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| (isis) ♕ like a dungeon dragon | |
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Auteur | Message |
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| Sujet: (isis) ♕ like a dungeon dragon Dim 14 Aoû - 6:33 | |
| Isis Abdelaziz as a child, you would wait and watch from far away. but you always knew that you'd be the one to work while they all play. and you lay awake at night and scheme of all the things that you would change, but it was just a dream. here we are, don't turn away now. we are the warriors that built this town. — Prénom(s): isis, soit « trône », en arabe, tout comme la célèbre déesse et mythique reine d’égypte. sa légende reste très populaire et son culte fut très répandu et ce, même en dehors des frontières de l’égypte antique. malika, soit « reine ». nefertiti, « la belle est venue », l'une des reines d’égypte les plus connues. connue en grande partie grâce à la place importante qu'elle a occupé durant le règne de son époux, akhenaton, mais aussi grâce au rôle qu'elle a eu dans les révolutions politiques, religieuses et artistiques, ayant eu lieu durant le règne de celui-ci. c'est d'ailleurs l'une des figures de l’égypte ancienne dont on dispose du plus de représentations, comme son fameux buste. — Nom: abdelaziz. les briseurs de chaînes. famille sorcière venue d’égypte et installée en allemagne depuis déjà plusieurs générations. richesse. renommée. un échantillon de ce que ce nom lui apporte. elle le porte donc avec fierté.— Age: elle est âgée de trente-trois ans, ce qui est loin de l'enchanter. — Date et lieu de naissance: née le 13 décembre à cassel, ebene den wölfen, allemagne sorcière. — Etat du sang : elle est de sang pur et fière. pour le prestige que cela lui apporte. pour l'héritage historique et culturel. mais le sang n'a jamais été un critère de supériorité pour elle. — Statut civil : elle est mariée depuis ses vingt-cinq ans à issa quispe abdelaziz. de cette union sont nés deux garçons de un et trois ans. un père, une mère, deux enfants. le modèle familial idéal, selon certains. — Emploi: elle l'a toujours su. elle voulait devenir une juriste sorcière. le droit. sa vocation. et c'est au ministère public qu'elle a décidé de consacrer son temps. ainsi, elle a été procureur, puis juge pendant de nombreuses années. mais récemment, elle a été nommée haut-juge par le conseil des sept. — Niveau de richesse : les abdelaziz disposent cependant d'une fortune très conséquente, assez pour leur permettre de mener une vie de luxe. on ne peut pas dire qu'elle soit miséreuse, mais on ne peut pas non plus assurer qu'elle soit la femme la plus riche du pays. — Dieu affilié : Wassima, la Rose. — Lieu d'habitation : elle vit à cassel, le fief de sa famille. — Camp politique : elle est en faveur de la mise en place d'un autre régime. mais rien d'étonnant pour une abdelaziz... — Traits de caractère : brillante ; calme ; charismatique ; courageuse ; drôle ; débrouillarde ; généreuse ; humble ; ingénieuse ; réfléchie ; fière ; insolente ; introvertie ; méfiante ; pédante ; perfectionniste ; rancunière ; revancharde ; sarcastique ; têtue. elle ne supporte pas la curiosité mal placée + complexée par sa taille, bien qu'elle ne soit pas si petite que cela + c'est une madamejesaistout, qui aime étaler son savoir + c'est une hardcore friend, elle protège ceux qu'elle aime avec ferveur + elle frôle la crise cardiaque à chaque fois qu'un de ses enfants se fait mal + elle se met très rarement en colère, mais quand cela arrive, c'est assez spectaculaire + elle ne hausse pas le ton + il est rare, voir même impossible, de rencontrer une personne aussi calme qu'elle. imperturbable, elle a réussi à en énerver plus d'un lors des différents procès auxquels elle a participé. + il ne faut surtout pas la déranger quand elle est concentrée + c'est d'ailleurs un bourreau de travail + elle est accro au thé + elle cuisine très bien + c'est une vraie maniaque de la propreté et du rangement + elle prend énormément soin de ses cheveux + elle a une collection impressionnante de vêtements + elle est gauchère + elle est très souple + elle a toujours été nulle pour parler de ses sentiments + elle a toujours été une très grande amatrice de la lecture + elle est assez sportive + elle a toujours le mot pour rire + elle maîtrise, plus ou moins, cinq langues qui sont l'allemand, l'anglais, l'espagnol, le français et l'arabe + elle a horreur de pleurer + d'ailleurs elle ne le fait jamais + quand on pousse le bouchon avec elle, on se fait remettre à sa place en beauté... + mais elle le fait avec calme et maîtrise + reine incontestée du sarcasme et de la répartie cinglante + quand elle est stressée ou en colère elle se met à manger sans fin. + elle est surtout attirée par le chocolat... + elle a tendance à garder toute sa frustration en elle jusqu'au point de non-retour — honneur : on lui a inculqué des valeurs. des valeurs qui sont aujourd'hui imprégnées en elle. elle est honnête. tient parole. et tend à toujours se battre pour ce qui est juste... loin d'être parfaite, ses actions peuvent parfois sembler discutables... mais ses intentions restent souvent nobles. — charisme : on lui a toujours dit qu'elle dégageait quelque chose. en rien timide, elle a toujours été à l'aise en public. elle s'exprime bien. et de ce fait, parvient à attirer l'attention de l'auditoire. — persuasion : c'est donc une de ces personnes à qui il est tout simplement difficile de dire non. elle arrive - presque - toujours à obtenir ce qu'elle veut des autres. ; 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— pseudo : blue dreams. — âge : dix-neuf ans. — pays : france (côte d'ivoire à l'origine). — disponibilité : 5j/7. — personnage : inventé. — avatar : minka kelly. — crédits : tumblr ? — commentaires ou suggestions ? : chocolaaaaat.
