Chiyoko Wolffhartpour un nouveau régime
‹ MESSAGES : 87
‹ PSEUDO : cranes for spidey (not so serious) - emma.
‹ FACE & CREDITS : kiko mizuhara - yumiita.
‹ MULTICOMPTES : klaus badstuber et sa magnifique crinière blonde.
‹ ÂGE DU PERSONNAGE : vingt-sept ans.
‹ STATUT CIVIL : mariée depuis trois ans.
‹ STATUT DU SANG : un pourpre éclatant depuis un millénaire, son sang est plus pur que celui de la famille impériale.
‹ OCCUPATION : chef de bureau des wolffhart.
‹ SCOLARITÉ : académie de goldadler.
‹ ALLÉGEANCE : pour un nouveau régime (wolffhart) et elle n'a aucune intention de se mettre au premier plan de cette révolution, elle préfère y travailler dans l'ombre.
‹ LOCALISATION : frankfurt, mais son travail se trouve à berlin. elle doit également rendre régulièrement visite à sa famille à erfort.
‹ INVENTAIRE : un sens des priorités qui la sauvera de bien des situations.
‹ COMPÉTENCES : discrétion (niv. 1) ; méfiance (niv. 1) ; diplomatie (niv. 1)
| Sujet: (M/RESERVE) MICHIEL HUISMAN ◊ come on, come on, put your hand into the fire Lun 3 Oct - 17:35 | |
| Prénom Fuchs ft. michiel huisman — Prénom(s): Au choix. — Nom: Fuchs, famille de renards dont il est l'héritier. — Age: 31 ans. — Date et lieu de naissance: Au choix à Stuttgart. — Etat du sang : D'un pourpre noble. — Statut civil : Marié à Cornélya Fuchs depuis trois ans, père du petit Tristan Oskar Fuchs depuis un an. C'est un mariage sans amour et parsemé de maîtresses. — Emploi: Au choix, idéalement en rapport avec le business familial. — Niveau de richesse : Loin d'être sur la paille. — Dieu affilié : La retorse renarde. — Lieu d'habitation : Stuttgart, peut avoir un pied à terre à Berlin pour les affaires. — Camp politique : impérialiste du lion mais n'est pas non plus passionné par la politique. il n'est juste pas fan des Rosenwald. — Traits de caractère : Sauvage, blagueur mais ça a plutôt tendance à être offensant, susceptible sans cependant l'être à outrance, passionné, a besoin que les choses lui apportent de vraies sensations pour s'y intéresser, tour à tour silencieux ou grande gueule, aime les défis. Son histoire est libre, il a grandi chez les Fuchs c'est tout. Il est allé à Goldadler, c'est là qu'il y a rencontré Chiyoko. Il s'est marié y a trois ans, est devenu papa il y a un an mais pour le reste vous faites vraiment ce que vous voulez. Chiyoko Wolffhart ◊ Ces deux là se connaissaient depuis l'académie de goldadler. Ils se lançaient continûment des défis malgré leur différence d'âge, au début sans doute parce qu'ils ne s'aimaient guère puis après juste parce que ça leur faisait de l'adrénaline. Ils se sont vraiment rapprochés une nuit où ils ont un peu foiré leur défi et se sont retrouvés tous les deux avec une superbe brûlure au second degré sur la paume de la main, avec la bonne vieille cicatrice qui va avec. C'est à partir de ce moment-là qu'ils sont vraiment devenus non pas forcément inséparables mais liés. Ils sont tous les deux assez sauvages, dans le sens où déjà lui c'est un peu un trait de famille et puis tout ce qui n'apporte pas de sensations suffisamment forte les fait chier. Du coup c'est passionné entre eux, c'est potentiellement l'amour mais ils en ont jamais parlé parce qu'ils ont autre chose à faire. - extrait de ma fiche:
Le loup et le renard ne devraient pas jouer ensemble. Une histoire de famille peut-être, ou une histoire de survie. « Regarde, c’est facile. » Les flammes qu’il a allumées de sa main chatoient dans ses iris verts. Son regard est un renard chassant dans les arbres, un feu de forêt. C’est bien là une drôle d’idée de signaler sa présence dans la nuit lorsqu’on n’est pas censé être sorti du dortoir. Vous savez bien tous deux que vous n’avez pas longtemps avant que quelqu’un ne vous repère et vienne vous rattraper par le col. L’interdit est le jeu des siens. Mais c’est aussi le tien, ce n’est pas la louve qui t’en éloignera. Ses doigts esquissent un léger signe que tu ne remarques pas avant qu’il promène sa paume au-dessus puis dans le brasier. Pas un signe d’émotion sur son visage. Enfin il extirpe son membre indemne de la chaleur. Alors un sourire naît sur son visage adolescent, moqueur, défiant. « Allez, à toi. » Tes doigts tremblent un instant avant que tes prunelles ne retrouvent les siennes. Le brasier dans les siennes se reflète enfin dans les tiennes, noirceur de l’enfer et ses flammes dans tes globes oculaires. Alors, sûrement, tu tournes la tête vers ta main et la baisses sur les orangés dansants. Ton hurlement déchire l’air. Tu tombes à genoux, ta main droite accrochée comme une désespérée à ton poignet gauche. Un torrent de larmes dévale tes joues. « Connard ! Tu t’es foutu de ma gueule ! T’es bien un putain de Fuchs je savais que j’aurais pas dû te faire confiance ! » Le brun est à terre dans la poussière comme toi, paniqué. Bien sûr tout ceci n’était qu’un test. « Mais non bordel, t’as pas fait de sort de protection. » « Je sais pas les faire abruti ! Je pensais que t’avais enchanté les flammes. Ah tu t’es bien foutu de moi oui. » Il oublie rarement ses trois années d’avance, s’en targue même toujours. Parfois cependant sa suffisance est de penser que tu lui es égale en tous points. Il se tord les doigts dans les cheveux, ne sachant que faire. Puis la sauvagerie réapparaît dans ses yeux. Il ne se relève pas mais se retourne vers le feu et maintiens fermement sa main gauche au-dessus de celui-ci. Les larmes perlent à ses yeux, il tremble, chaque muscle de son corps semble bloqué pendant d’interminables secondes jusqu’à-ce qu’enfin il crie à son tour et la retire vivement. Vous êtes bien beaux tous les deux côte à côte, avec vos rivières de douleur et des paumes déjà recouvertes de cloques, haletant dans la nuit, sachant très bien qu’il vous reste peut-être une minute, ou deux par miracle avant que vos hurlements et la lumière n’aient ramené à vous les gardiens. Il plante son regard dans le tien. « Toujours un jeu, jamais un piège. Promis. » Il lève sa main mutilée vers toi pour que tu la saisisses, comme pour faire un bras de faire. Une hésitation traverse ton esprit mais pas ton corps puisque déjà ta paume est contre la sienne, vos doigts serrés. Grimaces de douleurs. Promesses futiles. « Leur montre pas. Celles-là, on les garde. » Deux animaux hors de contrôle se fixant. Promesse bestiale. Séparer vos mains semble déchirer vos peaux mais d’un signe il éteint les flammes. Vous courez dans la nuit avant que l’on ne vous retrouve. Déjà vous entendez les voix et les pas derrière vous. | |
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