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 (MOSEA) Succumb to my blows, overhang your opponents.

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Liséa Rosenwald
impérialiste de la Rose

Liséa Rosenwald
(MOSEA) Succumb to my blows, overhang your opponents. Tumblr_inline_nyqirzymhk1qlt39u_500
‹ MESSAGES : 731
‹ PSEUDO : Littlewolf aka Hélène.
‹ FACE & CREDITS : Natalie Dormer. Avatar : Stolen Paradise & Signature : anaëlle.
‹ MULTICOMPTES : Seena, la fouine.
‹ ÂGE DU PERSONNAGE : 29 années qu'elle aime mettre en avant comme un bon vin dont on se délecte. Elle est pourtant accro à cette jeunesse qui la rend encore désirable.
‹ STATUT CIVIL : La bague au doigt, le pouvoir entre les mains. Mariée à Lukas par ambition, profitant de son statut et de son nom. Il est son meilleur ami, son confident et son amant mais l'amour n'y trouve pas son compte.
‹ STATUT DU SANG : Le carmin des rois, celui qui reste pur malgré les siècles qui passent. Elle est de ses bourgeoises qui crachent sur les mêlés, détestant leur existence depuis toujours.
‹ OCCUPATION : Femme politiquement engagée mais également directrice d'un cabaret. L'âme d'artiste qui s'évade à travers les corps, sa soif de pouvoir qui l'entraine dans les histoires d'adultes.
‹ COMPÉTENCES : manipulation (niv. 1) ; charisme (niv. 2) ; persuasion (niv. 1)



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MessageSujet: (MOSEA) Succumb to my blows, overhang your opponents.   (MOSEA) Succumb to my blows, overhang your opponents. EmptySam 20 Aoû - 15:39


Succumb to my blows, overhang your opponents.
ft/Morgan Winsomebird

Elle se promettait de ne plus recommencer après que Lukas ne découvre pas son secret. Liséa, elle ne pouvait combattre ses démons toute seule. Ses poings endommagés le visage de sa victime. Cette fois-ci, l'homme ne touchait pas à ses filles. Elle trouvait juste que cela était un délit de sale gueule. Elle en assumait les raisons, la jeune femme ressentait juste le besoin d’extérioriser une fois de plus sa haine et sa rage. L'homme semblait être un parfait remède. Elle le couvrait de coup, lui fracassant certainement une partie du nez tandis que l'homme se trouvait en état de choc, incapable de répliquer et de se défendre. Liséa, elle y mettait une fois de plus toute sa passion. Elle se rappelait du regard désapprobateur de son mari, de la cure qu'il lui proposait ou encore de l'allusion à sa fille et cette violence. La blonde, elle voyait à présent Lukas dans les yeux de cette victime. Elle l'aimait et le détestait à la fois. Ses sentiments qui vacillaient dans son esprit, promettant une fois de plus des heures d'insomnie. Elle finissait par enfoncer son talon aiguille dans la cuisse de l'homme, laissant jaillir un jet de carmin qui l'arrêtait comme à chaque fois. Cela suffisait. Il ne connaîtrait pas la mort ce soir. Ses doigts se dirigeaient instinctivement vers la plaie, se nourrissant une fois de plus de ce spectacle. Elle restait à genoux, jouant avec le sang qui glissait une fois de plus sous ses phalanges. Son nez s’imprégnait de l'odeur tandis que tous son corps frissonnait. Elle sentait le calme la gagnait, comme le devoir accompli. Liséa, elle restait là une heure, incapable de quitter sa victime des yeux. Elle vérifiait son pouls, allant même jusqu'à déposer un baiser sur la joue marquée de ses coups avant de finalement se lever. Elle adressait les mêmes instructions que d'habitude avant de remonter pour enchaîner sur un délicieux morceau de piano.

