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 (Marius) If love is an art, we are not artists.

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MessageSujet: (Marius) If love is an art, we are not artists.   (Marius) If love is an art, we are not artists. EmptyMer 17 Aoû - 16:38


If love is an art, we are not artists.
Marius & Alekseï
« Tu n’es jamais là Alekseï ! Toujours fourré je ne sais où, me laissant seule le soir depuis mon accouchement, bien avant même. A croire que je ne sers qu’à porter tes enfants ! » Tu serres les dents avec violence, observant cette femme qui semblait hors d’elle. Caractérielle elle l’était, bien que blessée dans son amour propre par ta désertion perpétuelle. Tu tentes de ne pas répliquer cette phrase cruelle, qui pourtant, réussit à dépasser tes lèvres sans que tu ne puisses rien y faire. « Peut-être que si tu arrivais à donner naissance à un enfant en vie, cela changerait quelque chose ! » Cruelle évidence que voilà. Tu la vois immobile, les larmes roulant de ses yeux foncés. Tu l’as blessée et, finalement, tu le regrettes déjà. « Je… » Tu n’arrives pas à finir ta phrase, ne sachant quoi dire face à tes mots bien trop durs. La peine est une blessure qui te dévore de jours en jours, te laissant un goût amer dans la bouche à chaque fois que tu repensais à ce jour. C’est encore récent. Voilà à peine quinze jours qu’elle avait accouchée, ne laissant plus rien transparaître d’une ancienne grossesse sur son corps fin et svelte. Elle recule d’un pas et tu restes immobile, secouant la tête, laissant un soupire mélancolique s’échapper de ta gorge. « Il faut que j’y aille. » C’est tout ce que tu trouves à dire, voulant fuir cette chambre, ce moment, cet instant. Tu n’as jamais été un très bon mari, tu ne pouvais nier l’évidence, mais ses deux fausses couches n’avaient décidément pas arrangé les choses. Certes, tu partageais cette douleur avec elle, mais vos disputes étaient fréquentes et régulières. Elle avait raison, tu n’étais jamais présent. Te plongeant dans ton travaille corps et âme, souhaitant oublier désespérément ce petit corps sans vie que tu avais tenu dans tes bras.

Déjà tu sors de la chambre la laissant seule avec sa peine. Une fois de plus, elle dormirait seule et toi, tu irais te réfugier ailleurs, car telle est ta routine. Mains dans les poches, tu cherches un endroit qui saura te calmer, laissant peut-être retomber la pression pour mieux réfléchir par la suite. Etrangement, tes pensées divaguèrent vers ce frère si proche de toi. Cornélya n’était pas présente, étant chez son mari comme la plupart du temps. Marius, lui par contre, était ici. Avec les années tu avais développé une relation proche avec ton aîné, un soutien mutuel alors que vous partagiez tellement inconsciemment. Un mariage non désiré, une femme que nous ne parvenions à aimer convenablement d’une façon différente. Passant une main dans tes cheveux tu te stoppes près d’un domestique, lui demandant s’il avait vu ton frère. Celui-ci te désigna alors la bibliothèque, étrange destination mais qu’importe, tu le remercies d’un simple signe de tête avant de te diriger vers le lieu dis. Tu ne pris que quelques minutes avant d’y parvenir, toquant à la porte avant d’entrer en silence. Tes cheveux sont en batailles, comme toujours, et ton regard semble fatigué. Pourtant, à la vue de ton frère, tu affiches un léger sourire, croisant les bras sur ton torse. Si tu te plaignais de ta situation, sincèrement, tu préférais celle-ci à celle de ton aîné. Etant l’héritier de la famille, Marius avait bien plus de responsabilités que toi, c’est d’ailleurs pour cette raison que tu tentais de le soutenir du mieux que tu le pouvais. Toi, tu avais toujours eu la chance de faire ce qui se rapprochait le plus de ce que tu souhaitais, te pliant néanmoins aux exigences de ta famille. Lui, c’était une toute autre histoire.

« En voilà une drôle de vision, mon frère planqué dans la bibliothèque. Y aurait-il une place pour moi dans ta cachette ? » Tu tentes de faire un peu d’humour devant vos vies étranges, régies par des traditions que vous ne cessiez d’honorer pour la fierté de votre nom de famille.

