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 all eyes on me ☾ klaus

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Marzia Monaci
impérialiste du Lion

Marzia Monaci
all eyes on me ☾ klaus Tumblr_n16hj9JFox1qcdcqmo1_250
‹ MESSAGES : 132
‹ PSEUDO : songbird // chloé
‹ FACE & CREDITS : emily browning // - (av.)
‹ ÂGE DU PERSONNAGE : vingt-quatre ans
‹ STATUT CIVIL : fiancée, comme toutes les jeunes femmes de son rang - son promis est un Fuchs, Andreas.
‹ STATUT DU SANG : est-ce une vraie question ? aussi pur qu'il puisse l'être.
‹ OCCUPATION : organisatrice d'événements chez K&E
‹ ALLÉGEANCE : impérialiste du lion.
‹ LOCALISATION : bremen
‹ COMPÉTENCES : charisme (niv. 1) ; fraternité (niv. 1) ; persuasion (niv. 1)



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MessageSujet: all eyes on me ☾ klaus   all eyes on me ☾ klaus EmptyLun 29 Aoû - 3:32


klaus, marzia ◊ ”don't you know that misery loves company ? yeah i heard, the misery was looking for me, happiness is a face that don't look good on me.”

Elle aurait pu se lever plus tôt et partir de nuit, ou prévoir une heure précise pour son arrivée, mais rien de tout ça n'importait à Marzia. Moins son arrivée était prévue et mieux elle le vivait.
Elle avait fait déplacer le chauffeur au dernier moment, remplissant le coffre de bagages dont aucun être humain sensé n'aurait eu besoin – elle emportait un large choix de robes, chaussures et sacs assortis, ainsi que des bijoux et tout ce dont elle avait besoin pour se préparer à la perfection; dans le fond, une grande malle était pleine d'échantillons destinés à son métier. Elle ne partait pas sur un coup de tête, bien au contraire – elle savait que ce déplacement devait avoir lieu depuis plusieurs jours et était vivement attendue, mais elle ne voyait pas l'attrait qu'avait le fait de s'annoncer. Marzia voulait arriver presque à l'improviste, aussi parfaite qu'elle aimait toujours l'être, et se faire désirer. Surtout se faire désirer.
Un sourire aux lèvres, elle n'était partie qu'en milieu d'après-midi, quand on lui avait demandé de partir en début de matinée si c'était possible. Elle n'en faisait qu'à sa tête, comme d'habitude, et ignorait les attentes qu'on avait d'elles. Elle était bien au-dessus de ça.

Le voyage avait beau ne durer que deux heures, elle avait eu le temps de se plaindre une bonne centaine de fois. C'était une simple habitude, comme un réflexe – Marzia n'était après tout qu'une femme comme un autre sans ses plaintes incessantes. Elle se tenait dans une posture parfaite, les jambes croisées à l'arrière de la voiture, la fente de sa robe retombant gracieusement sur le cuir du siège. Sans autre communication qu'un enchaînement de soupirs las et de regards levés au ciel derrière sa paire de lunettes de soleil, elle changeait la musique qui investissait l'habitacle toutes les trente secondes – entre les trop lentes et les trop répétitives, elle ne trouvait jamais son bonheur. C'était peut-être aussi un moyen de passer le temps du voyage, tant elle s'ennuyait depuis qu'elle avait refermé la portière de la voiture. Le chauffeur lâcha le dernier soupir de la soirée une fois arrivé à Hambourg, débarrassé de la princesse en voyage.
Marzia n'avait pour une fois pas attendu qu'on lui ouvre la portière pour s'extirper du véhicule. Elle avait replacé sa robe et ses cheveux avec une minutie impressionnante, alors que son chauffeur débarrassait le coffre de tous ses bagages – puis, sans attendre qu'on vienne à sa rencontre, Marzia s'avança vers la demeure des Löwewald avec une assurance à toute épreuve. Elle enleva ses lunettes, les gardant repliées dans ses mains, avant d'ouvrir avec grand bruit la porte d'entrée du palais de Hambourg. Personne n'était encore là, mais elle entendait clairement des pas avancer en sa direction. L'on m'a dit que le bas-peuple avait besoin de mes services, ne me faites pas attendre. Elle pouvait écouter sa voix résonner dans le grand hall, jusqu'à ce que se dessinent les silhouettes de quelques domestiques venues à sa rencontre – Marzia ne s'encombra pas en salutations et attendit plutôt, sans même leur adresser un regard alors qu'ils partaient chercher ses bagages, que vienne celui qui avait fait appel à elle.
Une silhouette élancée, surmontée d'une chevelure d'un blond parfait, apparut enfin, et le visage de Marzia s'illumina d'un sourire. Quand je vois qui les Löwewald accueillent sous leur toit, j'imagine bien que ma venue fasse remonter le niveau de prestige de la région. Elle prit le temps de laisser Klaus s'avancer vers elle avant de reprendre la parole. Je déplore ton manque d'éducation, Klaus. N'es-tu pas sensé accueillir tes invités de marque, plutôt que de les laisser s'avancer par eux-même ? Il était clair que même si il avait un statut spécial au sein des Monaci, Marzia faisait une distinction claire entre lui et le reste de sa famille – il était un sang mêlé avant d'être l'un des leurs, et ce même si elle avait pas moment envie de le considérer comme un frère. Ignorant les mille et unes valises qui s'étendaient à présent derrière elle, elle ne pouvait cependant s'empêcher de sourire au blond. Sois bienheureux que j'ai accepté de me déplacer jusqu'ici pour t'aider – et ne me conforte pas dans l'idée que tu ne le mérites pas, veux-tu ? Marzia réduit la distance qui les séparait à deux pas tout au plus, ses talons claquant sur le sol parfaitement lavé. Par pitié, ne le prends pas contre toi, mais si tu oses remettre ces... choses-là (elle désigna ses habits du bout du doigt, grimaçant) devant moi, je ne réponds plus de rien.
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Klaus Badstuber
impérialiste du Lion