Après une heure passée avec ses filles et les notes de musique qui l’envoûtait encore, la jeune femme finissait par retrouver sa victime dans la cave. Il devait être dans les alentours de trois heures du matin. L'homme profitait bien trop de son cabaret qui devait fermer, la blonde devait retrouver sa famille pour ne pas éveiller les soupçons. Elle congédiait bien vite son bras droit, Liséa n'éprouvait aucune crainte face à cette victime affaiblie. Doucement, elle passait une main dans ses cheveux avant de lui donner des petites tapes pour que l'homme revienne à lui. Dix à vingt minutes plus tard, elle commençait à fondre en larmes. Il ne revenait pas à lui, le pouls faible et le teint pâle. Elle se levait, elle donnant un coup de pied dans le flanc comme dernier recourt. « Tu es bien trop laid pour mourir dans cet endroit somptueux, sale vermine. Bouge ton corps de traître sinon je t’achève de mes mains. » Ses paupières commençaient des vas et vient, l'homme revenait finalement à lui. Séchant ses larmes d'un revers pour qu'il ne s'en aperçoit pas, elle s'agenouillait pour relever son buste et être face à lui. Liséa, elle lui laissait quelques secondes pour reprendre ses esprits, cela semblait suffisant pour un impur. « Quel est ton nom ? » Elle se raclait la gorge, serant un peu plus les vêtements qu'il portait au col. « Je vais t'expliquer comment cela va se passer maintenant. Mes règles, mes exigences. Tu vas bouger ton sang impur de mon cabaret et oublier cette soirée. Tu n'en diras jamais rien où je viendrais finir le travail. Crois-moi, te défigurer serait une réelle jouissance. » Liséa, elle se trouvait tellement proche de lui et cette sensation de proximité lui donnait la nausée. Elle voudrait lui cracher à la figure, lui ôtait le droit de parole mais cela serait de trop. Elle ne pouvait pas, pour son mari. Elle se contentait des poings, de la violence. Liséa, elle se complaisait dans les menaces qui hanteraient à jamais ses victimes.
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MessageSujet: Re: (MOSEA) Succumb to my blows, overhang your opponents.   (MOSEA) Succumb to my blows, overhang your opponents. EmptyDim 21 Aoû - 13:09


SUCCUMB TO MY BLOWS,
OVERHANG YOUR OPPONENTS.
─ be crushed to preserve our beauty ─
Ce soir, je pensais que je pourrais profiter d'un peu plus des merveilles de ce monde. Je pensais que j'allais pouvoir fêter ma douce et agréable ascension en charmante compagnie. Observer ces douces créatures dans une ambiance de fête. Mais non, ce n'était pas le cas. Esprit embrouillé, mon corps à l'agonie trainait sur le parterre de ce qui semblait être le sous-sol, la cave. Qu'est-ce que j'avais bien pu faire déjà pour que je me retrouve dans une telle situation ? Comment j'avais pu arriver jusqu'à-là ? Et surtout, combien de temps allais-je resté enfermé ici dans la pénombre la plus presque totale ? Allais-je mourir ? J'avais si peur. Je me disais que oui, cela allait être la fin. Des coups torrentiels pleuvaient sur mon visage sans que je n'ai le temps de répliquer, de respirer. Je me contentai alors simplement de me débattre vainement, gémissant à chaque fois que cela faisait vraiment mal. Pleurant à chaudes larmes comme si cela suffirait à nettoyer mes plaies et le sol de ce sang rougeâtre qui peinturait tout mon être et mon emplacement. Mes prunelles bleutés, quant à elles, restent fixées sur la demoiselle, comme guettant le prédateur de son coup de grâce... Et le voilà qui arriva. Un coup de talon planté dans la cuisse, cela me donne la sensation d'une vive piqûre. Je grimace, plissant fermement les yeux et poussant un sifflement amer avant d'être arrêté lorsque je sens le flux carmin s'écouler en cascade sur ma jambe. Je suis également interloqué mais tout aussi apeuré lorsque je la vois placer ses mains délicates en direction de la blessure pour y récolter l'hémoglobine qu'elle laisse rouler entre ses doigts. Impuissant, j'assiste à cette scène sans avoir l'occasion de cogner à mon tour, de bouger ou même de répondre. Je ne suis plus qu'un jouet, une chose faite de chair, un animal que l'on martyrise et que l'on observe dans sa lente agonie insufflant ce sentiment de puissance et de sadisme alors que je ne suis plus maître de mon destin. Mon corps devient un défouloir et mon sang, si précieux, une matière que l'on peut inspecter à l'aide de tout ses sens. Ce soir, la demoiselle donne l'air d'une gamine s'amusant dans un bac à sable morbide... Je rougirais sans doute de honte à me voir ainsi déshumanisé si j'avais encore assez de raisiné pour remonter jusqu'à mes joues. Mais je perds peu à peu de ma vitalité... Bientôt, je me vois à l'état de cadavre. Assassiné sans aucune raison apparente... Et probablement abandonné tel un chien dans un endroit où personne ne viendrait me chercher.

Finalement, elle finit par s'arrêter peu à peu, comme si elle reprenait conscience de ses actions monstrueuses à mon égard. Un moment, j'avais l'espoir qu'elle me vienne finalement en aide, qu'après avoir cassé son jouet, elle chercherait à le réparer. Néanmoins, ce n'est pas le cas. Le seul geste attendrissant qu'elle a à mon égard, c'est ce baiser qu'elle vient doucement déposer sur ma joue meurtri, tel un fragile papillon se posant sur une brindille pour finalement repartir. Elle donne des instructions, puis remonte, me délaissant à mon triste sort. Lorsque je suis assuré de son absence, je démontre un peu plus mes émotions, ma tristesse, pleurant, gémissant, poussant des plaintes qui viennent résonner en un écho sinistre. Lorsqu'il me semble entendre des personnes passer prêt de la pièce devenue prison, je tente de crier, d’appeler à l'aide... Mais rien ni personne viendra à mon secours, me cédant à la confusion, aux interrogations qui se poussent dans ma tête et à mon reflet d'horreur que je peux légèrement distinguer dans cette marre carmin dont je suis la source... Enfin, je finirais par me laisser aller, comme si le repos me permettrait d'oublier. Ma tête tourne et je n'ai qu'une seule envie : partir. Partir pour ne plus souffrir, partir pour ne plus à revivre la nuit d'épouvante que je venais de vivre. Aucun homme ne devrait à vivre ce genre de situation.

