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 One loyal friend is worth ten thousand relatives. - Max

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Matteo Monaci
impérialiste du Lion

Matteo Monaci
One loyal friend is worth ten thousand relatives. - Max Tumblr_o41lz7m44Q1tsq3t7o2_250
‹ MESSAGES : 31
‹ PSEUDO : Haku
‹ FACE & CREDITS : Cody Christian & Bondie
‹ MULTICOMPTES : Aucun.
‹ ÂGE DU PERSONNAGE : J'ai vu le jour le 22 septembre 1994, si tu es pas trop nul en Math, ça veut dire que ça me fait 22 ans.
‹ STATUT CIVIL : Fiancé, il semblerait à une fille de famille Fuchs. Un certaine Franzi quelque chose, j'ai toujours du mal à me rappeller son prénom. Sûrement bientôt marié, mais [b]coeur libre[/b] . Aucun sentiment ne me lie à cette femme qui partagera ma vie.
‹ STATUT DU SANG : Je suis un Monaci, j'ai le sang pur!
‹ OCCUPATION : Emmerdeur professionnel, chanteur adulé et serial lover
‹ SCOLARITÉ : Goldadler, puis je me suis ensuite orienté vers la musique.
‹ ALLÉGEANCE : L'animal à crinière, impérialiste du lion, mais plus précisement sa famille et leur retour sur le trone, même si j'ai bien peur que cela entraine un fratricide.
‹ LOCALISATION : Un peu partout, tout dépend de mes concerts, mais mon pied-à-terre se trouve à Bremen[
‹ INVENTAIRE : Un cahier rempli d'anotation, ma guitare, mon iphone ( c'est un garçon actuel ! ) , mes écouteurs, des chocogrenouilles.
‹ COMPÉTENCES : Charisme (niv. 1) ; Manipulation (niv. 1) ; Leadership (niv. 1)



One loyal friend is worth ten thousand relatives. - Max Empty
MessageSujet: One loyal friend is worth ten thousand relatives. - Max   One loyal friend is worth ten thousand relatives. - Max EmptyJeu 20 Oct - 0:18




One loyal friend is worth ten thousand relatives. .



Voilà deux jours que je me trouve à Bremen et si le plus souvent j’apprécie les villes ou je séjourne, cette fois-ci, j’adore. Cette ville est le fief de ma famille, je suis chez moi et je connais chaque coin et recoin. Sans oublier que je suis très très loin de ma fiancée. A savoir Franziska Fuchs et notre dernière rencontre ne s’est pas particulièrement déroulée. Rien de bien inhabituel d’ailleurs tant nous sommes incompatibles. Peut-être aurais-je pu finir par éprouver à son égard un peu de tendresse, de la sympathie mais son côté vénal avait suffi à me donner envie de vomir et surtout disparaitre. Prendre un avion pour m’envoler dans une contrée lointaine et ne jamais revenir avait bien traversé mon esprit, le seul hic, c’est que je représentais ma famille. Pour ne pas leur faire honte ou perdre de leur grandeur, il était de mon devoir de respecter certaines règles, dont le mariage obligatoire avec une femme choisie par le soin de mes parents. Au revoir donc mon envie de voir du pays et de surtout ne plus revoir la tête faussement sympathique de ma future femme, j’allais devoir faire avec. Heureusement chaque membre de la famille n’était pas comme ça, c’était à croire que tous les mauvais côtés des Fuchs s’étaient regroupés dans une et même personne et fallait que ça tombe sur moi. En fait, cette brunette aurait parfaitement pu me correspondre, si on enlevait les côtés : matérialiste, vénal, égocentrique et imbue de sa personne. Moi qui je me croyais à la base déjà bien avancé sur le chemin du nombrilisme, je venais de trouver mon maître. J’étais encore loin de lui arriver à la cheville, mais sur le coup, je préférais passer mon chemin. Bref, le point positif dans toute cette histoire, c’était qu’au moins je m’entendais avec son frère. À l’époque où nous nous étions rencontrés cette ombre ne planait pas au-dessus de notre amitié. Depuis la fin de ma scolarité on a gardé le contact et pas par hibou, mais bien grâce à nos téléphones portables. Ce qui est cool avec Max, c’est qu’on n’a pas mal de points communs, en particulier notre amour pour les dernières technologies, en particulier celles qui touchent au domaine du divertissement et de la téléphonie. Mon emploi du temps, souvent chargé, m’oblige à rater de nombreuses soirées organisées par nos familles respectives. Impossible d’annuler un concert pour passer une soirée à siroter des cocktails tout en écoutant jacasser ses dames et les hommes parler de politique. Finalement, mon métier et ma place de petit dernier m’octroient un nombre incalculable d’avantage. Le seul problème qu’apporte ma passion pour la musique est finalement mon éloignement de la maison familiale et de mes amis proches, hors ceux qui me suivent désormais lors de mes nombreuses tournées, mais c’est différent. Un petit sms a suffi, juste pour lui indiquer ma présence et comme je sais qu’il aimerait bien visiter notre domaine, pourquoi ne pas lui proposer de passer me voir, enfin s’il en a envie. C’est que je lui ne laisse pas beaucoup d’options. En effet, dans 48h, je décollerais pour une toute autre destination à savoir Hanovre. Quand à ma tournée internationale, elle ne commencerait que l’année prochaine. Mon portable s’était mis à vibrer juste quelques minutes après l’envoi du sms à Maximilian. Il était disponible, parfait.

