations avec l’héritier italien. « Vous comprenez pourquoi vous êtes ici ? » Demanda-t-il en notant dans un coin supérieur la date du jour. Un rapide coup d’œil à sa montre lui indiqua l’heure, qu’il nota également. Il écrivit le nom de la sorcière, et leva les yeux vers elle.
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