Hélas, après quelques instants d'inertie, - je ne savais réellement le temps que j'avais passé sans bouger -, je sentis un nouveau coup au niveau de mes hanches, me poussant à sortir de la torpeur. Sa voix venait également agresser mes oreilles. ≪ - Tu es bien trop laid pour mourir dans cet endroit somptueux, sale vermine. Bouge ton corps de traître sinon je t’achève de mes mains. ≫ Les insultes fusaient. Après les attaques physiques, l'abandon, c'était une attaque morale. J'avais de la peine à cacher ma tristesse, toujours saisi par ce sentiment de confusion... Même si, c'était ainsi que j'aurais apprécié considérer moi-même les sangs-mêlés : comme de la vermine. Cependant, jamais j'aurais l'idée de leur faire ainsi du mal, même si ces derniers auraient très bien pu en être capable. C'est alors qu'elle m'attrape pour me relever. Je me laisse manipuler comme une poupée désarticulée, je n'ai plus la force de combattre. ≪ - Quel est ton nom ? ≫ Je tente de lui répondre, mais mes mots restent coincé au fond de la gorge, je ne produis alors qu'une simple stridulation à peine perceptible. ≪ - Je vais t'expliquer comment cela va se passer maintenant. Mes règles, mes exigences. Tu vas bouger ton sang impur de mon cabaret et oublier cette soirée. Tu n'en diras jamais rien où je viendrais finir le travail. Crois-moi, te défigurer serait une réelle jouissance. ≫ J'aurais voulu me révolter. J'aurais voulu lui crier, lui dire que je me laisserais pas faire, que je préviendrais la police. Que l'on ne peut forcer un être de se laisser battre et de le pousser à taire de cet injustice et pourtant, que pouvais-je réellement faire ? Quel flic chercherait à mettre une Rosenwald derrière les barreaux ? Car oui, je l'avais bien reconnu. Les sangs-purs se doivent être reconnaissable afin que l'on puisse se plier face à eux. Aujourd'hui, c'était à mon tour de courber l'échine et d'accepter ce qui était en train de m'arriver. Pire encore, je ne pourrais me plaindre auprès d'un quelconque proche, au risque de la voir revenir à nouveau... Elle me mettait dans l'embarras. Je ne voulais vouloir ma face de nouveau massacrée de la sorte, risquant alors de le voir exposer au grand jour lors de mes prochaines sorties... Non, je devrais me contenter d'une autre apparence. Je ne pouvais me permettre de m'afficher dans un tel état. Au mieux, il valait pour moi de rejoindre l'hôpital le plus proche. ≪ - O..Oui... Ma..dame... ≫ lui répondis-je docilement tandis que paradoxalement, mon regard la dardait en une expression de haine.


Dernière édition par Morgan Winsomebird le Lun 12 Sep - 21:37, édité 1 fois
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Liséa Rosenwald
impérialiste de la Rose

Liséa Rosenwald
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‹ STATUT CIVIL : La bague au doigt, le pouvoir entre les mains. Mariée à Lukas par ambition, profitant de son statut et de son nom. Il est son meilleur ami, son confident et son amant mais l'amour n'y trouve pas son compte.
‹ STATUT DU SANG : Le carmin des rois, celui qui reste pur malgré les siècles qui passent. Elle est de ses bourgeoises qui crachent sur les mêlés, détestant leur existence depuis toujours.
‹ OCCUPATION : Femme politiquement engagée mais également directrice d'un cabaret. L'âme d'artiste qui s'évade à travers les corps, sa soif de pouvoir qui l'entraine dans les histoires d'adultes.
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MessageSujet: Re: (MOSEA) Succumb to my blows, overhang your opponents.   (MOSEA) Succumb to my blows, overhang your opponents. EmptyLun 22 Aoû - 15:50


