Sujet: (Panfilo) It's a mess complete love. Sam 20 Aoû - 18:23
It's a mess complete love.
Réunion générale. Tu écoutes, tu parles, alors que d’autres s’énervent pour un rien. Ta patience est sans limites, laissant les autres sortir de leurs nerfs, alors que tu échangeais des regards avec certains qui comme toi ne perdaient nullement patience. Tu n’avais pas de temps à perdre avec les broutilles, ayant des hommes à mener au combat, à mettre en poste quelconque ici et là. Après deux bonnes heures, la réunion s’achève et tu es bien heureux que celle-ci soit terminer. Entre Siggy qui ne cessait de te prendre la tête, répugnant tes multiples absences et les soucis de la vie quotidienne, tu n’avais semble-t-il plus autant de patience que dans tes bons jours. Tu te lèves pour saluer les Généraux, ainsi que les autres Lieutenants-Généraux dont tu faisais parties. Dix pour être exactes. Sortant de la pièce en silence, tu te diriges directement vers ton bureau. De la paperasse t’attendait à ton plus grand désespoir. Tu détestais ça, ne rêvant que d’une chose, retrouver la demeure familiale et partager un café avec ton frère. Enfin, s’il n’était encore au bureau. Un soupire s’échappe de tes lèvres alors que tu pousses la porte du bureau, allant t’affaler dans ton fauteuil devant une foutue montagne de papier. Dire que tu t’étais engager pour combattre, te voilà condamner à également faire de la paperasse. Charmant. « Monsieur Löwewald, Monsieur Monaci demande à vous voir. » Ton regard se lève vers la secrétaire, alors qu’un soupire t’échappe. Tu n’avais pas besoin de demander de quel Monaci il s’agissait, un seul était capable de rameuter ses fesses sur ton lieu de travail.
« Dites-lui que je suis occupé ou, inventer une excuse pour qu’il quitte les lieux. » Un sourire étrange se dessina sur ton visage, alors que déjà, tu sentais les ennuis arriver face à cette annonce. Oui, tu l’avais fait exprès, sachant pertinemment bien que cela attiserait la colère de Panfilo, ton amant. Contrairement à toi, celui-ci avait le sang chaud et ta retenue depuis la fausse couche de Siggy envers lui ne devait certainement pas l’enchanter. Avant que la jeune femme ne sorte, tu ajoutes simplement. « Si vous voyez qu’il s’énerve, laisses-le entrer et faites-en sorte que nous ne soyons pas dérangés. Je m’occuperais de son cas. » Elle affirme qu’elle comprend ma demande, sortant alors du bureau pour annoncer la charmante nouvelle à l’Italien. Depuis quand n’avais-tu pas croisé son chemin ? Son lit ? Plus d’une semaine maintenant, le laissant sans grandes nouvelles, lui ayant tourné le dos sans retenue alors qu’il te criait de ne pas le faire. Comment votre « histoire » avait-elle commencée ? Entre haine, violence, attirance, où cela avait-il foiré complètement ? Tu n’arrivais pas à t’en souvenir, c’était venu si naturellement, si brutalement que tu en étais encore perturbé malgré le nombres de mois passés. Alors que tu griffonnais quelques informations sur un dossier, observant ton écran d’ordinateur par la même occasion, ta porte s’ouvre et tu souris de nouveau avec arrogance. Bien sûr que tu t’y attendais. Panfilo n’était pas patient et encore moins soumis aux ordres, aussi bien cachés soient-ils.
« Ne t’a ont jamais appris à frapper avant d’entrer ? Ma secrétaire n’a-t-elle pas été assez clair sur le fait que j’étais occupé. » Ta voie est calme et mielleuse, alors que tu redresses les yeux vers l’homme qui ne semblait pas de bonne humeur. Déposant ton stylo, tu t’appuies davantage dans contre le dossier de ton fauteuil, croisant les bras contre ton torse. Se jouer des apparences tu y arrive sans soucis, d’ailleurs, à l’instant même tu le dévorais des yeux sans le laisser paraître.