Klaus Badstuber
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‹ MESSAGES : 833
‹ PSEUDO : cranes for spidey (not so serious) - emma.
‹ FACE & CREDITS : toby regbo - gentle heart.
‹ MULTICOMPTES : chiyoko wolffhart, meilleure que vous.
‹ ÂGE DU PERSONNAGE : vingt-huit ans.
‹ STATUT CIVIL : marié, un anneau qu'il aimerait jeter dans les flammes.
‹ STATUT DU SANG : sang-mêlé, malédiction de sa lignée.
‹ OCCUPATION : homme de main de la femme de sa vie. mais pas de sa femme.
‹ SCOLARITÉ : il a suivi le cursus de la prestigieuse académie de Goldadler, même si bien sûr tout l'argent investi ne suffit pas à le débarrasser de ces maudites incantations.
‹ ALLÉGEANCE : loyal aux lowëlad mais avant tout aux monaci. son coeur lui n'obéira toujours qu'aux ordres de micaëla
‹ LOCALISATION : il alterne entre son appartement à Hambourg avec sa femme, sa chambre de fonction au palais des Löwewald et sa demeure familiale à Brême.
‹ INVENTAIRE : sa bite et son couteau. l'un de ces deux objets est long.
‹ COMPÉTENCES : abnégation (niv. 1) ; loyauté (niv. 1) ; impulsivité (niv. 1)



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MessageSujet: Re: all eyes on me ☾ klaus   all eyes on me ☾ klaus EmptyMer 31 Aoû - 2:23


marzia, klaus ◊ ”Primadonna girl, all I ever wanted was the world, I can't help that I need it all. You say that I'm kinda difficult, But it's always someone else's fault. I know I've got a big ego, I really don't know why it's such a big deal, though”