Succumb to my blows, overhang your opponents.
ft/Morgan Winsomebird

Elle aimait cette impression de toute-puissance. Ce sentiment que son corps frêle puisse faire autant de dégâts. Liséa, elle en ressentait le besoin. Quand elle assenait ses coups, elle se sentait bien plus vivante que jamais. Elle respirait enfin. Elle se libérait de tous les poids qui la rendaient lourde et molle. La blonde se retrouvait, se dévoilait. Elle ressentait la liberté reprendre le dessus sur son mariage et sa vie qui filait à toute allure. Liséa, elle ne pouvait à présent plus s'en passer. Cela devenait de plus en plus fréquent, la haine s'emparait de tout son être pour faire ressortir cette noirceur qui ne la caractérisait pourtant pas. Non, c'était bien cette facette qu'elle tentait de cacher au monde entier. Ses victimes devaient se taire, vivre dans le silence et la terreur. Elles devaient se contenter de soigner leurs plaies et vivre dans la peur constante que quelqu'un achève le travail. Liséa, elle se voulait convaincante sur ce point-là. Un jour, pourtant, elle franchirait le pas. Celui de la mort, douce vicieuse qui venait la tenter à chaque fois. Elle en rêvait, ôter la vie n'était pas anodin. Et cette fois, elle la frôlait à nouveau avec cet homme qui se trouvait à terre. Liséa, elle se liquéfiait quand il ne présentait plus de signes vitaux. L'homme ne se réveillait pas, il restait dans ce bain de sang qui lui allait si bien. Elle paniquait, priait la rose en silence. Pas ce soir, elle ne voulait pas tuer sans l'avoir réellement voulu. Non, elle imaginait une mise en scène spéciale ainsi qu'un décor qui lui donnerait l'inspiration. Un salon garni de bougies, un tapis blanc velu qui se recouvrirait de carmin. Une bouteille de vin et une tête de cerf empaillaient sur le mur. Elle était romantique avec la mort, incapable de l'imaginer autrement qu'avec poésie. L'idée semblait séduisante, elle en bavait d'avance. Pourtant, elle se trouvait bien dans cette cave avec un homme inconscient sur les bras.

Il se réveillait enfin alors qu'elle lui adressait les consignes habituelles. Elle connaissait son discours sur le bout des doigts. Liséa, elle en faisait une habitude, ce délectant du regard inquiet de ses victimes. Pourtant, lui, il ne semblait pas s'en méfier. Les regards ne trompaient pas, le sien lui adressait un mépris sans pareil. Elle savait cerner les personnes, comprendre leurs émotions. Un rire léger et poétique venait clore les mots hasardeux de son interlocuteur. Elle passait sa main sur son visage ensanglanté, caressant sa joue avec douceur avant de se mordre la lèvre. Son visage rompait toute la proximité, lui envoyant son doux souffle alcoolisé en guise d'oxygène. « Mon doux. Ne me regarde pas comme cela, je risque d'être la dernière personne que tu verras. Je préfère quand ils font peur et qu'ils me supplient de les épargner. Certains me racontent leur vie, d'autres essayent de me toucher avec le prénom de leurs enfants. Tout ce que je veux, c'est le silence. Rien de plus, rien de moins. » Elle faisait taper la tête de l'homme contre le béton glacé d'un simple geste. Une manière d'asseoir sa dominance. « Je t'ai posé une question, quel est ton foutu prénom ? » Elle devenait plus insistante, enlevant sa main du minois de sa victime. Liséa, elle y prenait réellement du plaisir. Il ne partirait pas tant qu'elle ne serait pas sûre de son silence. Elle ne se laisserait pas trahir aussi facilement. La blonde voulait lire la crainte dans son regard, en voir toutes les nuances pour finalement s'en nourrir. Elle en devait obsédée, incapable de vivre sans ce délice interdit.
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MessageSujet: Re: (MOSEA) Succumb to my blows, overhang your opponents.   (MOSEA) Succumb to my blows, overhang your opponents. EmptyMer 24 Aoû - 4:04


