Rudolf Rosenwaldimpérialiste de la Rose
‹ MESSAGES : 174
‹ PSEUDO : batoews, alexandra
‹ FACE & CREDITS : christian bale (avatar de : tik tok & signa de moi-même)
‹ ÂGE DU PERSONNAGE : tu as franchi le cap de la quatrième décennie cette année, quarante ans tout juste
‹ STATUT CIVIL : marié et père depuis près de vingt quatre ans maintenant... eh oui, cela ne te rajeunis guère, il faut dire !
‹ STATUT DU SANG : est-ce une question qui mérite de t'être posé ? pur, évidemment
‹ OCCUPATION : tu occupes présentement la profession de détective privé, aidant certaines personnes à se séparer ou ouvrir les yeux sur une situation
‹ SCOLARITÉ : tu as étudié à l'université il y a des années de cela en criminologie et en droit, histoire de bien être informé pour ton présent métier
‹ ALLÉGEANCE : évidemment, la question ne se pose guère ici non plus. étant un rosenwald depuis ta tendre enfance, ton allégeance va évidemment à l'impératrice de la rose
‹ LOCALISATION : à quelque part dans berlin pour le travail, tu te déplaces constamment dans la capitale pour ton travail
‹ COMPÉTENCES : charisme (niv. 1), espionnage (niv 1), discrétion (niv. 1)
| Sujet: karma is a bitch w/ffuchs Jeu 27 Oct - 2:31 | |
| Toutes les missions ne sont pas toujours dans Berlin. Après tout, ton empire de détective ne se serait pas fait en enquêtant et en œuvrant simplement dans la capitale, non. Les affaires vont beaucoup plus loin que ça. Tu te retrouves parfois à l’autre bout du pays, tout comme ce soir. Stuttgart, endroit de prédilection des Fuchs. Mais tu viens en tant que détective, pas en tant que Rosenwald, ce n’est pas la même chose. Tu as une piste à suivre et c’est ici qu’elle t’a mené. Bien sûr, on pourrait croire autre chose de ta part, mais tu n’es pas là pour faire tomber personne, simplement un client qui voulait des informations sur une certaine chose en particulier. Tu es venu en voiture, évidemment. C’est trop loin de Berlin et tu n’as pas d’autres moyens de transport pour te rendre ici. De toute façon, c’est plus pratique pour apporter ton matériel de photographie que de transporter dans un seul sac. Voilà comment tu te retrouves ici en plein milieu de la soirée pour prendre des clichés du monsieur en question. Une histoire de tromperie, encore. Mais tu prends tellement les photos au bon moment que c’est pour cette raison que l’on te fait confiance. Mais avec toute cette histoire, tu ne vois pas le temps passer. Tu ne sais plus l’heure qu’il est et surtout, tu oublies simplement le couvre-feu de malheur imposé par ta cousine, décret pour essayer de coincer les gens de l’attentat contre ta propre famille. Au moment où tu dois prendre une autre photo, un bruit sourd, un bruit de sonnerie se fait entendre partout dans le quartier. « Merde ! » tu t’exclames. Ce serait une belle ironie de te faire avoir dans ces lieux, pas vrai ? L’appareil dans le cou, tu te diriges vers le premier endroit abandonné que tu peux voir, espérant pouvoir trouver refuge assez longtemps. Tu regardes ensuite ta montre. « Foutu couvre feu... » tu marmonnes. Tu as toujours préféré opérer la nuit, c’est toujours plus facile lorsque tu es en mission. Mais avec ce que ta cousine vient d’émettre comme règlement, il va falloir que tu t’adaptes. Et tu viens de te faire avoir tel un débutant dans n’importe quelle matière. Comment sortir d’ici sans se faire remarquer ? Mystère, mystère ! |
|