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Marius Löwewald
impérialiste du Lion

Marius Löwewald
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‹ PSEUDO : BARJAVEL
‹ FACE & CREDITS : sam claflin (faust)
‹ ÂGE DU PERSONNAGE : vingt-sept ans. des années qui s'écoulent, qui le forgent.
‹ STATUT CIVIL : mariée. une belle femme, celle que l'on voudrait, que l'on désirait. pourtant cela semble si compliqué pour lui.
‹ STATUT DU SANG : pur. une sang pourpre. digne d'un nom royal, il est de la haute société.
‹ OCCUPATION : avocat. une tempête de mots. des paroles qui défilent, une défense sans faille. comme sur un champ de bataille. ambitieux, la défaite n'est pas pour lui.
‹ SCOLARITÉ : diplômé de Goldadler. élève studieux. brillant et remarquable. comme un lion qui brille.
‹ ALLÉGEANCE : impérialiste du lion. avec sa famille. son père. lui.
‹ LOCALISATION : berlin, bel appartement où l'on se perd à cause du luxe.
‹ INVENTAIRE : une alliance au doigt qu'il ne peut retirer. un porte-feuille toujours sur lui. une chaîne autour du poignet offert par sa mère. et un téléphone.
‹ COMPÉTENCES : honneur (niv. 1) // leadership (niv. 2) // tenacité (niv. 1)



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MessageSujet: Re: (Marius) If love is an art, we are not artists.   (Marius) If love is an art, we are not artists. EmptyVen 19 Aoû - 14:25


If love is an art, we are not artists.
feat Alekseï Löwewald

Les doigts effleurant les touches du clavier, tu tapais des mots à l'écran. Travaillant sur des affaires. Les pensées penchaient sur ces petites affaires futiles que tu voulais clore dans l'après-midi. Tu soupires, ennuyais par ce travail. Tu ne voulais pas t'attarder dessus. Tu bouges la souris, tu fermes la fenêtre, tu venais de terminer. Tu t'étires un moment, pour te réveiller en quelque sorte. Puis, tu lâches du regard l'écran lumineux afin de te lever pour quitter la pièce. Tu avances vers la porte, l'envie de rejoindre ta femme. Tu te devais de t'occuper d'elle, elle était ton épouse. Il est vrai que tu passais beaucoup de temps dans ton bureau. N'osant pas être à ses côtés. C'était complexe. Disons que vous n'aviez pas pu apprendre à vous connaître l'un et l'autre. C'était une belle femme, c'était tout. Tout ce que tu pouvais dire. Tu ne savais pas comment t'y prendre, maladroit lorsque tu étais avec elle, perdant toute l'assurance qui t'accompagnait. Tu marchais le long des couloirs à la recherche de ton épouse. Regardant dans chaque pièce. Et tu la vis là. Assise sur un fauteuil, écrivant sur du papier. Aux côtés de ta mère qui lisait. Elle semblait concentrée, ses traits étaient refermés, sa respiration presque éteinte. Elle était sublime. Tu restas là, un moment à la contempler. Sans venir la déranger pour autant. L'idée même de déchirer ce tableau parfait t'enchantait pas. Alors au bout de quelques instants tu te décidas à aller autre part. Toi aussi voulant trouver refuge quelque part. La bibliothèque. Ton endroit. Celui où tu allais lorsque tu étais plus jeune. Te retrouver entouré d'ouvrages, ton antre, rien qu'à toi. Tu te diriges donc vers la pièce. Un sourire sur tes lèvres lorsque tu rentres dans celle-ci. Tu effleures du bout des doigts la reliure des bouquins. Appréciant les fibrations de ce passage. Cherchant parmi ces derniers de la lecture pour te faire passer le temps. Tu attrapes un livre au hasard et décides de t'asseoir, dos contre le mur. Tu feuilletais mais ton esprit était ailleurs, indisponible pour ce genre de loisir. Il pensait à sa femme. Cela fait désormais neuf mois qu'ils étaient mariés. Neuf mois qu'elle se trouvait dans cette demeure. Neuf mois qu'il ne s'était rien passé. Quelques baisers chastes par ci, par là, juste pour l'apparence. Rien de plus profond qui valait l'attente pour l'avoir. Non, tu ne l'avais pas possédée, au grand désespoir de ton père qui désirait avoir un petit-fils. Il y avait toujours ton frère. Mais lui non plus n'était pas chanceux. Sa femme avait fait deux fausses couches. Pourtant ce n'était pas l'envie qui manquait. Micaela était une belle femme, qui savait plaire. Sauf que toi, tu n'arrivais pas à te débloquer et tu ne pouvais pas te permettre de la désirer comme ces filles de pacotilles que tu pouvais forniquer à ton plaisir. Elle ne méritait pas ce genre de comparaison. Mais tu n'arrivais pas non plus à profiter de l'instant, à te lâcher comme tu le faisais si facilement avec Saskia. Mais elles étaient différentes. Micaela n'était pas n'importe qui, une reine en devenir. Tu es soudainement retiré hors de tes pensées par un bruit de porte qui claque. Quelqu'un venait d'entrée. Tu quittes les yeux de ton livre. Et tu vois ton frère. Alekseï, il ne semblait pas dans son assiette. « Bien évidemment, laisse-moi deviner, ta femme ? » Tu souris. Oui parce que tu connaissais la situation de ton frère vis-à-vis de sa femme, c'était compliqué.
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MessageSujet: Re: (Marius) If love is an art, we are not artists.   (Marius) If love is an art, we are not artists. EmptySam 20 Aoû - 18:57