Dernière édition par Isis Abdelaziz le Jeu 18 Aoû - 17:26, édité 15 fois |
| | | | Sujet: Re: (isis) ♕ like a dungeon dragon Dim 14 Aoû - 6:34 | |
| like a dungeon dragon this is a story about control. my control. control of what I say. control of what I do. and this time I'm gonna do it my way. I hope you enjoy this as much as I do. are we ready ? I am. because it's all about control and I've got lots of it. 1998, CASSEL, CHATEAU WILHELMSHÖHE, EBENE DEN WÖLFEN, ALLEMAGNE ▬ SEIZE ANS » Pressée par le temps, je m'étais dépêché d'entrer dans le château. Ne prenant même pas la peine de retirer ma cape ou même de poser mon sac, je me contentai de fouiller les lieux, pièce par pièce, à la recherche de ma mère. Le sol en marbre n'étant absolument pas un obstacle, je courais, courais et courais. Ce carrelage ayant été la cause d'un nombre incalculable de mes chutes à travers les années, j'avais appris à le maîtriser. Je n'avais absolument pas de temps à perdre. Saluant rapidement les membres du personnel qui s'affairaient à préparer le château. Tout le monde était occupé. Si bien que je n'avais pas réussi à joindre ma mère de la journée. « Isis, on ne court pas à l'intérieur. » Elle avait prononcé cette phrase tant de fois, durant tant d'années qu'il lui était maintenant impossible d'y ajouter la moindre émotion. Je me retournai pour la voir en train de passer une partie de l'argenterie à une employée de maison. « Je te cherchais ! Dis-je en m'approchant. Il faut absolument changer le plan de table ! » Elle se pinça presque automatiquement l'arête du nez. Celui-ci avait subi tant de modifications que je ne pouvais que la comprendre. L'organisation de ce diner avait pris énormément de temps. Et il fallait pourtant encore s'attarder sur ce genre de détails le jour J. « Qui ? » Elle s'assit simplement dans le fauteuil. « La Juge et tu sais qui… Dis-je en m'installant face à elle. Elle m'a demandé de rayer tous les rendez-vous dont ils avaient convenu. Tous sans exception. » Il ne restait plus que quelques heures. « Je trouverai bien quelque chose pour l'indésirable. » Dit-elle en regardant le plan de table en question. Je me levai donc, souhaitant la laisser réfléchir en paix. La journée avait été longue et était loin d'être terminée… FLASHBACK : nos cicatrices ont le mérite de nous rappeler que le passé n’a pas été qu’un rêve + C'est les mains pleines et les jambes faibles que j'étais revenue. Robes, chaussures, café et… pâtisseries. Étant parvenue à ne rien faire laisser s'échapper de mes bras, j'entrai dans le bureau dans le bureau avec la réticence de me trouver face à son occupante. Mais chanceuse, pour une fois, celle-ci ne s'y trouvait pas. Je posai chaque objet à la place indiquée, regardant avec envie chacun des fauteuils qui se trouvaient dans pièce. Pourquoi m'infligeais-je cela, alors que toutes les personnes de mon âge présentes dans mon entourage s'amusaient ou se reposaient, en cette période de vacances ? Puis, me rappelant mon objectif final, je me ressaisis et sortis de la pièce. Installée avec une ribambelle d'assistants sous-payés je scrutais l'agenda, mon stylo rayant et mes yeux se plissant. Cet agenda qui changeait constamment. Cet agenda dont j'avais la responsabilité. Cet agenda que je connaissais par cœur à force de le manipuler tous les jours… Signes de la main droite et le stylo s'arrêta de bouger. Signes de la main gauche et le téléphone se projeta dans celle-ci. « Elle ne peut pas vous répondre maintenant, elle est en pleine audience. » Dis-je à ma charmante interlocutrice à qui j'avais parlé une dizaine de fois dans la journée. « Je ne vous le conseille pas, elle est… Elle avait raccroché. très très énervée… » Elle arrivait. Sans rendez-vous. Et elle ne voulait pas la voir. Et elle était déjà d'extrême mauvaise humeur. Résignée je soupirai et retournai à mon travail. Je n'avais pas le temps de m'arrêter. « Magnifique… Bon, restes calme Isis. Restes calme… » Murmurais-je, pensant tout haut. J'avais dû supplier mon père pour qu'il me laisse être ici. Il s'était aussi décarcassée pour pouvoir me trouver cette place. Je ne pouvais donc pas craquer. C’était le prix à payer. Je travaillais comme une forcenée et j’avais le droit d’assister à des procès et à recevoir des conseils de la part d’une des juges les plus reconnues – et les plus lunatiques – du pays. + nos cicatrices ont le mérite de nous rappeler que le passé n’a pas été qu’un rêve : FLASHBACK J’accueillais les invités avec le sourire. Un sourire bien faux hélas, puisque j’entendais d’ici l’appel persistant de mon lit. Aussi inconfortable qu’était ma tenue, je me serais endormie ainsi volontiers… L’ indésirable, comme ma mère l’avait surnommée… Elle avançait vers moi avec assurance. Une révérence ma part. Hochement de tête de la sienne. « Isis Abdelaziz, l’idiote avec qui vous avez parlé aujourd’hui. Me présentais-je, sachant pertinemment qu’elle ne savait absolument que c’était en réalité avec moi qu’elle avait discuté. Ma mère se trouve près des petits fours. » Dis-je, n’effaçant absolument pas mon sourire, qui s’était par ailleurs agrandi. 