On ne t’a donné aucune tâche aujourd’hui, Micaëla t’a laissé tranquille. Personne à menacer, personne à tuer, et surtout, dieux merci, pas de fleurs à aller chercher. Alors tu erres au château. Tu t’es demandé si tu n’allais pas tirer les oreilles de quelques domestiques paresseux mais ce n’est pas ton boulot, tu as décidé de les laisser tranquille. Ici tu n’as aucun ami, tous te sont indifférents au mieux, hostiles au pire. Comme toujours tu es ici le lion noir. Tu pourrais rentrer chez toi, malheureusement tu es retenu dans cette demeure par un léger détail. Marzia est censée arriver aujourd’hui et c’est toi qui l’accueille. Bien sûr elle devrait déjà être là mais elle devait être là dans la matinée alors tu ne l’attends pas avant ce soir. Sauf que dans le doute tu ne peux pas partir. La tornade italienne est venue à ta demande, elle muerait en ouragan si tu arrivais plus tard qu’elle. Et si tu n’as pas peur de sa colère, elle te fatigue, d’autant qu’elle pourrait refuser de te rendre service. Quel service demanderez-vous ? Organiser l’anniversaire d’Avra. Ta femme et toi n’êtes peut-être pas les plus fusionnels, ni dans les meilleurs termes possibles cependant c’est ton devoir en tant que mari de te souvenir de l’anniversaire de ton épouse et de prévoir une fête pour ce jour-là. Règle numéro un de tout mariage. Alors tu erres un peu. Tes appartements ne t’intéressent pas, ils sont minuscules, ce sont des appartements de serviteur. Tu as opté pour les jardins une heure ou deux et après le déjeuner tu t’es installé dans un salon où la télé était allumée. Quel ennui. Tu devrais en profiter tu sais, la cousine de ta bien-aimée n’est pas de tout repos. Tu t’es perdu dans le documentaire que tu regardes. Tes yeux sont aussi vivants que ceux d’un mérou, c’est terrible.

Jusqu’à-ce qu’une servante fasse irruption dans la pièce, l’air paniquée.  « Marzia Monaci est là, dépêchez-vous ! » Ils te parlent avec bien moins de respect qu’aux purs, ce qui est un peu moins le cas dans le palais des Monaci où ils savent que tu es une pupille à traiter comme un membre de la famille. Tu ne t’en formalises pas. La question serait juste de savoir comment ils ont su que c’était toi que la demoiselle voulait. Leur a-t-elle dit ? En un bond vous êtes en train de courir jusqu’au hall. Votre rapidité est surhumaine, une minute n’a même pas dû s’écouler depuis que la brunette a poussé les portes. Par contre tu es un peu ébouriffé, ta crinière ne peut rester immobile lors de courses si effrénées. « Quand je vois qui les Löwewald accueillent sous leur toit, j'imagine bien que ma venue fasse remonter le niveau de prestige de la région.» Et immédiatement ça commence. Elle a débarqué en grande pompe, robe fashion, lunettes démesurées dans la main, un diable en Prada qui a sacrément rajeuni. C’est bien parce que tu as besoin d’elle que tu ne la fuis pas. « Si on se rappelle que j’ai vécu sous le même toit que toi pendant toute ta vie on peut se dire que les Monaci n’ont pas meilleur goût. » Elle s’avance lentement pour un effet dramatique.  « Je déplore ton manque d'éducation, Klaus. N'es-tu pas sensé accueillir tes invités de marque, plutôt que de les laisser s'avancer par eux-même ? » Là est bien la raison pour laquelle tu apprécies Marzia mais en reste distant. Si elle te traite souvent comme un membre de sa famille, elle aime de temps en temps te rappeler ton statut sanguin et te traiter comme un serveur. Enfin, elle essaie. « Je le fais quand ces invités ont l’éducation d’arriver à l’heure Marzia. » Ceci dit, par rapport au retard que tu avais prédit, elle est en avance, ce qui est relativement incroyable. Tu jettes un œil aux monceaux de valises qui sont derrière elle. Une ou deux doivent être pour le travail qui l’amène dans ces lieux mais tu sais parfaitement que toutes les autres manquent d’exploser à cause des vêtements qui les remplissent alors qu’elle ne doit rester que quelques jours. Tu réponds à son sourire par un autre. « Tu refuses toujours les sortilèges d’agrandissements pour l’effet que le monceau de valises te donne n’est-ce pas ? » Elle sait très bien qu’elle pourrait tout mettre dans une valise de la taille d’un sac à main, ce n’est pas de la magie complexe. Cependant elle n’a que faire de tes remarques, elle coupe ton énergie négative. « Sois bienheureux que j'ai accepté de me déplacer jusqu'ici pour t'aider – et ne me conforte pas dans l'idée que tu ne le mérites pas, veux-tu ? » Conciliant, tu te sais. La demoiselle se rapproche toujours, elle soigne vraiment ses entrées. « Par pitié, ne le prends pas contre toi, mais si tu oses remettre ces... choses-là devant moi, je ne réponds plus de rien.» Tu baisses les yeux vers le sol en retenant un fou rire. Contenant ton hilarité, tu te saisis de sa main pour déposer un baiser dessus. « Très chère… c’est toi qui me les avais achetées. » Elle se justifiera sans doute en disant qu’ils sont maintenant complètement passés de mode mais vous savez tous les deux qu’elle a été pris en flagrant délit de ridicule en essayant d’insulter tes goûts. Ton sourire s’élargit et tu ouvres les bras. « Allez, arrête tes manières et viens là. » Comme elle n’a pas non plus trop l’air d’humeur ‘‘je suis une déesse pure et Klaus est une saleté insignifiante’’ elle acceptera bien une embrassade. Elle a après tout grandi sous tes yeux. « Tu me rends un fier service en venant, c’est chic de ta part, tu vas faire quelque chose de génial je le sens ! » Il faut la brosser dans le sens du poil, c’est toujours comme ça que ça marche le mieux.
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Marzia Monaci
impérialiste du Lion

