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 Sweet, sweet vengeance - Matziska

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Franziska Fuchs
impérialiste du Lion

Franziska Fuchs
Sweet, sweet vengeance - Matziska  Tumblr_inline_o8bgvxkIM81sad57x_500
‹ MESSAGES : 591
‹ PSEUDO : indi
‹ FACE & CREDITS : Hanna Mangan Lawrence & indi (ava), tumblr (gifs), F. von Schiller (citations)
‹ ÂGE DU PERSONNAGE : 23 ans
‹ STATUT CIVIL : jeune fleur dans le meilleur des âges, son mariage n'est plus qu'une question de temps. Son fiancé est un fils des Monaci, Matteo.
‹ STATUT DU SANG : pose lui la question en face si tu oses, tu ne seras pas déçu de la réponse.
‹ OCCUPATION : Des mauvaises langues vous diront qu'elle se rend chaque jour à la réserve 'Die Höhle' dans le seul but de rabaisser les employés si ces derniers ne se plient pas assez vite à ses nombreuses caprises. Alors qu'officiellement, elle y est employé en tant que gestionnaire de la faune depuis qu'elle a obtenu sa licence en biologie de la conservation quelques années auparavant. Un emploi qu'elle apprécie plus que tout, bien qu'elle ne l'avouerait certainement jamais, préférant se plaindre haut et fort de l'effet que le travail en plein air aurait sa peau délicate.
‹ ALLÉGEANCE : les Löwewald, comme tous les membres de sa famille, mais il ne s'agit là que d'une alliance par intérêt, car la jolie brune tournerait sa veste en un clignement des yeux si cela pouvait servir ses intérêts
‹ COMPÉTENCES : manipulation (niv. 2) ; ténacité (niv. 1) ; dominance (niv. 1)



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MessageSujet: Sweet, sweet vengeance - Matziska    Sweet, sweet vengeance - Matziska  EmptyLun 17 Oct - 22:53

Sweet, sweet vengeance
Matteo & Franziska

Fulminante, la jeune femme tournait encore et encore la bague qui ornait son doigt. Et si son visage était comme à son habitude impassible, ce geste machinal trahissait son agitation. Il n'avait tout de même pas osé ? Voilà une bonne vingtaine de minutes qu'elle était assise - seule ! - à une table d'un restaurant étoilée, à devoir attendre le gamin qui lui servait de fiancé. Un rendez-vous auquel ses parents l'avaient forcé à assister, pour soit disant régler certains aspects relatifs à leur mariage futur. Bien décidée à faire bonne mine et d'accepter cette dystopie, après tout, c'était comme avoir des taroupe : un truc gênant dont il fallait se débarrasser le plus rapidement possible. Dommage seulement que contrairement à des poils gênant, on ne pouvait pas se débarrasser d'une façon permanente de son fiancé... Parce que sincèrement, il l'aurait bien mérité : il venait de lui poser un lapin. Ou comment le voir autrement, puisqu'il aurait du être au restaurait il y a presque une heure - Franzi, rogue comme à son habitude, du moins quand son fiancé était concerné, ayant décidée de ne se rendre au rendez-vous qu'avec une trentaine de minutes de retard. Sauf que lorsqu'elle avait enfin fait son apparition vêtue d'une longue robe couleur azurin, bien des regards s'étaient tournés en sa direction - excepté celui de son fiancé, celui-ci n'ayant même pas daigné de venir si l'on se fiait aux employés. Peut-être se l'imaginait-elle, mais depuis quelques minutes, de la pitié commençait à se mêler aux regards que le serveur lui lançait. Il savait. Il était témoin qu'elle, une Fuchs, venait de se prendre un râteau phénoménal. Et la compassion du serveur ne semblait que l'empoicrer d'avantage, au point où elle avait presque l'impression qu'à l'heure actuelle, tout le restaurant devait savoir que son fiancé lui avait posé un lapin.

"Je peux vous servir quelque chose ? Le serveur semblait enfin s'être décidé à sortir de son silence, et s'approcha de la jolie brune.

- Hmm, j'hésite entre votre délicieux gratin d'amarante, surmonté de la tête de mon cher époux, et des cénobites accompagnés du numéro d'un bon tueur à gage. Vous me conseilleriez lequel ?