2002, FRANKFURT, EBENE DEN WÖLFEN, ALLEMAGNE ▬ VINGT ANS » Le suspens était à son comble. La tension, elle, à son paroxysme. Le ministère public. Le prévenu, l’accusé. L’ accusation. La défense. Il y a bien longtemps que j’avais choisi mon camp. Le pénal, mon choix d’univers. La Cour, mon arène. Ces longues semaines avaient mené à ce moment. Ce moment que nous attendions tous. Ce moment que nous redoutions tous. Le verdict. Le Juge refit son apparition. Tout le monde se leva en parfaite unisson. Coupable. C’est le seul mot que j’avais été capable de distinguer. Deux coups de marteau. C’était gagné. Un léger sourire satisfait s’afficha sur mon regard. Je me dépêchai de me rasseoir, mes jambes étant prêtes à me lâcher. Voilà jusqu’à quel point j’étais tendue. Je n’arrivais pas à croire que j’en avais terminé. J’avais survécu. Je ne m’étais évanouie à aucun moment. Je ne m’étais pas complètement ridiculisée non-plus… Quelques gestes et mes documents furent classés de nouveau et rangé dans ma mallette. Un regard vers la victime qui avait assisté au verdict. J’étais plus que soulagée… FLASHBACK : nos cicatrices ont le mérite de nous rappeler que le passé n’a pas été qu’un rêve + J'étais censée être endormie. J'en avais bien besoin. Une journée importante m'attendait. Mais je n'y parvenais pas. J'étais bien trop stressée. J'avais peur. Peur de perdre mes mots. Peur de me ridiculiser. Peur de ne pas choisir les bons mots. Peur de ne pas en avoir fait assez. Peur de perdre… De laisser un coupable s'en sortir. Mon réquisitoire se devait d'être parfait. « Allo ? » Dis-je en portant le téléphone fixe à mon oreille. « Lâches cette boîte de chocolat. » Prise en flagrant délit. « Comment tu… ? Perplexe, je ne fus même pas en mesure de formuler complètement ma question. Je te déteste Wissem. » Des rires. Mon frère me connaissait trop bien… Je regardai la boîte posée à côté de moi et y déposai le petit échantillon de bonheur enveloppé d'une feuille argentée qui s'y trouvait auparavant. « Eh ! Ne t'en prend pas à eux, ils ont toujours su comment me rassurer et jusqu'à présent ils ne m'ont jamais déçue. » J'étais assise sur mon lit, dos au mur et les genoux rapprochés vers ma poitrine. J'étais si stressée que j'avais décidé de m'installer dans une chambre d'hôtel de Frankfurt, refusant de faire les deux heures de trajet entre Cassel et la capitale régionale, par peur de ne pas arriver à temps. « Mais tout va très bien se passer, tu vas voir. » Cela avait été ma première affaire en solo. J'avais survécu à ma première audience en solo. Ma première enquête en solo. Et tout ce qui m'avait permis d'en arriver là. Pourtant… « J'en suis pas aussi sûre que toi. » Dis-je en posant la boîte de chocolat qui trônait sur mon lit, sur mes genoux. « Tu dis toujours ça. » Il avait raison. + nos cicatrices ont le mérite de nous rappeler que le passé n’a pas été qu’un rêve : FLASHBACK Les bagages chargés dans le véhicule, le chauffeur entama un trajet qui s’annonçait plutôt long. De la verdure. Des arbres. Et les fameuses collines. Cassel. Ma ville natale. Je ne connaissais ce paysage que trop bien. Il m’était impossible de la quitter. Adossée dans la voiture, je scrutais l’extérieur. Frankfurt. La capitale régionale. Ses commerces. Son architecture. Mais aussi le fief des Wolffhart. Mes grands-parents maternels. Mes oncles et tantes. Mes cousins maternels. J’y allais souvent. Depuis deux ans, je m’y rendais d’ailleurs chaque semaine…. J’étais souvent amenée à voyager à travers le pays, mais je revenais toujours à Cassel. Ma maison. Le Château Wilhelmshöhe. Mais pour l’heure, je ne pouvais que rester à bord de cette voiture et prendre mon mal en patience… 2007, BERLIN SORCIER, DAS ROSENFELD, ALLEMAGNE ▬ VINGT-CINQ ANS » Angoisse. Chaleur. Fraîcheur. Frustration. Chaleur. Je passais par toutes les émotions possibles et imaginables. Et c'était ainsi depuis plusieurs mois. Les vendeuses s'agitaient autour de nous, des sourires crispés aux lèvres. Un détail que nous aurions normalement partagé, en de pareilles circonstances. Mais je n'avais pas envie de faire semblant. J'étais mécontente. Énervée plus que tout. On me traitait comme une marionnette. L'objet d'un arrangement. Une simple pièce sur un échiquier. « On dirait une meringue. » Dis-je simplement en jetant un œil dans la glace. Non, non, non. Des rires. Non, non, non. Des hochements de tête. Mon visage, lui, restait de marbre. J'avais déjà enfilé une dizaine de robes. Bien que j'eusse l'impression d'en avoir enfilé une centaine. Bustier. Bretelles. Manches. Dentelle. Mousseline. Jupons. Corsets. Soie. Satin. Blanc. Crème. Ivoire. Longues. Courtes. Au-dessus des genoux. En dessous. Traînes. Volants. Uniques. Multiples. Brodés. Unies. Plus je restais là, plus j'avais envie d'exploser. Je voulais en finir. En temps normal, j'aimais faire les magasins. Énormément. La boutique avait été privatisée. Tout avait été mis en place pour que cette journée soit… parfaite. Tout ceci devait être agréable. J'aurais dû avoir