If love is an art, we are not artists.
Marius & Alekseï
Son regard se pose sur toi et il te sourit, comme tu venais de le faire. Nez dans son bouquin, tu avais sûrement dû le déranger en pleine lecture. Qu’importe, tu sais que ta présence ne le dérange général pas. Autant il pouvait compter sur toi, autant la réciprocité de la relation était également flagrante. « Bien évidemment, laisses-moi deviner, ta femme ? » Tu t’avances un peu dans la pièce, laissant un soupire s’échapper de tes lèvres. Marius connait ta situation, cette relation que tu entretenais avec celle qui partageait ta vie. Tourments qui ne cessaient de t’envahir depuis ton mariage il y a de cela plus d’un an à présent. « Ton intelligence me surprendra toujours Marius, je t’envie pour savoir lire en moi sans faire le moindre effort. Quoi que, Siggy n’est pas mal dans son genre non plus, ce qui m’énerve au plus haut point. » Tu caresses le dos des livres du bout des doigts. Oui, ta femme avait tendance à lire en toi comme dans un livre ouvert, alors que toi, lion fier, tu tentais vainement de lui cacher tes émotions. A l’évidence, elle avait un don que tu ne comprenais pas, surtout celui de te mettre hors de toi. Un nouveau soupire s’échappe d’entre tes lèvres, glissant dans l’air comme un souffle léger que tu ne pouvais retenir. Auprès de ton frère tu pouvais faire tomber les masques, il avait vu tellement de choses en toi. Passant de la colère à la joie, de la peine à la cassure définitive de la perte d’un nouveau-né. Il connaissait toutes tes facettes. « Elle me reproches une fois de plus les mêmes choses…ne pas être présent, d’être sans cesse absent, de la considérer comme une machine à enfanter. » Tu ricanes légèrement, attrapant un livre du bout des doigts pour l’ouvrir entre tes mains.

« Ce qu’elle ne fait pas de toute façon… » Cruelles paroles que voilà. Tu en avais conscience mais tu n’avais pas réussi à t’en empêcher. Trop de rancœur, puis, tu avais besoin de te confier à quelqu’un de confiance. Marius était ton frère, celui que tu soutenais depuis ta plus tendre enfance. Bien qu’en publique tu devais paraitre fier et digne, ici, dans cette bibliothèque, tu semblais plus froid, plus sombre. Homme brisé par deux pertes tragiques bien trop rapprochées à ton gout. Siggy retombait vite enceinte, certes, mais l’enfant naissait sans vie. « Je pense doucement à lui offrir un voyage quelconque, l’envoyer dans sa famille pour une semaine ou deux. Ça pourrait lui faire du bien… » Vaine tentative pour l’éloigner de toi, pour ne plus supporter sa douleur en plus de la tienne. Tu reclapes le livre pour le replacer à sa place, venant prendre position sur le canapé en face de ton frère. T’y laissant tomber lourdement, ta main vient caresser ton visage dans un geste lasse et suppliant. « Je ne sais plus quoi faire avec elle Marius, j’ai l’impression que chaque chose que j’entreprends ne lui convient pas. » Néanmoins, tu sais pertinemment bien que, contrairement à toi, ta femme n’avait pas grand-chose à se reprocher. Elle avait tout abandonné pour votre mariage. Sa carrière dans le journalisme, sa famille, son nom. Elle n’y avait pas réellement perdu au change, si ? Ton regard glisse sur ton aîné et tu finis par sourire de nouveau. « Me voilà en train de me lamenter sur mon sort, pardonnes-moi. Comment vas-tu ? » Simple question alors que tu croisais tes bras sur ton torse, ne baissant plus ce sourire qui tentait de cacher trop de choses.