Le ton melliflue sur lequel elle prononça ces paroles, combiné à un sourire innocent, pu peut-être tromper le serveur qui se mit à rire, mais la jolie brune était bien loin de plaisanter. Le Monaci allait le payer. Chèrement. Élégamment, la jolie brune se leva et quitta le restaurant. Le positif, c'était au moins qu'elle n'avait pas à craindre que ses parents lui coupent les vivres, comme ils avaient suggérés de le faire si elle ne se rendait pas à ce rendez-vous. Et elle allait pouvoir profiter de cette journée pour redécouvrir les joies que Berlin avait à offrir.

____________________


Plus de vingt-quatre heures s'étaient écoulés depuis le fiasco du restaurant lorsque Franzi, sous ordre de ses parents, prit une nouvelle tentative de rencontrer son promis. Ce n'était pas tant le fait de le voir qui était important, et encore moins de lui parler, mais il devait signer certains documents relatifs à leur futur mariage... comme la note des frais, par exemple, à laquelle la jolie Fuchs avait pris la liberté d'ajouter quelques détails depuis son arrivée à la capitale. Comme par exemple ce si joli collier incrusté de pierres précieuses, qui n'avait - strictement parlé - rien à voire avec le mariage, mais, en vue des événements, elle considérait que cela lui était dû, surtout parce que cela l'obligeait à venir ici ce soir, au milieu de toutes ces gamines en folie. Dire qu'elles étaient tous là pour voir  un espèce de Justin Bieber des sorciers se produire sur scène, en émettant des sons semblables aux cris des sirènes hors de l'eau... Pitoyables. Autant dire qu'il était tout simplement hors de question pour la jolie renarde de se rendre au concert, non, elle avait préféré venir juste avant la fin pour être sûre de rencontrer Matteo dans les loges... et de toute évidence, elle n'était pas la seule, puisqu'une jolie rousse avait déjà adoptée une posture luxurieuse sur la table de maquillage. Charmant. Un sourire narquois se dessina sur les lèvres de la jolie brune, lorsque la fille face à elle commença à se redresser.

- Que... Qu'est-ce que ...?

... je fais ici ? coupa-t-elle la jeune femme, un sourire amusé sur les lèvres. Oh, juste collecter quelques informations potentiellement comminatoires semble-t-il. Mais vous n'en faites pas, une petite signature, et mon fiancé est de nouveau tout à vous.

Pour la jolie brune, la situation était au combien amusante, surtout qu'elle lui donnait un joli moyen de pression contre son cher fiancé. Ce n'était pas comme s'il n'était pas libre de voir qui il souhaitait, mais ce qui était sur, c'était qu'aucun de leur parents serait heureux d'apprendre qu'il passait son temps en compagnie de petites catins alors qu'il était censé rencontrer sa fiancée. Mais avant que la jolie brune puisse pleinement profiter de la situation, tout comme de la mine déconfite de son "interlocutrice", la porte de la loge s'ouvrit de nouveau pour laisser apparaître l'homme en question. Matteo Monaci, ou le gamin, comme Franzi le surnommait.

- Tadaaa. Je voulais surprendre mon cher fiancé. Ses mots dégoulinaient se sarcasme, alors qu'elle lui adressait un sourire innocent. Tu m'excusera de ne pas imiter cette péronnelle, hein ? Juste une petite signature, et je vous laisse vaguer à vos occupations. Ah, et au passage, Abraxas te remercie pour ce magnifique cadeau que tu lui as acheté hier. L'ocre lui allait toujours à ravir, encore plus lorsqu'il est incrusté de pierres azurines. C'était vraiment généreux de ta part."

Un sourire innocent dessiné sur ses lèvres, elle lui tendit un stylo, accompagné des factures et autres documents qu'elle était censée lui remettre.
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Matteo Monaci
impérialiste du Lion

Matteo Monaci
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‹ FACE & CREDITS : Cody Christian & Bondie
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‹ ÂGE DU PERSONNAGE : J'ai vu le jour le 22 septembre 1994, si tu es pas trop nul en Math, ça veut dire que ça me fait 22 ans.
‹ STATUT CIVIL : Fiancé, il semblerait à une fille de famille Fuchs. Un certaine Franzi quelque chose, j'ai toujours du mal à me rappeller son prénom. Sûrement bientôt marié, mais [b]coeur libre[/b] . Aucun sentiment ne me lie à cette femme qui partagera ma vie.
‹ STATUT DU SANG : Je suis un Monaci, j'ai le sang pur!
‹ OCCUPATION : Emmerdeur professionnel, chanteur adulé et serial lover
‹ SCOLARITÉ : Goldadler, puis je me suis ensuite orienté vers la musique.
‹ ALLÉGEANCE : L'animal à crinière, impérialiste du lion, mais plus précisement sa famille et leur retour sur le trone, même si j'ai bien peur que cela entraine un fratricide.
‹ LOCALISATION : Un peu partout, tout dépend de mes concerts, mais mon pied-à-terre se trouve à Bremen[
‹ INVENTAIRE : Un cahier rempli d'anotation, ma guitare, mon iphone ( c'est un garçon actuel ! ) , mes écouteurs, des chocogrenouilles.
‹ COMPÉTENCES : Charisme (niv. 1) ; Manipulation (niv. 1) ; Leadership (niv. 1)