envie d'être là. Envie de sourire. De rire... Mais ce n'était pas le cas. Je me mordais la lèvre du bas. Et finalement mes yeux se posèrent sur ma mère, qui n'avait rien dit depuis un bon bout de temps. Assise derrière moi, je la fixai dans le miroir. Et elle fit de même. FLASHBACK : nos cicatrices ont le mérite de nous rappeler que le passé n’a pas été qu’un rêve + J'avais presque recraché mon thé. Je reposai la tasse, le léger tintement de la porcelaine contre la table, n'étant absolument représentatif du feu qui était en train de monter en moi. Mon père se lança dans sa tirade habituelle. J'étais sa fille. Son aînée. Que je devais montrer l'exemple. Que je n'étais pas la seule concernée. Que je devais me montrer mature. Il avait fait un accord. Et j'en étais l'objet. Ou du moins une partie. Je devais épouser le second fils Quispe. Depuis les quelques minutes qui s'étaient écoulées, je me contentais de me répéter cette phrase. Mais je n'arrivais pas à l'accepter. Non. « Non. » Des regards stupéfaits. Mon père avaient écarquillé les yeux. « Je te demande pardon ? » J'avais rarement défié mes parents, mon père en particulier. J'avais été élevée avec ces faits en tête. Avec ces considérations politiques. Ces stratégies. J'avais appris à être observatrice. À ne pas en dire trop. À ne pas en cacher trop. Et je savais que ceci allait arriver. Je le savais. Mais j'avais toujours évité d'y penser. Mon esprit arrivait dessus, j'en frissonnais et je me dépêchais de penser à autre chose. « Non ! » Stupeur. J'en avais assez entendu. Assez. Je ne voulais plus rien entendre. C'en était trop. Je me levai presque instantanément. Mon cerveau ne contrôlait plus mes mouvements. Je subtilisai des clés, n'importe lesquelles. Et très vite, je m'étais retrouvée au volant. Je ne savais même pas de quel véhicule il s'agissait. Et je n'avais pas conduits depuis fort longtemps. Mais il fallait que je sorte de cet endroit. Cet endroit dans lequel je me sentais d'habitude tellement apaisée. Cet endroit que je détestais quitter. Arrivant face au portail qui séparait le château dans lequel j'avais grandi, qui s'apparentait plus à ce moment-là à une cage, de la liberté. Je klaxonnai. Klaxonnai. Klaxonnai. Rien. Ils se contentaient de fixer la voiture. Klaxons. Klaxons. « OUVREZ ! » Criai-je de toutes mes forces. Déblatérant toutes les menaces auxquelles je pouvais penser. Mais c'était visiblement l'une des nombreuses choses pour lesquelles je n'étais pas douée… Et finalement, les portes s'ouvrirent. Et je fus libérée. Je n'avais pas l'intention de m'en aller pour de bon. Mais je ne voulais voir personne. Je suffoquais. Je savais que j'allais le regretter. + nos cicatrices ont le mérite de nous rappeler que le passé n’a pas été qu’un rêve : FLASHBACK J'étais détestable. J'en étais consciente. J'en étais parfaitement consciente. Je le voyais à la lueur dans le regard de tous ceux qui avaient eu le malheur de croiser ma route, durant les deux derniers moins. Je n'avais pas non plus eu de vraie conversation avec mes parents. Mes interactions avec s'arrêtant au strict nécessaire. J'évitais les gens. Sachant pertinemment que je ne pouvais pas me comporter ainsi devant tout le monde. Je feignais la future mariée bien trop prise par les choix de fleurs et de vaisselle. Mais en ce jour, je n'avais pas envie de faire semblant. Cela devenait vrai. L'évènement que j'avais redouté allait arriver. Ne détournant pas le regard, ma mère s'approcha de moi. « Décidément, tu es difficile. Dit-elle, ponctuant sa phrase d'un rire cristallin, me prenant le bras et m'intimant de me retourner. Premier sourire de ma part. Mais tu as bien raison, c'est ta journée après tout. » Elle me prit la main et la serra. Je ne ressentais aucune amertume. Aucune agressivité. Bien au contraire. 2015, CASSEL, CHATEAU WILHELMSHÖHE, EBENE DEN WÖLFEN, ALLEMAGNE ▬ TRENTE-DEUX ANS » Elle avait eu ce qu'elle désirait depuis tant d'années. Helmina. Le trône. Impératrice. Rosenwald. Cette simple pensée me glaçait le sang. Elle était arrivée à ses fins. J'avais osé espérer que cela n'arrive pas. L'avenir s'annonçait des plus sombres… Avec cette famille au pouvoir. Perdue dans mes pensées, je jouais avec l'animal en peluche. Je passais le plus clair de mon temps dans cette pièce. Je me disais parfois que j'aurais aimé redevenir un être innocent et insouciant. Assise dans le fauteuil, je fixais la pluie tombante. Inquiète. Dépitée. M'emparant du journal, je le froissai, espérant naïvement que cela me permettrait d'oublier toute cette histoire. Je me levai. Marchant lentement autour de la pièce. J'admirais la décoration. Le travail qui avait été fourni. Les détails. Cette pièce était parfaite. Absolument. Un cocon. Un cocon isolé du chaos qui existait en dehors… Le choix de couleurs. Les meubles. La fresque sur les murs… J'approchai délicatement vers le berceau. Il dormait paisiblement. Mon fils. Mon second fils. Il était né depuis un certain temps, déjà. Mais j'avais parfois encore du mal à m'en rendre compte... J'étais devenue mère pour la seconde