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Mon regard restait accroché au sien, d'une manière menaçante et pourtant, je ne pouvais pas dire que j'étais inquiet. Après cette nuit d'angoisse et de souffrance, je savais que je n'allais point quitter cet endroit dans mon plus beau des états. Je serais blessé et ma conscience brisée. Je me remettrais sans doute en question sur la valeur de ma personne et les raisons qui me poussent encore à essayer d'obtenir les bonnes grâces de cette société. Rien, pas même mon acharnement ne pourrait convaincre un individu élevé d'accepter un autre être dans son cercle précieux. Au moins, si je ne voulais pour l'instant croire que ma vie est bien moins importante que la demoiselle Rosenwald, je me disais qu'il y avait certains individus dont je pouvais oublier les relations. À commencer donc par la terrible Liséa et son cabaret dédié aux privilégiés... Oui. Elle ne me verrait plus ici si c'est ce qu'elle désirait. Mais je comptais bien trouver un moyen afin d'obtenir justice par moi-même, qu'importe les moyens que j'userais pour cela. Peut-être même que mes poings seront capables de cogner aussi fort que les siens sur mon pauvre crâne... Dans le creux de la tête, je l'imaginais déjà victime à ma place, moi la tenant comme elle me tenait actuellement. Un pauvre corps que l'on transporte et que l'on manipule tel un pantin désarticulé. Si seulement elle pouvait deviner mes pensées. Au lieu de cela, elle rigole de manière insouciante... Qu'elle profite, pendant qu'il en est encore temps ! ...Elle me touchait le visage aussi, de sa main se faisant bien plus délicate venant se poser sur ma joue torturée. Je la laissais faire, je n'avais pas le choix. Et pourtant, je désirais me défendre, l'empêcher de montrer ainsi ces signes d'affections lorsque précédemment, elle me battait comme un animal sans défense. Son visage se rapprocha ensuite, m'obligeant à humer son haleine alcoolisée et elle se mit à répondre à nouveau de ses paroles insolentes. ≪ - Mon doux. Ne me regarde pas comme cela, je risque d'être la dernière personne que tu verras. Je préfère quand ils font peur et qu'ils me supplient de les épargner. Certains me racontent leur vie, d'autres essayent de me toucher avec le prénom de leurs enfants. Tout ce que je veux, c'est le silence. Rien de plus, rien de moins ≫ Mes prunelles tentent alors de se faire plus douce. Je n'ai, hélas, rien de bien agréable à raconter. Je n'ai, pour le moment, pas d'enfant dont je pourrais plaindre. Je ne peux parler plus explicitement de ma condition de magicien aussi, ainsi que ma famille... Alors soit, je ne dirais rien puisque c'est cela qu'elle désirait obtenir. Le silence. J'étais prêt à clore mon bec, en espérant obtenir prochainement la liberté. Est-ce cela serait suffisant pour que je puisse enfin quitter cet enfer ? Non, hélas. D'une poigne, elle vient cogner ma tête contre le sol dur que j'embrasse à nouveau avec violence. De nouveau, je gémis laissant couler d'autres larmes sur ma face fatiguée, abîmée. Cette position commence à devenir réellement incommodante, le désir d'abandon augmente... Je suis certainement prêt à faire n'importe quoi pour disposer de mes besoins les plus urgents : les soins, la liberté. ≪ - Je t'ai posé une question, quel est ton foutu prénom ? ≫ À peine a-t-elle le temps de terminer sa phrase, que je finis par répondre en une plainte presque criarde et dolente ≪ - Morgan...! Je m'appelle Morgan ! ≫ Je ne rajoute rien. Et pourtant, je voudrais supplier, lui demander de me sortir d'ici. Mais au fond de moi, j'ai peur que cela ne pousse à me créer encore plus de problème. Et puis, malgré ma situation, je tiens à une certaine forme d'honneur, croire que je n'ai pas peur. Mais c'est un mensonge. Je suis terrifié, je veux quitter ce lieu maudit, je veux arrêter de souffrir.


Dernière édition par Morgan Winsomebird le Lun 12 Sep - 21:37, édité 1 fois
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Liséa Rosenwald
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‹ STATUT CIVIL : La bague au doigt, le pouvoir entre les mains. Mariée à Lukas par ambition, profitant de son statut et de son nom. Il est son meilleur ami, son confident et son amant mais l'amour n'y trouve pas son compte.
‹ STATUT DU SANG : Le carmin des rois, celui qui reste pur malgré les siècles qui passent. Elle est de ses bourgeoises qui crachent sur les mêlés, détestant leur existence depuis toujours.
‹ OCCUPATION : Femme politiquement engagée mais également directrice d'un cabaret. L'âme d'artiste qui s'évade à travers les corps, sa soif de pouvoir qui l'entraine dans les histoires d'adultes.
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MessageSujet: Re: (MOSEA) Succumb to my blows, overhang your opponents.   (MOSEA) Succumb to my blows, overhang your opponents. EmptyVen 26 Aoû - 14:37


Succumb to my blows, overhang your opponents.
ft/Morgan Winsomebird

Elle aimait lire cette innocence dans le regard de ses victimes. Décrypter leurs souffrances, sonder leur âme jusqu’à ce qu’ils s’épuisent. Liséa, elle ne se lassait pas des supplications et du souffle saccadé à la limite de la rupture. Tous ses sens se trouvaient en éveiller quand la violence se faisait ardente. Elle en jubilait, s’en nourrissait, s’en délectait. Le palpitant qui battait à s’en rompre, ses poings qui devenaient sa meilleure arme. Elle n’utilisait que très peu la magie en matière de torture. Non, la blonde préférait de loin ce contact charnel. Elle aimait sentir l’ossature se briser, la peau s’effriter. Tout cela semblait si évident pour elle, comme une habitude dont on ne se lassait pas. Elle le faisait comme pour remplacer la cigarette, comme une addiction qu’on ne pouvait contrôler. Les plaisirs se décuplaient, l’envie d’amour et de haine à son paroxysme. Elle se sentait forte, elle se sentait belle. Aucune autre activité ne lui procurait cette sensation de grandeur, même le regard de son mari ne pouvait refléter ce sentiment si singulier. C’était elle et sa victime, elle et le carmin qui gisait sur le sol. Ses démons. Ses maux. Ses vices qui assouvissaient enfin leurs fantasmes morbides. Liséa, elle laissait son esprit divaguer. Elle exprimait toutes les frustrations et les silences qu’on lui imposait. Un lion qui sortait de sa cage, un animal dont seule une piqûre de tranquillisant serait en mesure de calmer l’ardeur. Personne ne pourrait l’arrêter, même pas les promesses faites à Lukas dans cette même pièce.