Marzia Monaci
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‹ ÂGE DU PERSONNAGE : vingt-quatre ans
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‹ STATUT DU SANG : est-ce une vraie question ? aussi pur qu'il puisse l'être.
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MessageSujet: Re: all eyes on me ☾ klaus   all eyes on me ☾ klaus EmptyMer 21 Sep - 1:31


klaus, marzia ◊ ”don't you know that misery loves company ? yeah i heard, the misery was looking for me, happiness is a face that don't look good on me.”

Si on se rappelle que j’ai vécu sous le même toit que toi pendant toute ta vie on peut se dire que les Monaci n’ont pas meilleur goût. Un sourire naquît sur le visage de porcelaine de la Monaci – elle avait une si haute estime de sa propre famille qu'elle avait toujours considéré que même s'ils accueillaient une vingtaine de mêlés à leurs côtés, leur prestige n'en serait pas amoindri. Elle les voyait en un sens comme les rois d'un monde entier, et la présence d'autres ne les embellissait que davantage; ils étaient plus brillants qu'ils ne l'avaient jamais été quand des impurs les entouraient. Assez injustement, elle considérait aussi que si d'autres familles étaient jointes par des mêlés, ça ne faisait que les rapprocher de ceux-là. Les Monaci étaient, en son esprit, une exception en tous points. La pensée que la présence de Klaus dans leurs rang ait alors pu, un jour, être une quelconque faute de mauvais goût ne lui avait jamais ne serait-ce que traversé l'esprit – il était différent d'eux, c'était certain, mais il avait malgré tout sa place parmi les italiens. Mais quand il était là, dans ce palais bien différent du leur, il ressortait un peu trop, un peu maladroitement; c'était peut-être la jalousie de devoir partager celui qu'elle considérait presque comme un frère se joindre à une autre famille que la sienne qui la prenait, mais elle l'y trouvait déplacé. Horriblement déplacé.
Je le fais quand ces invités ont l’éducation d’arriver à l’heure Marzia. Elle leva les yeux au ciel pour toute réponse – ils en avaient déjà parlé des centaines, si ce n'étaient des milliers, de fois. Tu refuses toujours les sortilèges d’agrandissements pour l’effet que le monceau de valises te donne n’est-ce pas ? Marzia se tourna vers la montagne de valises qui projetait de grandes ombres dans le hall du palais. La magie avait beau rendre la vie plus facile, elle en enlevait toute une partie artistique, dramatique, sensible à laquelle la Monaci tenait énormément. L'on avait jamais vu de reine empaqueter une garde robe entière dans un pauvre sac à main, eût-il été un Prada – et jusqu'à ce que ça arrive, elle ne prévoyait pas non plus de s'y mettre. C'était si... commun, bon dieu.
Son visage s'assombrit une demi-seconde à peine quand Klaus lui rappela que les habits qu'elle critiquait là avaient été l'un de ses cadeaux, un jour. Elle les examina de plus près, se souvenant effectivement avoir ramené cette tenue d'un voyage à Paris, comme elle lui en avait ramené des dizaines d'autres. Elle mettait un point d'honneur à ce que, si il était associé au nom des Monaci, Klaus porte au moins d'aussi beaux vêtements qu'eux – et comme elle pensait, à juste titre ou non, son goût bien meilleur que celui du mêlé, elle remplissait parfois sa garde robe. Elle l'avait aussi, à plusieurs reprises, vidée, faisant éclater une énième dispute au cœur du palais italien. Mais celle-ci datait au moins d'il y a deux ans, et dieu sait qu'elle n'avait plus rien de bon. Il devient urgent que je repasse faire un tour dans tes placards, Klaus, plus rien ne va avec ton style si tu portes encore ces vieilles guenilles mon pauvre ami.
Allez, arrête tes manières et viens là. Tu me rends un fier service en venant, c’est chic de ta part, tu vas faire quelque chose de génial je le sens ! Marzia sourit légèrement, gracieusement avant de venir s'échouer dans les bras de Klaus. Elle n'aurait jamais – jamais – pu lui dire non; quand bien même elle était de mauvais poil ou lui en voulait, il savait comment calmer cette tempête qu'elle devenait, et elle lui courait à nouveau dans les bras. Un vrai duo de chien et chat. Elle resta quelques instants contre lui, profitant de ces embrassades qu'elle n'avait que trop peu souvent maintenant. Marzia avait beau être qui elle était, elle aimait toujours autant les affections des siens, quelles qu'elles soient. Elle restait une gamine, sous ses airs de grande dame. Se détachant de lui pour faire mine de se recoiffer, Marzia haussa un sourcil. Bien sûr que je vais faire quelque chose de génial, allons. M'as-tu déjà vu échouer à quoi que ce soit ? Elle lui lança un regard, satisfait mais qui lui hurlait néanmoins d'aller dans son sens. Elle pouvait très bien rappeler son chauffeur et s'en aller – ou pire, rester sans rien faire pour l'aider et le voir galérer pendant des jours en ricanant.
Tu n'aurais pas quelque chose à m'offrir... un thé ou un café, peut-être ? Son regard dévia jusqu'aux bonnes, insistant, pour qu'elles se mettent en route et aillent préparer quelque chose – le voyage lui avait donné soif et ils avaient à parler. Tu en profiteras pour me parler un peu plus de la réception. Elle n'attendait même pas une réponse avant de se saisir d'une de ses valises – la plus légère, aussi la seule remplie de ses affaires de travail – et de s'avancer vers les jardins du palais.
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Klaus Badstuber
impérialiste du Lion