fois. FLASHBACK : nos cicatrices ont le mérite de nous rappeler que le passé n’a pas été qu’un rêve + Cela faisait certainement la cinquante-quatrième fois que je faisais basculer mes cheveux du côté opposé. La vingt-sixième que je me mordais la lèvre inférieure. Je faisais les cent pas. Je montais les marches. Je les descendais. Je passais dans chacune des pièces de la maison. Puis j'avais atterri là. Sur les marches. À attendre. Encore et toujours. Ce qui devait arriver, était arrivé. Après toutes ces années. Les étudiants déjà à l'époque de mes études à Goldadler. Les non-purs. Plus les mois passaient, plus le nombre de citoyens officiellement opposés au régime actuel augmentait. Une République Allemande. Un régime communiste. Une autre extrême. Un régime qui ne me convenait pas non plus. Mais il fallait que ce soit elle. La tête de la rébellion. Elle. Cette femme. Le pays était en pleine tension. C'était bien la première fois que je voyais une telle chose. J'avais lu. L'Histoire avait été marquée plusieurs fois par de pareils évènements. Mais jamais je n'avais été amené à en témoigner. Ils voyaient en elle. En eux. Une issue. L'espoir de voir les choses changer. Et si elle réussissait… Ils n'allaient pas obtenir ce qu'ils souhaitaient obtenir. Mais bien l'inverse. Je le savais. J'en étais parfaitement consciente. Ma position l'exigeait. La situation de l'Allemagne sorcière était inquiétante. Nous étions extrêmement proches du point de rupture. La rébellion était plus présente que jamais. La situation était dangereuse. Et Issa n'était pas là. Il avait été contraint de se déplacer. Et je ne pouvais m'empêcher d'être inquiète. Sept ans d'union. Une union d'abord compliquée. Une union arrangée. Chose que j'eus énormément de mal à accepter. Et il était de même pour lui. Mais avec le temps je dus me résigner. Et j'appris à le connaître. Et il n'était pas si mal. Je me suis surprise à ressentir un sentiment de manque, quand je me trouvais loin de lui. J'avais besoin de lui. Et c'est ainsi que je me suis rendu compte que notre mariage était devenu plus réel. Et quand je tombai enceinte de notre premier enfant, d'une manière totalement inattendue. Je fus surprise, oui. Mais je ne fus pas soucieuse. Tout allait bien se passer. Je le savais. Et tout s'était très déroulé. « Isis ? » Je levai la tête, descendis les escaliers à toute vitesse et atterris dans ses bras, le serrant de toutes mes forces. + nos cicatrices ont le mérite de nous rappeler que le passé n’a pas été qu’un rêve : FLASHBACK Posant l’animal en peluche dans le berceau, je retournai m’installer dans le fauteuil. La pluie avait assombri l’atmosphère. La tempête était arrivée. Mais je n’entendais rien. Isolée du chaos de l’extérieur. Il continuait de dormir paisiblement. Et le savoir m’apaisait aussi, curieusement. J’entendis la porte s’ouvrir… Instinctivement je posai mon index contre mes lèvres. Issa était entré dans la pièce, notre autre fils dans les bras, endormi lui aussi. Deux ans. Un âge de découverte. Il était énergique. Curieux. Jamais je n’aurais imaginé que nous finirions par nous entendre. Par nous apprécier. Par nous aimer. Par devenir parents. Parents à deux reprises. Les deux enfants bien installés. Je pris la main que mon époux me tendait et nous sortîmes de la pièce. Sachant parfaitement que le calme ne durerait pas longtemps. 2016, CASSEL, CHATEAU WILHELMSHÖHE, EBENE DEN WÖLFEN, ALLEMAGNE ▬ TRENTE-TROIS ANS » Les rires enfantins emplissaient la pièce d'à côté. Les deux chérubins s'amusaient, innocemment. Ignorant ce qui se passait à l'extérieur même des portes de la demeure. Le Second Empire Allemand. Ses répercussions. Ses changements. Son organisation. Ses conséquences. Un massacre. Des pertes matérielles. Des pertes humaines. Des victimes. Le feu. Le feu dévastateur. Je pouvais imaginer les nombreuses perquisitions que j'allais être amenée à autoriser. Le nombre d'entrevues avec les procureurs. La police… Mais j'avais été placée à une nouvelle position. Haut-juge. Inattendu. Très inattendu. J'avais appréhendé mon retour quelques mois après le terme de ma seconde grossesse. Et pourtant, près d'un an après, on m'avait accordé une promotion. En réalité, il ne s'agissait pas réellement d'une proposition. Un point qui avait tendance à m'agacer. Mais c'était une fonction des plus intéressantes et des plus importantes. Et ce n'était pas quelque chose que l' on pouvait réellement refuser… Une opportunité. Des responsabilités. Je n'avais pas encore pris mes fonctions. À vrai dire, j'étais encore même abasourdie par la nouvelle. Mais l' assassinat des membres du clan Freidrich m'avait très rapidement ramenée à la réalité. L'exemplaire du Frei Fraue s'embrasa, tout comme ceux du Stehen et Zeitung Hexen avant lui. Je secouai la tête, m'indignant de la politisation et de la radicalisation de la presse du pays, mais aussi des mesures qu'il me fallait prendre à chaque fois que j'avais le besoin de m'informer. Je refermai le poing, laissant ainsi les flammes faire place aux cendres. FLASHBACK : nos cicatrices ont