J’étais sorti de la chambre d’hôtel de bonne heure, laissant la brune au corps de poupée profiter de sa grasse matinée, la chambre était payée, elle pouvait en faire ce qu’elle voulait et moi comme à chaque fois je ne me retournerais pas. Les histoires d’amour, ce n’était pas pour moi, je trouvais bien plus d’intérêt à papillonner de gauche à droite. Puis autant en profiter tant que je le pouvais encore, y avait peu de chance que je sois fidèle à ma femme, aucune en fait, mais à partir du moment où je porterais une alliance, je me devrais de faire beaucoup plus attention. Hors de question qu’un journal people dévoile mes petits plaisirs aux yeux du monde, je possédais une réputation et je souhaitais la garder. Surtout que celle-ci jouait plus que favorablement pour accroître l’intérêt du peuple à la famille Monaci.

Il est à peu près 14h30 quand j’embarque dans ma voiture de sport, une que j’ai acheté grâce à Keziah Mbengue, mon futur beau-frère, vu que si j’ai tout bien suivi, il est censé se marier à la sœur de la future femme. Quelle belle famille, on va former. La voiture en elle-même est un vrai petit bijou et le simple fait de l’entendre ronronner quand je caresse l’accélérateur suffit à mon bonheur, comme quoi je ne suis pas si compliqué que ça. Il ne faut pas beaucoup de temps pour arriver devant le grand portail qui mène à mon chez moi. Celui où je suis censé vivre, mais que j’abandonne quelques soirs pour vaguer à des occupations de mon âge. Ma mère n’aime pas trop ça, mais je ne lui laisse pas vraiment le choix. De tout façon, ce n’est pas comme s’il elle pouvait me mettre en cage. Le portail s’ouvre avant que j’ai besoin de ralentir. Que c’est bien de rentrer à la maison, ça enlève quelques petits désagréments. Notre demeure n’est semblable à aucune autres, bien plus belle que celles des autres familles. Bien qu’ayant fui l’Italie, nous n’avons pas tout perdu et surtout pas notre gout pour la belle architecture, les pierres et les voutes. Je gare ma voiture sur le parking et glisse les clés dans ma veste. Il y a peu de risque de les laisser dessus, ce n’est pas ici que je me la ferais voler, mais il s’agit d’une habitude. Il ne faut pas longtemps pour qu’un majordome arrive. Je le salue avant de lui indiquer de faire machine arrière, je déteste que l’on me serve, encore moins quand je rentre. Disons que j’ai besoin d’espace. « Avez-vous déjeuner ? » « Oui ! J’ai un ami qui ne va pas tarder à arriver, je vous laisse vous charger de l’amener jusqu’à mes appartements. » L’homme acquiesce et je monte rapidement les escaliers pour gagner mes appartements. Une fois à l’intérieur, je respire un grand coup. Qu’est-ce qu’on est bien chez soi. Je pose ma guitare avant de m’avancer vers la télé pour l’allumer. Quelques secondes plus tard la PS4 est branchée et le jeu Division apparait à l’écran. « Parfait. » Machinalement je me vautre dans le siège en cuir avant de croiser les jambes et d’attraper mon téléphone. Je fais faire un petit tour sur le web, histoire d’en apprendre un peu plus sur le monde. Enfin le monde moldu parce que les sorciers ne sont pas encore très doués avec les smartphones. Finalement quelques minutes plus tard, on frappe à la porte et je fais entendre ma belle voix. « Rentre. » J’abandonne mon siège pour me diriger vers la porte et accueillir Max. « Te voilà, j’ai cru attendre. » Cru, parce qu’il est parfaitement à l’heure. « Fais comme chez toi. » Il lui fait signe de se mettre à l’aise avant de le guider jusqu’à la télé. « Tiens. » Sans prendre de pincettes, il lui envoie la manette avant de laisser tomber sur son fauteuil. « Tu t’es amélioré depuis la dernière fois ? » Et il ne parle pas de duels, parce qu’à ce petit jeu, il est très souvent perdant, non il préfère rivaliser avec une manette entre les mains, il a nettement plus de chance de gagner la partie.


love.disaster
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