Klaus Badstuber
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‹ MESSAGES : 833
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‹ MULTICOMPTES : chiyoko wolffhart, meilleure que vous.
‹ ÂGE DU PERSONNAGE : vingt-huit ans.
‹ STATUT CIVIL : marié, un anneau qu'il aimerait jeter dans les flammes.
‹ STATUT DU SANG : sang-mêlé, malédiction de sa lignée.
‹ OCCUPATION : homme de main de la femme de sa vie. mais pas de sa femme.
‹ SCOLARITÉ : il a suivi le cursus de la prestigieuse académie de Goldadler, même si bien sûr tout l'argent investi ne suffit pas à le débarrasser de ces maudites incantations.
‹ ALLÉGEANCE : loyal aux lowëlad mais avant tout aux monaci. son coeur lui n'obéira toujours qu'aux ordres de micaëla
‹ LOCALISATION : il alterne entre son appartement à Hambourg avec sa femme, sa chambre de fonction au palais des Löwewald et sa demeure familiale à Brême.
‹ INVENTAIRE : sa bite et son couteau. l'un de ces deux objets est long.
‹ COMPÉTENCES : abnégation (niv. 1) ; loyauté (niv. 1) ; impulsivité (niv. 1)



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MessageSujet: Re: all eyes on me ☾ klaus   all eyes on me ☾ klaus EmptyMar 27 Sep - 4:59


marzia, klaus ◊ ”Primadonna girl, all I ever wanted was the world, I can't help that I need it all. You say that I'm kinda difficult, But it's always someone else's fault. I know I've got a big ego, I really don't know why it's such a big deal, though”