le mérite de nous rappeler que le passé n’a pas été qu’un rêve + Indignation. Satisfaction. Allégations. Objections. J'observais la scène, l'air impassible. Écoutant attentivement l'échange entre accusation et défense. Un échange qui n'était pas censé avoir lieu. Je me massai les tempes. Un coup d'œil discret vers le témoin interrogé par la défense. Confusion. Appréhension. Stress. La greffière. Frustration. Les notes d'audiences. Des lettres parfaitement tracées. Des paragraphes alignés. Une page propre immaculée du moindre défaut. Puis le chaos. Ratures. Croix. Tâches. Un stylo suspendu dans les airs, immobile. Une greffière frustrée. Des cris, des cris, des cris. Un marteau qui s'élève. Haut. Très haut. Des bras croisés. Un index qui se baisse. Un retentissement. Le silence. « Messieurs. » Dis-je en leur faisant signe de s'approcher. Tous deux s'exécutèrent, semblant même être compétition pour savoir lequel d'entre eux arriverait en première place. « Je tiens à vous rappeler que vous vous trouvez dans un tribunal. Dis-je avec un ton plus bas de manière à ce qu'ils soient les seuls à pouvoir m'entendre. Je vous rappelle aussi que vous êtes en présence d'un enfant. » Dis-je en faisant référence à la personne se trouvant à ma droite, à la barre de témoins. « La défense a soulevé un point non-négligeable et je ne peux décemment pas l'ignorer. Dis-je, cette fois, à l'intention de tout le tribunal. Ce témoignage ne sera donc pas pris en compte et ne figurera pas dans les notes d'audiences. » Protestations de la part du procureur qui avait haussé le ton. « Je ne me répéterai pas. » Dis-je calmement, détachant chacune des syllabes formant cet avertissement déguisé. « Retournez à vos sièges, maîtres. » Même débit de prononciation. Tandis que les deux juristes s'éloignaient, je prononçai une suspension d'audience. J'en étais venue, à la suite de leur combat de coq, à la conclusion que nous n'aurions pas avancée en continuant ainsi. Il l'avait eu. Pour cette fois. Mais le jeune procureur n'avait pas dit son dernier mot, je le sentais. Retournant dans mon bureau, je repensais au courrier que j'avais reçu quelques jours auparavant. Une promotion. Une promotion que je voulais garder secrète pour l'instant. Assise derrière le meuble en chêne vernis, je relisais la lettre avec attention. « Merci. » Dis-je en ma stagiaire ponctuant la phrase avec un sourire. Elle posa la tasse de thé, objet de mon rituel post-audience et se retourna pour s'en aller. « Attendez. Dis-je en rangeant la feuille de papier dans l'enveloppe dans laquelle elle m'avait été envoyée. Je n'ai pas encore eu le temps de répondre à vos questions. » Un stage de découvert servait aussi à cela, après tout. + nos cicatrices ont le mérite de nous rappeler que le passé n’a pas été qu’un rêve : FLASHBACK « Doucement, doucement ! » Mon fils s'était mis à courir à travers la pièce. Il s'était dirigé vers moi, au moment où j'étais entrée dans la pièce. « Ne court pas. » Il n'avait absolument pas modifié son allure. Et ce que je redoutais le plus arriva. La chute. J'accourus à ses côtés. Mon cœur étant tombé au fond de mon estomac. Mon sang ayant fait un tour. Et pourtant. C'est de nouveau des rires que j'entendis. Je jetai un coup d'œil vers Wissem, fronçant les yeux, ma mâchoire tombant. « Telle mère, tel fils, hein ? » Je lui tirai la langue. Regardant de nouveau mon fils qui prenait un malin plaisir à se moquer de moi. Puis il continua de jouer avec sa cousine. Sa cousine du même âge. Ma nièce. Nous regardions les deux enfants. Et ce fut une image de nous, qui me vint en tête. Plus âgés, bien entendu. Mais tout aussi rieurs. Nous étions proches. Très proches. À chaque fois que quelqu'un osait me dire du mal de Wissem. Je rétorquais qu'il ferait mieux de retirer ses paroles. Nous étions des fortes-têtes. Nous nous étions souvent disputés. Oui. Mais il était mon sang. Mon frère. Et jamais je n'aurais laissé qui que ce soit lui manquer de respect. Et je savais que l'inverse était aussi vrai. Et pourtant… Nous nous étions éloignées. L'âge. Les responsabilités. Les prises de conscience. La succession. J'avais eu deux fils. Lui, une fille. La femme. Une figure de tête chez les Abdelaziz. J'étais bien placée pour le savoir. Lorsque je m'étais rendu compte que nous attendions tous les deux enfants, qui allaient avoir le même âge, je ne m'en étais pas soucié. Mais à leur naissance. Tout avait changé. Les langues se déliaient peu à peu. Venant me rapporter toutes sortes de rumeurs. Venant me mettre toutes sortes d'idées dans la tête. Je tentais de garder la tête froide. Cette situation me déplaisait. Mais je ne pouvais pas me contenter de l'ignorer. Je le regardai. Il me regarda. Des sourires gênés. Voilà ce qui rythmait nos échanges.
Dernière édition par Isis Abdelaziz le Mar 23 Aoû - 6:11, édité 24 fois |
| | | Lukas Rosenwaldimpérialiste de la Rose
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‹ PSEUDO : summer child, co.
‹ FACE & CREDITS : Dylan O'Brien, songbird (av) wood spoon (sign)
‹ ÂGE DU PERSONNAGE : vingt-cinq ans.