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MessageSujet: Re: Sweet, sweet vengeance - Matziska    Sweet, sweet vengeance - Matziska  EmptyMar 18 Oct - 23:21




Sweet, sweet vengeance.



Les lumières aveuglantes contrastées avec la pénombre de l’immense salle du Treptow Arena. Deuxième fois que je m’y produisais et une fois de plus un carton plein. La scène, mon domaine, le seul endroit sur terre où je me sentais parfaitement à l’aise. La musique a toujours coulé dans mes veines bien plus que l’habituelle colère et rancœur des Monaci. Il était loin désormais le temps où je chantais devant un petit groupe de personnes dans un petit bar sans grand intérêt du centre-ville de Bremen. Désormais à la simple évocation de mot prénom suffisait à engendrer une marée humaine. Une star, une des plus aimées et appréciées d’Allemagne, en grande partie dû à ma belle gueule, je vous l’accorde. Pourtant, ce sont bien mes mots qui sortent de ma bouche et qui résonnent dans le cœur de ces milliers de gens venus m’acclamer le temps d’une soirée. Bien que quelques-uns ou plutôt quelques-unes ont tendance à me suivre à la majorité de mes concerts. Elles sont les fans les plus étranges, les plus extrémistes et je dois avouer que parfois, elles sont particulièrement inquiétantes. La dernière fois l’une d’elles m’a littéralement arraché m’a bouteille d’eau avant d’y coller ses lèvres. Étrange… Très étrange. À vrai dire, je préfère les fans anonymes qui viennent me voir un soir, achètent mes albums et se contente de venir à une séance de dédicaces, la relation est beaucoup plus saine et ça m’évite de regarder derrière moi en craignant que l’on ne vienne arracher ma jolie tête pour l’installer sur sa table de chevet.

Voilà bientôt 2 heures que le concert a commencé, j’entonne ma dernière chanson. Pour celle-ci, les lumières s’éteignent et je pars quelques secondes en coulisse. Mes musiciens sont aux nombres de cinq, mais pour cette dernière chanson, ils se reposent, je m’occupe de faire tout le travail, ils reviendront cependant pour la fameuse « dernière » celle que le public demande toujours à la fin du concert. Là où on va envoyer le paquet pour les faire revenir à une autre date, un autre endroit. « Ça va ? » Demande une personne du staff tout en me tendant une bouteille d’eau. « On ne peut mieux » Il est impossible que cela soit autrement, je fais ce que j’aime et pour le moment, le concert est un vrai succès, personne ne m’a sifflé et j’ai même accordé le droit à une fan d’une dizaine d’années de monter sur scène avec moi pour entonner une chanson. Rien de mieux pour se mettre le public dans la poche et dorer un peu plus le blason de ma famille, bien que je fasse avant tout ça pour mon plaisir personnel. Bien que je n’ébruite pas ce genre de sympathie. Ma main se referme sur ma guitare et je repars sur scène. Le personnel a déjà fait tout le travail. Il me suffit de m’asseoir sur une chaise de placer ma guitare sur mes jambes et d’approcher un peu plus le micro de ma bouche. Les lumières se rallument sous les cris de joie du public. Un sourire se dessine sur mes lèvres et il n’en faut pas plus pour que les cris se changent en hystérie. C’est encore pire quand mes doigts se mettent doucement à gratter la guitare et que la mélodie se met tout doucement à résonner dans la salle. Kiss me, c’est le nom de la chanson et elle fait toujours son petit effet. « Settle down with me…Cover me up… Cuddle me in… » Les premiers mots sortent de ma bouche et je me sens tout de suite pris dans une joie immense. Elle s’empare de moi, de chaque particule de mon être, chaque goutte de mon sang. Le public s’est tut. Désormais, les mains sont levées et se balancent de gauche à droite, certains ont des briqués, d’autres des téléphones et certains sorciers se laissent aller à quelques bougies qui flottent dans l’air. « Kiss me like you wanna be loved… You wanna be loved… You wanna be loved This feels like falling… loveFalling in love…We're falling in love… » Le refrain est reprit par toute la seule, je me tais, laissant le plaisir au public de reprendre la suite de la chanson avant de les rejoindre à mon tour, pour clôturer une des premières chansons que j’ai compensé. Étrangement, celle-ci est rapidement sortie de mon esprit, sans pour autant que j’ai vraiment connu de chanson d’amour. Une âme de romantique ? Non, mais celle d’un rêveur : Oui.