Ce n’est pas qu’elle est à prendre avec des pincettes la gamine, c’est juste qu’il faut y aller au hasard et qu’il y a une chance sur deux pour qu’elle explose. Elle en a tué beaucoup par shrapnel. Tu en as vu des garçons éconduits qui ont eu le malheur de dire la mauvaise chose le mauvais jour. C’en était un spectacle des fois, quand l’un des Monaci ou toi sentiez venir le feu de forêt, vous vous jetiez sur le téléphone le plus proche pour appeler les autres dans le manoir. C’est ainsi qu’un ou deux garçons ont été chassés de la demeure devant les faces hilares de six jeunes Monaci et un Badstuber. Une fois ou l’autre on a même vu un des adultes tendre l’oreille et l’œil avec un grand sourire. Tu as bien ramassé quelques éclats en ton temps mais ils ne t’ont pas laissé de marques. Contrairement à tous ces garçons malheureux tu sais parfaitement résister aux explosions. Tu n’es même plus ébranlé par les déflagrations. Ce n’est pas comme si tu l’avais matée mais tu ne la laisses pas faire. En espérant qu’aujourd’hui tu n’auras pas besoin de tes talents à lui résister. Il n’y a pas de raison, après tout elle est toujours heureuse d’organiser des évènements, elle en profitera pour te refaire ta garde-robe, et par-dessous tout elle jubile à l’idée qu’on lui demande de l’aide. Elle se sent supérieure ainsi. Et comme il se trouve que dans ce domaine elle t’es effectivement supérieure, de loin, il n’y a pas de honte à montrer patte blanche et lui prouver que oui, elle est géniale, oui, tu as besoin d’elle. « Il devient urgent que je repasse faire un tour dans tes placards, Klaus, plus rien ne va avec ton style si tu portes encore ces vieilles guenilles mon pauvre ami. » Cela tombe bien, ça te fera des nouveaux vêtements gratuits qui seront à la dernière mode. Bien sûr tu ne lui diras pas que tu as trié tes placards en prévision de sa venue. Tu as enlevé et cachés tout ce à quoi tu tiens et elle se fera un plaisir de jeter le reste avec une foule de remarques remplies de dédain et de ‘‘urgh, ça c’était tellement printemps 2014…’’ Tu t’amuseras bien à la regarder oui. Après un câlin elle sera plus disposée à arrêter de râler. Enfin tu l’espères. On peut toujours rêver je suppose. « Bien sûr que je vais faire quelque chose de génial, allons. M'as-tu déjà vu échouer à quoi que ce soit ? » Oui. Oui. A beaucoup de choses. Rarement à des choses dans la mode et l’évènementiel mais tout de même. Enfin, tu ne veux pas te retrouver tout seul à tout organiser alors mieux vaut abonder dans son sens. « Jamais jusqu’ici et je pense que c’est pas là que tu vas commencer Marzi. » Faut espérer, ce serait con. Enfin, je ne suis même pas sûre qu’Avra t’en voudrait. Après tout elle est suffisamment raisonnable pour admettre l’échec d’une fête d’anniversaire sans en faire une tragédie. Du moins elle a l’air. Tu n’as jamais été à aucun de ses anniversaires avant après tout. « Tu n'aurais pas quelque chose à m'offrir... un thé ou un café, peut-être ? » Ah, les exigences commencent. Celle-ci n’est pas trop extravagante ceci dit, elle est même tout à fait normale et elle t’a volé la proposition du bout de la langue. Tu rattrapes une servante qui sous le regard de l’italienne fuyait vers les cuisines et lui glisse discrètement à l’oreille un ‘‘Irish Coffee, deux.’’. « Tu en profiteras pour me parler un peu plus de la réception. » Elle se met en route vers les jardins, comme chez elle. Tu vérifies que derrière vous les serviteurs ont bien pris ses valises et sont en train de les emmener dans la chambre qu’elle occupera. Un sourire étire tes lèvres, tu te penches et lui prends délicatement – sait-on jamais ça pourrait être fragile – sa valise des mains. « Permets donc très chère. » Quand elle est de bonne humeur tu n’as aucun problème à la traiter comme une princesse, ça lui fait plaisir et à toi aussi. Dès qu’elle commence à faire la gueule par contre, elle se démerde, faut pas abuser. Il fait gris aujourd’hui et le vent est insidieux mais il ne pleut pas. Vous vous asseyez donc à l’extérieur autour d’une table de jardin. « Bon, je veux quelque chose de simple déjà, je pense que l’extravagance ce sera pas trop son truc. Inviter ma famille, sa famille, Mica et Marius – tu sens déjà le regard dubitatif que te jette la brunette, tu la sens te dire avec son haussement de sourcil qu’inviter ton ex à l’anniversaire de ta femme c’est pas la meilleure chose au monde – parce que, tu sais, elle est très amie avec Marius. Et quelques amis à elle en plus, des collègues de boulot je suppose. Et toi bien entendu. » Si tu ne la cites pas elle est bien capable de se relever immédiatement et de repartir à Brême. Ce n’est pas le résultat désiré. Une servante s’approche avec un plateau portant vos Irish Coffee fumants dans tes tasses de verre à la hanse en métal.
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