Elle le regardait avec compassion. Un instant. Une seconde. Un geste affectueux avant de lui faire, une fois de plus, mal. Liséa, elle lui demandait encore une fois son prénom comme ci cela avait la moindre importance. Comme-ci cela allait compter dans l’équation. Elle attendait qu’il la supplie, qu’il l’implore. Morgan. Elle haussait les sourcils. Bien trop de simplicité. La blonde, elle lui adressait un sourire, l’attrapant par les cheveux pour qu’il ne baisse plus le regard. « Tu veux partir, Morgan ? » Une voix douce, mélodieuse. « Tu veux que j’abrège tes souffrances ? Tu ne veux plus avoir mal, je suppose. » Elle lâchait la chevelure, attrapant à présent sa nuque en laissant glisser ses ongles sur tout le long. Il se trouvait si vulnérable, si inoffensif. Elle passait sa langue entre ses lèvres, passant son autre main sur le torse meurtri de sa victime. « Il fallait y penser avant de naitre avec ce sang impur qui coule dans tes veines. Avant de n’être qu’un mêlé qui me répugne. » Ses doigts serrés à présent une partie de sa cage thoracique. Elle voulait sentir son palpitant s’emballait. « La purge, ça te dit quelque chose? » Liséa, elle ne l’avait jamais fait à qui que ce soit. Vider un homme de son sang revenait à lui ôter la vie. Ses yeux qui trahissaient son désir de le voir souffrir encore et encore. De la vermine, voila ce qu’il était.
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MessageSujet: Re: (MOSEA) Succumb to my blows, overhang your opponents.   (MOSEA) Succumb to my blows, overhang your opponents. EmptyDim 28 Aoû - 4:36


SUCCUMB TO MY BLOWS,
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─ be crushed to preserve our beauty ─
Peu à peu, j'avais le sentiment de me perdre dans la folie. Qu'attendait-elle seulement réellement de moi outre la souffrance ? Quand est-ce que mes maux allaient être suffisant pour la calmer et la pousser à s'arrêter ? Peut-être que... Peut-être que ce moment n'arrivera probablement jamais. Peut-être attendait-elle simplement à ce que je pousse mon dernier soupire pour ensuite se délecter de cette situation de domination à l'extrême. Arracher l'âme d'un être vivant qui s'était à peine débattu pour conserver sa vie. Une biche tombée dans les pièges du chasseur. Une proie dans les griffes de son prédateur... Dorénavant, j'avais le sentiment que je pouvais craquer à chaque instant. Qu'à chaque secondes, ça allait être la fin de mon existence... Ou bien, sans doute allais-je crier et implorer comme jamais je ne l'avais fait jusqu'à présent. Me soumettre complètement afin qu'elle puisse en tirer une pleine satisfaction et finisse par se lasser pour finalement me relâcher. Oh, comme j'espérais quitter cette cave un jour. Comme je voulais retrouver la liberté et continuer à vivre comme si cette nuit ne s'était jamais déroulée. Elle avait gagné. J'acceptais de ne rien dire, j'acceptais de me laisser faire si seulement je pouvait continuer à exister. Je ne demandais rien de plus. Seulement exister. Était-ce seulement si compliqué que cela ? Face contre le béton, je laisse mes larmes coulées le long de mes joues. Elles balayent légèrement le sang, mais ce n'est pas assez pour retirer cette trop grosse quantité qui tâche mon être ici et là, dégageant une odeur désagréable de fer. Alors, elle se saisit de ma crinière pour m'obliger à la regarder à nouveau. Mes prunelles se lèvent dans sa direction. Il n'y a plus aucune haine qui traverse mon expression... Mais une angoisse naissante rendu encore plus pitoyable avec mes pleurs qui rougissaient mes yeux. ≪ - Tu veux partir, Morgan ? (...) Tu veux que j’abrège tes souffrances ? Tu ne veux plus avoir mal, je suppose. ≫ Oh oui, je ne voulais plus avoir mal... Mais je voulais vivre. Vivre jusqu'à ce que mon heure arrive définitivement. Et cela ne devait aucunement arriver avant. Pour moi, c'était bien trop tôt. Et les conditions étaient si rudes... Mais allait-elle seulement me laisser le choix ? Je ne crois pas. Néanmoins, j'ose malgré tout prendre la parole... ≪ - N...Non... je veux vivre... ≫ Elle finit alors par relâcher mes cheveux pour finalement me saisir la nuque d'une main tout en plaçant l'autre sur mon torse afin de me retenir. ≪ -Il fallait y penser avant de naitre avec ce sang impur qui coule dans tes veines. Avant de n’être qu’un mêlé qui me répugne. ≫ Je me lamente de désespoir. ≪ - Pitié... ≫ fis-je alors doucement. ≪ - Je ferais tout ce que vous voudrez... Pitié... Insistais-je. L'honneur ? Je l'avais soudainement oublié... Après tout, il n'y avait pas plus important que la vie. Aussi, je voulais exister... Qu'importe les conditions dans lesquelles j'allais vivre. Je pouvais très ben dépendre d'un individu, cela ne m'allait pas pour autant empêcher d'exister comme il se devait être. ≪ - La purge, ça te dit quelque chose? ≫ me demande-t-elle alors. Un frisson me parcourt l'échine. Je suis transi de peur. Est-ce qu'elle comptait me tuer finalement ? Est-ce qu'elle désirait se débarrasser de moi de la même manière que l'on jette un jouet lorsqu'il est cassé ? Je n'osais répondre... Bien sûr que je connaissais la purge. ≪ - Vous avez besoin d'un peuple sur lequel gouverner... ≫ rétorquais-je. Oui. La purge ne pouvait se faire. Les souverains dépendaient de cette plèbe sorcière qui faisait bouger le monde à leur place. Nous tuer reviendrait à les mettre dans l'embarras également. Nous avions beau être de la vermine, nous restions à ce jour malgré tout très efficace... Néanmoins, je savais également que la perte d'un seul homme ne pouvait provoquer un tel bouleversement : ma vie restait donc en danger quoiqu'il arrive. Tant qu'elle me manipulait entre ses mains, je ne pouvais qu'attendre et craindre la suite.