‹ STATUT CIVIL : Marié depuis trois ans et déjà père.
‹ STATUT DU SANG : Un sang pourpre coule dans ses veines, porteur aussi du fardeau de la consanguinité.
‹ OCCUPATION : Guérisseur à la tête du service diagnostic de l'hôpital magique Günther Bartholomaeus.
‹ SCOLARITÉ : de 2000 à 2008.
‹ ALLÉGEANCE : sa famille avant tout, à sa mère, puis son frère malgré leur distance.
‹ LOCALISATION : Berlin la belle, entre le palais où il réside et l'hôpital où il travaille.
‹ INVENTAIRE : Une pince à cravate toujours accrochée, en forme de rose, son portable toujours dans la poche en cas d'urgence, un carnet encorcelé pour prendre des notes pendant ses débriefing avec son équipe. Son alliance, son portefeuille en barda dans lequel une photo de sa fille a sa place
‹ COMPÉTENCES : empathie (1), fraternité (1) & impulsivité (2)
| Sujet: Re: (isis) ♕ like a dungeon dragon Dim 14 Aoû - 7:15 | |
| Cette famille a ma vénération Bienvenue ici ma jolie, n'hésite pas au besoin ! |
| | | Micaela Löwewaldimpérialiste du Lion
‹ MESSAGES : 476
‹ PSEUDO : VOYOU. Mais si vous préférez, vous pouvez m'appeler Elodie, ou tout simplement Elo.
‹ FACE & CREDITS : Avatar @Bacaclava| Signature @Solosand | Citation @Slimane-Adieu
‹ ÂGE DU PERSONNAGE : vingt six années que l'univers gravite autour de ce monstre d'égoïsme.
‹ STATUT CIVIL : mariée. Pour le meilleur, mais surtout pour le pire.
‹ STATUT DU SANG : Fleuve écarlate, aussi pur que royal.
‹ COMPÉTENCES : uc
| | | | | Sujet: Re: (isis) ♕ like a dungeon dragon Dim 14 Aoû - 10:11 | |
| OWIIIIIII !! Ma soeur d'amour Super choix de personnage on va s'amuser ensemble, j'ai hâte de voir ce que tu vas faire de ta belle Isis |
| | | Liséa Rosenwaldimpérialiste de la Rose
‹ MESSAGES : 731
‹ PSEUDO : Littlewolf aka Hélène.
‹ FACE & CREDITS : Natalie Dormer. Avatar : Stolen Paradise & Signature : anaëlle.
‹ MULTICOMPTES : Seena, la fouine.
‹ ÂGE DU PERSONNAGE : 29 années qu'elle aime mettre en avant comme un bon vin dont on se délecte. Elle est pourtant accro à cette jeunesse qui la rend encore désirable.
‹ STATUT CIVIL : La bague au doigt, le pouvoir entre les mains. Mariée à Lukas par ambition, profitant de son statut et de son nom. Il est son meilleur ami, son confident et son amant mais l'amour n'y trouve pas son compte.
‹ STATUT DU SANG : Le carmin des rois, celui qui reste pur malgré les siècles qui passent. Elle est de ses bourgeoises qui crachent sur les mêlés, détestant leur existence depuis toujours.
‹ OCCUPATION : Femme politiquement engagée mais également directrice d'un cabaret. L'âme d'artiste qui s'évade à travers les corps, sa soif de pouvoir qui l'entraine dans les histoires d'adultes.
‹ COMPÉTENCES : manipulation (niv. 1) ; charisme (niv. 2) ; persuasion (niv. 1)
| Sujet: Re: (isis) ♕ like a dungeon dragon Dim 14 Aoû - 10:56 | |
| |
| | | Luis Rosenwaldimpérialiste de la Rose
‹ MESSAGES : 1342
‹ PSEUDO : bigbadwolf, lise.
‹ FACE & CREDITS : dylan o'brien / bbw + sign. tumblr/halsey
‹ ÂGE DU PERSONNAGE : 25 ans depuis le 14 mai.
‹ STATUT CIVIL : Marié à Aloisia Freidrich, devenue Rosenwald. Cependant le brun n'est pas fidèle. Une rumeur court d'ailleurs à ce sujet, mais elle reste à l'état de rumeur car personne n'a de preuves. En effet, Luis est assez persuasif pour éviter que les autres ne parlent.
‹ STATUT DU SANG : Pur, il serait inconscient d'en douter. Ses capacités magiques démontrent de son sang pourpre, qui coule dans ses veines.
‹ OCCUPATION : Prince héritier à plein temps, exerçant le métier d'avocat principalement parce que c'est amusant. Ambitieux, Luis est incapable de ne pas travailler. Même si il n'exerce plus autant qu'il le voudrait, il a aime retourner au bureau pour s'occuper de quelques richissimes sorciers capables de se payer ses services.
‹ SCOLARITÉ : Goldadler, bien sûr, dans le pavillion des purs. Très bon étudiant, il n'a jamais raté dans une seule branche.
‹ ALLÉGEANCE : A sa famille, à sa mère, à lui-même.
‹ LOCALISATION : Berlin.
‹ INVENTAIRE : Son téléphone portable (qu'il déteste), un portefeuille qui ne le quitte jamais et son alliance, bien sûr, qu'il ne retire jamais.