Le concert vient de se terminer, le rappel a été un vrai succès. Désormais, je présente chacun de mes musiciens, c’est leur petit moment de gloire, le mien ne s’est pas arrêté depuis des années et j’espère que ça ne sera jamais le cas. « Bravo les mecs!. » Mes bras s’enroulent autour de mes 5 compagnons. On se connaît bien depuis le moment. « On se retrouve au Berghain dans deux heures ? » Rapidement, le planning est établi. Après chaque concert, on se retrouve souvent dans une boite du coin pour décompresser et aussi pour draguer. Disons que les deux vont ensemble.

C’est transpirant que je me dirige vers ma loge, j’enlève mes retours des scènes et les glisse le long de mon cou avant de relever la tête. Mon regard se pose alors non pas sur la jolie blonde qui patiente parce que je lui ai demandé, mais bien, sur une brune qui se trouve juste à ses côtés. C’est comme un éclair qui me frappe, non pas à cause de sa beauté, ni parce que je suis heureux de la voir, mais tout simplement parce que je viens de me rendre compte que j’ai oublié notre rendez-vous. En gros, j’ai fait attendre la harpie à en resto et je lui ai posé un lapin sans le vouloir. Personne n’a jamais dû le faire, je suis le premier et elle s’en souviendra très longtemps. Le problème, c’est que je sais parfaitement que je vais le payer. Je laisse échapper un soupir avant de m’approcher d’elle. Bon avant de m’occuper de ma future femme, je vais quand même demander à la petite blonde de rentrer chez elle.

« Tadaaa. Je voulais surprendre mon cher fiancé. » Je reste stoïque, la laissant s’amuser toute seule et tourne mon regard vers la blonde. « Je suis désolé, je t’appelle. » Oui, ça aurait été possible, si je possédais son numéro ce qui n’est pas le cas, mais au moins, elle déguerpit. Dommage pas de petite blonde ce soir, mais je trouverais sûrement quelque chose à me mettre sous la dent en sortant de boite. « Tu m'excuseras de ne pas imiter cette péronnelle, hein ? Juste une petite signature, et je vous laisse vaguer à vos occupations. Ah, et au passage, Abraxas te remercie pour ce magnifique cadeau que tu lui as acheté hier. L'ocre lui allait toujours à ravir, encore plus lorsqu'il est incrusté de pierres azurines. C'était vraiment généreux de ta part ? » Rha mais elle parlait comme une vieille. Incapable de m’en empêcher, je roule des yeux, alors que mon regard franchement peu intéressé se pose sur un tas de factures. « Un je me fous de l’existence de ton sac à puces. Deux, si tu permets, je vais me doucher et trois la seule péronnelle que je vois ici, c’est toa ! » Sans oublier le côté bouffe fric. Sans lui accorder la moindre attention, je passe devant elle et rentre dans ma loge. Elle est censée être intelligente, elle trouvera le chemin pour s’asseoir. Il ne me faut que quelques secondes pour rentrer sous la douche. J’en ressors une demi-heure plus tard, propre, parfumé et au sec. « Bon alors… » Je m vautre dans le canapé, pose mes jambes sur la petite table qui se trouve devant moi et saisit les factures. « Hmmm. » C’était quoi ce délire : un collier en perles d’or pour son chien et pour terminer : Une statue de son chien en marbre.

Je pose la liste avant de reporter mon regard sur ma future femme, elle est très fière d’elle. « T’es une mendiante en fait ? » Oui, je préfère lui demander, parce que si je me souviens bien ont été pas encore mariés. Payer pour de telles conneries, elle m'a bien regardé ou quoi? Non je ne suis pas une vache à lait. Elle se prend pour qui ? Faudrait peut-être qu'elle s'étrangle avec le collier de son chien, au moins, comme ça je serais tranquille.

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