Dernière édition par Morgan Winsomebird le Lun 12 Sep - 21:38, édité 1 fois
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Liséa Rosenwald
impérialiste de la Rose

Liséa Rosenwald
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‹ PSEUDO : Littlewolf aka Hélène.
‹ FACE & CREDITS : Natalie Dormer. Avatar : Stolen Paradise & Signature : anaëlle.
‹ MULTICOMPTES : Seena, la fouine.
‹ ÂGE DU PERSONNAGE : 29 années qu'elle aime mettre en avant comme un bon vin dont on se délecte. Elle est pourtant accro à cette jeunesse qui la rend encore désirable.
‹ STATUT CIVIL : La bague au doigt, le pouvoir entre les mains. Mariée à Lukas par ambition, profitant de son statut et de son nom. Il est son meilleur ami, son confident et son amant mais l'amour n'y trouve pas son compte.
‹ STATUT DU SANG : Le carmin des rois, celui qui reste pur malgré les siècles qui passent. Elle est de ses bourgeoises qui crachent sur les mêlés, détestant leur existence depuis toujours.
‹ OCCUPATION : Femme politiquement engagée mais également directrice d'un cabaret. L'âme d'artiste qui s'évade à travers les corps, sa soif de pouvoir qui l'entraine dans les histoires d'adultes.
‹ COMPÉTENCES : manipulation (niv. 1) ; charisme (niv. 2) ; persuasion (niv. 1)



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MessageSujet: Re: (MOSEA) Succumb to my blows, overhang your opponents.   (MOSEA) Succumb to my blows, overhang your opponents. EmptyJeu 1 Sep - 21:07


Succumb to my blows, overhang your opponents.
ft/Morgan Winsomebird

Elle le manipulait tel un joué luxueux dont on se lassait, le maltraitant avec douceur mais fermeté. Morgan, il commençait à la supplier. Liséa, elle jubilait. Cette sensation de toute-puissance qui lui faisait tourner une fois de plus la tête. Il faisait ce qu’elle désirait le plus. Elle détenait sa vie entre ses mains, le manipulant comme un simple pantin de bois. Cette victime l’amusait bien plus que d’habitude. Elle voulait le formater, le façonner à son image. La blonde voulait lire la crainte dans ses yeux et cela pour toute une vie. Liséa, elle désirait le croiser dans la rue et que ses genoux s’entrechoquent jusqu’à le mettre à terre. Il fallait qu’il la craigne, qu’elle prenne le dessus une bonne fois pour toutes. La blonde finirait certainement dans les limbes pour ses agissements mais plus rien ne semblait compter à ses yeux. Elle oubliait son rang social, son statut de mère et d’épouse. Liséa, elle n’était que ce bourreau qu’on méprisait et cela lui suffisait amplement. Elle lui parlait de purge, de cette pratique qui sauvait le sang pur. L’idée alléchante lui trottait dans la tête depuis un bon moment. Il lui suffisait de croiser la mort une fois, rien qu’une fois. Cela paraissait si simple mais elle en restait incapable. Pas maintenant. Liséa, elle avait d'autres projet pour cet homme qui semblait assez intelligent pour comprendre. Sa phalange qui parcourait les lèvres de sa victime pour qu’il se taise. Sa voix l’agaçait, le fait qu’il respire le même air qu’elle la rendait fou. Un sourire narquois accroché au minois. « Nous gouvernons le peuple dans l’ombre. » Elle gloussait. « Tu es terrifié et tu feras ce que je désire, n’est-ce pas, mon sucre ? J’appelle cela gouverner. Par la terreur, certes, mais j’ai cette emprise sur ta pauvre âme. » Liséa humidifiait ses lèvres, ne bougeant pas une phalange. « J’ai simplement besoin d’un infiltré pour faire les dégâts à ma place. Un polissoir capable d’abimer les sales vermines qui marchent libres dans les rues. J’ai bien envie que tu m’amènes à tes amis mêlés pour les massacrer un à un. » Son sourire qui s’agrandissait à cette idée. Les yeux rivés sur Morgan, lui dévoilant ses plans. Elle le tiendrait, un chien accroché à une laisse. « C’est si simple, je m’en réjouis à l’avance. » Liséa, elle finissait par ôter son doigt, laissant la parole libre à son nouveau pantin.
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MessageSujet: Re: (MOSEA) Succumb to my blows, overhang your opponents.   (MOSEA) Succumb to my blows, overhang your opponents. EmptyLun 5 Sep - 10:25