‹ COMPÉTENCES : charisme (niv. 2), leadership (niv. 1), cruauté (niv. 2)
| Sujet: Re: (isis) ♕ like a dungeon dragon Dim 14 Aoû - 11:10 | |
| Les Abdelaziz sont ma famille préférée, bon choix Bienvenue parmi nous ! |
| | | Marius Löwewaldimpérialiste du Lion
‹ MESSAGES : 429
‹ PSEUDO : BARJAVEL
‹ FACE & CREDITS : sam claflin (faust)
‹ ÂGE DU PERSONNAGE : vingt-sept ans. des années qui s'écoulent, qui le forgent.
‹ STATUT CIVIL : mariée. une belle femme, celle que l'on voudrait, que l'on désirait. pourtant cela semble si compliqué pour lui.
‹ STATUT DU SANG : pur. une sang pourpre. digne d'un nom royal, il est de la haute société.
‹ OCCUPATION : avocat. une tempête de mots. des paroles qui défilent, une défense sans faille. comme sur un champ de bataille. ambitieux, la défaite n'est pas pour lui.
‹ SCOLARITÉ : diplômé de Goldadler. élève studieux. brillant et remarquable. comme un lion qui brille.
‹ ALLÉGEANCE : impérialiste du lion. avec sa famille. son père. lui.
‹ LOCALISATION : berlin, bel appartement où l'on se perd à cause du luxe.
‹ INVENTAIRE : une alliance au doigt qu'il ne peut retirer. un porte-feuille toujours sur lui. une chaîne autour du poignet offert par sa mère. et un téléphone.
‹ COMPÉTENCES : honneur (niv. 1) // leadership (niv. 2) // tenacité (niv. 1)
| Sujet: Re: (isis) ♕ like a dungeon dragon Dim 14 Aoû - 11:56 | |
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| | | Magdalena Feuerbachimpérialiste du Lion
‹ MESSAGES : 964
‹ PSEUDO : appletini
‹ FACE & CREDITS : margot robbie & SWEET DISASTER ; tumblr
‹ MULTICOMPTES : roskana dashkov
‹ ÂGE DU PERSONNAGE : vingt-sept années de vie qui se sont écoulées brusquement sans laisser de trace
‹ STATUT CIVIL : mariée, depuis peu, au deuxième fils de la branche majeure des Fuchs
‹ STATUT DU SANG : à n'en pas douter, son sang est aussi pur que le cristal
‹ SCOLARITÉ : ancienne membre du pavillon erde, diplomée de l'académie goldadler il y a déjà quelques années
‹ ALLÉGEANCE : impérialiste du lion.
‹ COMPÉTENCES : ténacité (niveau 2), fraternité (niveau 1), persuasion (niveau 1)
| Sujet: Re: (isis) ♕ like a dungeon dragon Dim 14 Aoû - 12:56 | |
| Le prénom, la famille, l'avatar T'es cool, toi Bienvenue sur le forum et bon courage pour ta fiche |
| | | | Sujet: Re: (isis) ♕ like a dungeon dragon Dim 14 Aoû - 23:41 | |
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| | | | Sujet: Re: (isis) ♕ like a dungeon dragon Dim 14 Aoû - 23:57 | |
| Cette merveilleuse famille, puis cet avatar Bienvenue sur le forum miss et bonne chance pour ta fiche. |
| | | | Sujet: Re: (isis) ♕ like a dungeon dragon Lun 15 Aoû - 0:35 | |
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| | | Aloisia Rosenwaldimpérialiste de la Rose
‹ MESSAGES : 468
‹ PSEUDO : flyingsquirrel. (maëlle)
‹ FACE & CREDITS : holland roden. (hepburns)
‹ MULTICOMPTES : andreas le plus beau.
‹ ÂGE DU PERSONNAGE : elle effleure les trois décennies du bout des doigts. vingt-huit ans, un âge vêtu d'une grande signification à ses yeux. une année qu'elle n'oubliera pas.
‹ STATUT CIVIL : l'alliance à son doigt la lie pour la vie à luis rosenwald. mariée depuis quatre ans au futur empereur, on ne peut pas dire qu'ils s'aiment d'un amour fou, mais forment un duo très soudé. cependant il n'est pas rare qu'aloisia ne se perde dans les draps d'un autre.
‹ STATUT DU SANG : son sang est pur et il ne pourrait pas en être autrement.
‹ OCCUPATION : aloisia est juge et ce depuis quelques années. c'est elle qui fait et défait des vies, qui décide qui est coupable et qui ne l'est pas.
‹ SCOLARITÉ : diplômée de goldadler depuis une dizaine d'années, aloisia était une étudiante qui excellait dans tous les domaines.
‹ ALLÉGEANCE : son allégeance va au rosenwald et de ce fait à l'impératrice. ça a toujours été une évidence pour aloisia, qui a été élevée avec les valeurs de l'empire.
‹ COMPÉTENCES : charisme (niv. 1) ; fraternité (niv. 2) ; persuasion (niv. 1)
| Sujet: Re: (isis) ♕ like a dungeon dragon Lun 15 Aoû - 0:47 | |
| ce choix de famille bienvenue ici et bon courage pour ta fiche |
| | | | | | | | Sujet: Re: (isis) ♕ like a dungeon dragon Jeu 18 Aoû - 0:12 | |
| ce choix de famille, ces prénoms ! j'ai hâte d'en savoir plus sur ce personnage ! ^,^ bienvenue à toi et bonne chance pour la suite de ta fiche de présentation ! |
| | | | Sujet: Re: (isis) ♕ like a dungeon dragon Jeu 18 Aoû - 5:35 | |
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| | | | Sujet: Re: (isis) ♕ like a dungeon dragon | |
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| | | | (isis) ♕ like a dungeon dragon | |
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