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Sujet: Re: (Panfilo) It's a mess complete love. Sam 20 Aoû - 23:16
retribution
Alekseï & Panflio
Tu tombes, tes bras en avant, sur le bureau de sa secrétaire. Tu portes ce sourire charmeur et malsain qui te sied si bien. Tu empestes l'alcool et le stupre. Cette nuit tu n'as pas dormi. Tu as fait la fête, comme toutes les nuits avant celle-ci. Tu es un prédateur nocturne. Tu ne chasses pas le jour. La chemise légèrement ouverte, tu offres à sa secrétaire une vue plongeante sur ton torse viril. Elle semble aimer ce que tu lui offres. Tu penses alors que cela sera plus facile que tu le pensais. Tu agites tes doigts dans l'air. Des pétales de roses s'échappent de tes doigts et une fleur vient s'enrouler autour de ton poignet. « Pour la plus belle des roses. Mr Löwewald est-il là ? Pouvez-vous lui dire que Panfilo Monaci souhaite le voir ? » Elle te sourit et disparait. Elle revient quelques minutes après avec une excuse complétement stupide qui te fait lever les yeux au plafond.
« Monsieur Löwewald est en réunion. Il ne peut vous recevoir. Voulez-vous lui laisser un message ? » Tu fulmines. Un courant électrique parcourent tes doigts. Le bois du bureau devant toi se noircit légèrement et des vibrations viennent frapper par vagues les pieds du meuble. Tu es un Monaci. Tu n'aimes point entendre le mot : " Non." Les yeux de sa secrétaire s'ouvrent en grand et tu calmes le jeu aussitôt. Tu retrouves ton calme et dissimules tes frustrations devant un faux sourire de circonstance. Tes mains repoussent le pendant de ta veste en arrière et tes doigts viennent jouer avec la boucle à ta ceinture. « Allez prendre un café...Je m'occupe du reste. Je vous assure que tout va bien. Prenez-vous ce que vous voulez.» Tu sors un billet de ta poche puis tes doigts s'agitent dans les airs. Tu utilises tes dons de Manipulation et cela même si ton père te punirait lourdement s'il t'avait vu à l’œuvre. « Vous avez raison...J'ai besoin d'une petite pause...» Le champ est libre et ta colère peut maintenant exploser.
Tu rentres dans le bureau de ton Lion sans t'annoncer. Tu souris aux paroles prononcées. Ta main claque violemment la porte et fait tomber les stores. Cette colère tu ne la dissimules même plus. Tu humes le parfum de son bureau. Son parfum t'a manqué, mais cela tu ne lui diras pas. « Occupé ? Laisse moi rire. Toi, qui te proclamait soldat, tu es devenu un vulgaire petit bureaucrate. Dis-moi, c'est elle qui taille tes crayons en papier où tu arrives encore à faire à cela toi-même ?» Tu frappes l'égo de ton Lion. Tu veux le faire rugir, car tu es en position de faiblesse. Ta simple présence ici est une disgrâce. Toi, qui avait juré de ne plus voir le Löwewald. Que tu en avais terminé avec celui qui t'avait rejeté pour rejoindre sa chère petite épouse. « Alors, c'est ici que tu passais tes journées avant de venir me supplier pour que j'arrache les boutons de ton pantalon avec mes dents ? C'est assez pathétique.» Tu continues les attaques. Tu es un Monaci. Tu continues d'attaquer jusqu'à que la personne soit à terre et te supplie d'arrêter.
Tu fais le tour de son bureau un air dégouté accroché au visage. Tu ouvres des dossiers, tu fais tomber de la paperasse. Aucune douceur. Tu n'as jamais été quelqu'un de doux. Tu lis, sans aucune gène les informations sur son écran d'ordinateur. Cependant, c'est le cadre photo sur le côté qui attire ton regard. Une photo de celle qui partage ses draps et qui a perdu un enfant. Oui, elle ! Tu frappes violemment le cadre et celui vient exploser contre le mur. Tu expires enfin avec une délectation complétement assumée. Cela fait du bien. Un bien fou. Ce n'est pas pourtant terminé, ce n'est que le début. Tu attends simplement que ton Lion sorte de ses gonds. Tu veux voir ses crocs. Tu veux les sentir se planter dans ta carotide. Tu veux tout simplement son contact, mais tu es bien trop fier pour le reconnaitre.
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Sujet: Re: (Panfilo) It's a mess complete love. Sam 20 Aoû - 23:44
It's a mess complete love.