SUCCUMB TO MY BLOWS,
OVERHANG YOUR OPPONENTS.
─ be crushed to preserve our beauty ─
Après mes supplications et mes rétorquations, c'est à son tour de me répondre, me coupant presque la parole en posant ses doigts sur mes lèvres. ≪ - Nous gouvernons le peuple dans l’ombre. ≫ Elle se mit alors à rire, telle une petite fille amusée... Non. Si certains purs devaient avoir les mêmes idées que les siennes sans pour autant les montrer face à la populace, elle n'était pas n'importe qui. Dorénavant, elle est une Rosenwald. La famille régnante sur notre pays. Elle ne faisait donc pas que de gouverner parce que son sang lui donnait des privilèges, son nom même lui en donnait bien plus encore. ≪ - Tu es terrifié et tu feras ce que je désire, n’est-ce pas, mon sucre ? J’appelle cela gouverner. Par la terreur, certes, mais j’ai cette emprise sur ta pauvre âme. ≫ Je fronçais les sourcils... Voilà donc le sort que l'on nous réservait prochainement ? Choisir quelques créatures infâmes, leur faire du mal afin d'effrayer les autres pour garder un maximum le contrôle ? Ingénieux, mais si barbare. Avions-nous réellement besoin de tout cela pour asseoir des gens ? Moi, je voyais cela d'une autre manière : Les puissants ensembles contre les plus frêles. Les magiciens et les purs contre les mêlés... Oui, il suffisait simplement de voir notre importance dans la société. Nous serions des alliés importants, de taille à écraser les mêlés détestables avec eux, alors que ces êtres nous jalousaient si ce n'est nous haïssaient... Mais pouvait-elle le savoir, Liséa, alors que justement, je me faisais passer pour du parasite au sang mêlé ?

≪ - J’ai simplement besoin d’un infiltré pour faire les dégâts à ma place. Un polissoir capable d’abimer les sales vermines qui marchent libres dans les rues. J’ai bien envie que tu m’amènes à tes amis mêlés pour les massacrer un à un. ≫ Je ne bougeais plus, comme figé par ses propos. Si l'idée de gouverner sur ces individus ne me gênaient guère, le fait même d'être complice d'un assassinat me gênait bien plus... Et puis d'ailleurs, quels étaient les individus que l'on pouvait viser ? En parlant d'ami, de qui voulaient-elles parler ? Devrais-je moi-même aller vers ces individus qui me côtoyaient pour les achever de mes propres mains ? Oui j'avais peur, oui j'étais prêt à faire n'importe quoi pour retirer mes chaînes qui m'entravaient ici, mais pas tuer mes plus proches amis. D'ailleurs, peu de mêlés comptaient dans mes relations... Elle finit donc par retirer son doigt de mes lèvres, me laissant parler à nouveau. Je mis quelques temps avant de lui répondre. ≪ - Voulez-vous que je vous aide à débusquer les quelques terroristes au sein de cette société qui subsistent ? ≫ Quand je parlais de terroristes, je parlais bien sûr de ces mêlés et de ces magiciens qui avaient déjà commis diverses attaques contre les purs et qui comptaient bien renverser le gouvernement, qu'importe ce que cela allait leur coûter. De ces gens, je n'avais pas besoin d'être effrayé pour avoir l'idée de contre-attaquer. Néanmoins, après une telle torture au sein de cette cave, je ne savais plus vraiment vers qui je devais me rattacher, qui étaient mes vrais alliés. ≪ - ...Cela sera avec grand plaisir. ≫ rajoutais-je donc finalement.
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