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Marius Löwewald
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‹ ÂGE DU PERSONNAGE : vingt-sept ans. des années qui s'écoulent, qui le forgent.
‹ STATUT CIVIL : mariée. une belle femme, celle que l'on voudrait, que l'on désirait. pourtant cela semble si compliqué pour lui.
‹ STATUT DU SANG : pur. une sang pourpre. digne d'un nom royal, il est de la haute société.
‹ OCCUPATION : avocat. une tempête de mots. des paroles qui défilent, une défense sans faille. comme sur un champ de bataille. ambitieux, la défaite n'est pas pour lui.
‹ SCOLARITÉ : diplômé de Goldadler. élève studieux. brillant et remarquable. comme un lion qui brille.
‹ ALLÉGEANCE : impérialiste du lion. avec sa famille. son père. lui.
‹ LOCALISATION : berlin, bel appartement où l'on se perd à cause du luxe.
‹ INVENTAIRE : une alliance au doigt qu'il ne peut retirer. un porte-feuille toujours sur lui. une chaîne autour du poignet offert par sa mère. et un téléphone.
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MessageSujet: Re: (Marius) If love is an art, we are not artists.   (Marius) If love is an art, we are not artists. EmptyMar 23 Aoû - 23:35


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Le livre se ferme. « Ton intelligence me surprendra toujours Marius, je t’envie pour savoir lire en moi sans faire le moindre effort. Quoi que, Siggy n’est pas mal dans son genre non plus, ce qui m’énerve au plus haut point. » Tu souris. Tu connaissais ton frère sur le bout des doigts. Proches étant enfant, vous l'étiez encore plus en grandissant. Son visage montrait réellement facilement ses émotions c'est pourquoi, tu savais ce qu'il le tracassait. Tu écoutes ton frère. Son visage morose. Ses paroles en deuil, il semblait ne plus avoir le contrôle. « Elle me reproches une fois de plus les mêmes choses…ne pas être présent, d’être sans cesse absent, de la considérer comme une machine à enfanter. » Perdu, apeuré. Cherchant du réconfort dans tes bras. Il en avait besoin. Tu savais combien sa situation était difficile. Tu le savais parce que tu étais là. Avec lui. Toujours. Il en avait besoin lui et sa femme. Ce n'était pas facile. Peut-être arrivait-il à la mettre enceinte. Sauf que la vie de ce nouveau-né ne durait pas à son malheur. Lui qui rêvait que d'une chose. Avoir un héritier. Mais ce n'était pas donné à tout le monde, on dirait. « Ce qu’elle ne fait pas de toute façon… » Il se lamente, il dit des mots blessants, des mots qu'il ne pense même pas au sujet de sa femme. Enfin tu l'espères. Tu soupires légèrement. Sa situation semblait plus difficile que la tienne. Il finit par te regarder, sourire un peu, parce qu'il est content finalement. De pouvoir se confier, d'avouer sa frustration. Tu étais là pour ça. Comme toujours. Il en avait besoin comme toi des fois alors vous vous consoliez mutuellement. Le lien du sang était important. Toi comment tu allais ? Mieux que lui. « Les choses m'échappent mais je me sens bien. » C'était vrai. Micaela et toi c'était compliqué mais il ne s'agissait pas d'une situation de crise comme celle que pouvait connaître ton frère. « Puis-je te dire mon avis concernant tout ce tourbillon de lamentation ? » Tu demandes, arquant un sourcil. Il n'avait pas le choix, de toute manière, tu lui donnerais ton avis parce qu'il te semblait utile d'avoir un point de vue extérieur. « J'ignore si tu aimes ta femme, si tu y tiens. Mais ces êtres là sont fragiles, comme un feu, il faut les entretenir pour que la flamme ne cesse de brûler. » Tu parlais, les mots s'échappent de ta bouche. Tu te sens proche. Tu as l'impression de parler pour toi, pour t'aider avec ta propre femme. « Les choses n'ont pas l'air d'aller. Ne fuis pas. Fais face aux problèmes avec du recul. Elle semble anéantie par toutes ces pertes tout comme toi. Ne la laisse pas sombrer seul. Sois là pour elle. Au lieu de vouloir qu'elle s'en aille, part avec elle, dans un pays, rien que tout les deux. Ne lui fait pas prendre toutes les responsabilités. Même si ce n'est pas la femme que tu aimes, que tu voulais, elle est là, tu ne peux pas échapper à ce rôle là. Ta femme est un élément important de ta vie, désormais. » Les mots s'enchaînaient et plus tu continuais plus, tu te sentais réellement visés par ces paroles qui étaient les tiennes. C'était peut-être toi qui en avait besoin le plus. Tu ne savais pas.
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