La porte se claque et tes stores tombent sur le coup. Tu soupires face à cet acte de violence. Panfilo n’était pas homme de douceur, tu le connaissais aussi bien en public dans l’intimité la plus sournoise. Tu ne le quitte pas des yeux alors qu’il entre dans la pièce. Un sourire arrogant s’affiche sur ton visage, tu sais qu’il n’est pas content d’avoir reçu une réponse négative à sa venue. Tu le cherchais à ta façon, jouant sur ses faiblesses. « Occupé ? Laisse moi rire. Toi qui te proclamait soldat, tu es devenu un vulgaire petit bureaucrate. Dis-moi, c’est elle qui taille tes crayons en papier où tu arrives encore à faire cela toi-même ? » Tu penches légèrement la tête sur le côté, ne cessant de le regarder. Tu ne perds pas patience, étant connu pour ce trait de qualité, sachant également qu’il n’attendait qu’une chose…que tu montres les crocs. Chose peut aisé chez toi, sauf que l’Italien avait tendance à te mettre régulièrement hors de toi. « Non, j’ai une autre secrétaire pour ça bien sûr, bien plus sexy d’ailleurs. » Outch, tu jouais avec le feu. Si lui te cherchait des noises, tu savais le faire également. Le toucher dans sa virilité, dans sa jalousie, sa possessivité. Quoi de plus dangereux, de plus violent qu’un homme possessif. Le Monaci était sûrement l’un des plus dangereux que tu connaissais, hors de la famille Rosenwald bien sûr. Tu n’avais pas l’habitude de te plier devant une personne, encore moins face à un homme. Hors, Panfilo était l’une de ses rares personnes que tu désirais dès que ton regard croisait le siens. Ténébreux, dangereux, cruellement attirant. Ça te donnait la nausée de ne pas pouvoir lui résister très longtemps, toi qui le détestais tout autant que tu l’aimais. Néanmoins, inutile qu’il soit au courant.
« Alors, c’est ici que tu passais tes journées avant de venir me supplier pour que j’arrache les boutons de ton pantalon avec mes dents ? C’est assez pathétique. » Tu ricanes face à ses paroles en secouant doucement la tête de droite à gauche, prenant appuies sur ton bureau. « C’est également ici que je passe mes journées avant de retrouver ma chère épouse…mais ça, tu le sais également non ? Puis, cesse de faire l’enfant, tu me laissais à peine le temps de te réclamer quelque chose. A peine passé le pas de la porte que tu me sautais dessus. » Provocations. Encore et toujours. Vous êtes ainsi. Si l’un attaquait l’autre répondait jusqu’à ce que l’un des deux explosent. Généralement, l’Italien était le premier à attaquer, étant beaucoup moins patient que tu ne l’étais. Il se mit à déambuler, faisant tomber des dossiers, observant ton ordinateur. Tu le laisses faire sa petite crise enfantine. Sauf qu’en voyant le cadre de ta femme, il l’envoya valser sur le sol et tu fronce les sourcils avec une certaine noirceur. « Ça suffit Panfilo, tu n’es pas chez toi ici. Ta colère, tu vas aller la déverser ailleurs, évite de briser tout ce que tu touches tu serais bien aimable. » Tu claques des doigts alors que le cadre se reformait. Te levant tu replace celui-ci sur ton bureau, bien en vue du jeune homme, juste pour le provoquer de nouveau. Tu étais plus sournois, tu t’y prenais autrement que lui. Tu jouais avec les mots, avec les apparences jusqu’à ce qu’il explose. Ce petit jeu ne cessera jamais. Dire qu’autrefois vos disputes étaient violentes, à présent, la violence se faisait souvent dans un lit loin du regard des autres. D’ailleurs, inutile de dire que son corps te manquait assez, bien que tu ne le montrais nullement.
« Que fais-tu ici à part venir foutre le bordel dans mon bureau. N’as-tu pas des amants à voir ? Des soirées à fréquenter ou encore, du repos à rattraper après tant de soirées accumulées ? » Tu le connais, c’est un oiseau de nuit. Tu t’assois de nouveau sur ta chaise, ne daignant pas le regarder. Provocation subtile comme si tu ne lui prêtais aucunes attentions. Quoi de pire que de se sentir ignorer ? Pourtant, ton regard brûlait d’envie de se planter dans le sien. Chaque parcelle de ton corps hurlait de se retrouver contre le sien.