I'll be here to face the darkness of the nigh ◊ Caitriona

Caitriona Walgenwitz

You just wanna seek it silence

INFORMATIONS GÉNÉRALES

— Prénom(s): Caitriona. Le doux murmure du passé claque contre la langue, portant les traditions d'une famille en perdition, l'honneur ancestrale d'une grand mère maternelle somptueuse qui a brillé en compagnie des grands de ce monde. L’appellation te revient, pour qu'à ton tour tu attires les regards, pour qu'à ton tour tu puisses briller. — Nom: Walgenwitz. Imposture susurrer délicieusement parmi leur rétracteur. le patronyme tombe en déshonneur alors que leur fortune colossal s’effondre avec l'armée des loups. Ils ne sont plus que des ombres, marchant parmi les hommes silencieusement, ils ne sont plus que des fantômes, des noms oubliés... l'espoir d'une renaissance brûle en eux et gonfle leur cœur d'un espoir nouveau. Leur passé n'est qu'un mauvais souvenir, leur présent n'est que silence, mais leur futur ne demande qu'à s’embraser. — Age: Vingt six années soumises aux aléas de la vie. Bien trop de croyance se sont effondrées, bien trop de certitude se sont heurtées à des impasses. Des torrents de larmes bafouées, un cœur meurtri qui a trop perdu pour oser à nouveau aimé, des promesses qui ne pourront être tenues et la peur qui se distille dans tes veines. Vingt six années et la vision d'un monde consumé par la noirceur. — Date et lieu de naissance: Le premier hurlement est survenu à l'aube de l'équinoxe d'automne. L'esprit de la saison s'est emparée de l'enfant, plantant dans son cœur une mélancolie constante planquée sur ses traits. Une naissance parmi les siens, une coutume d'un autre temps qui trouve écho chez les Walgenwitz. — Etat du sang : écrire ici. — Statut civil : Fiançailles dans la complicités que l'on octroie à des amis alors que les larmes qui coulent le long de tes joues sont versées au nom d'un homme qui n'était pas le tient, mais que tu as aimé plus que tu ne saurais le décrire, un homme que tu as aimé au delà de ce que tu croyais possible. — Emploi: Cloîtrée dans l'obscurité, tu te fais doucement oublier. Tu as abandonné le courage qu'il te restait, à l'abri de tes quatre murs, à l'abri du monde, pour oublier l'inoubliable, pour oublier que tu as failli à ta tâche en laissant périr les deux petits êtres qui t'avaient été confiés. — Niveau de richesse : L'or est aujourd'hui synonyme de renonciation. Ta famille a perdu de sa sublime en injectant tout ce qu'elle avait dans une cause aujourd'hui perdue. Une chute, un déshonneur, traduite par un manque de revenu, par la descente de quelques marches sur le grand escalier de l'influence. — Dieu affilié : Reliée au Dieu mêlée par la nature de ton être et de ta magie, c'est pourtant l'honnie qui obtient toute ta contemplation. L'amoureuse perdue parce qu'elle a aimé la mauvaise personne, elle t'obsède, cette beauté inconnue, cette déesse perdue, elle t'attire irrésistiblement, tu te sens proche de cet être oublié des Dieux. — Lieu d'habitation : Düsseldorf. La demeure familiale est une vestige du temps où l'or coulait à flot, un reste de la grandeur et de la beauté des Walgenwitz. La somptueuse demeure, malgré la noirceur qui ronge sa famille. — Camp politique : Tu t’accroches à l'espoir que les choses changent, mais tes idéaux s’effritent, ils rencontrent des murs, se heurtent à des imprévus. Tu n'es pas certaine de vouloir payer le prix de se changement.Tu as appris à les connaître, dans le regard de l'un des leur, tu as appris à les aimer, dans le cœur de l'un d'entre eux.— Traits de caractère : Déterminée ◊ Passionnée ◊ Sensible ◊ Forte ◊ Mélancolique ◊ douce ◊ émotive ◊ impulsive.

1# Ta peau marquée par les flammes monstrueuses qui ont emportés cette vie que tu chérissais, une vie imparfaite, mais une vie qui en valait la peine. Les blessures physiques ne sont que la matérialisation de la détresse qui te ronge l'âme et qui consume ton cœur. Tes paupières renferment les images fantomatiques de cette nuit macabre. 2# La découpe budgétaire subie par ta famille t'a obligée à choisir entre ta propre éducation et celle de ta sœur cadette. Tu y as renoncé, pour voir dans ses yeux s'allumer la lueur curieuse de celle qui apprend, qui dévore la connaissance comme s'il s'agissait d'une gourmandise quelconque. La renonciation était un moindre coup pour la voir s'épanouir dans sa quête de savoir. 3# Elle s'aventure quelques fois dans e monde des humains, pour découvrir ce monde qui plaît tant à celui qu'elle devrait bientôt épousé. 4# Tu repousses inlassablement tes fiançailles, avec ton allié de fortune, ton ami de toujours. Tu prétend vouloir demeurer dans l'ombre, ne pas vouloir faire de vague, mais la vérité est tout autre. Tu n'es pas prête à partager ta vie avec un autre homme, à prêter serment alors que les cendre de ton plus grand amour sont encore brûlante. Tu n'es pas prête à t'engager, aussi superficiel soit cet engagement.

— Discretion : Depuis l'incendie auquel tu as survécu, tu n'es qu'une ombre qui emprunte des chemins obscurs, à peine vivante, tu es une morte marchant au côté des vivants. Nul ne te voit, nul ne te remarque, tu évolues dans l'anonymat de ceux que l'on ne reconnaît pas. — tenacité : La force de tes convictions portées sur un étendard. Ce sont elles qui t'ont emmenées au delà des limites du possible, au delà des limites de l'acceptable. Tu te bats pour ce que tu crois être bon. — Empathie : Tu apprends à les connaître dans les yeux des autres, tu changes de regards, ajustes tes opinions pour qu'elles se calquent à la réalité. Tu apprends de tes erreurs, en comprenant le cœur de ceux qui s'opposent à ton jugement.

— pseudo : VOYOU. — âge : Vingt six ans, j'suis la mamie de la bande. — pays : Des moules, des frites et de la bière, non de dieu. — disponibilité : Je suis là tout le temps, vous ne pouvez pas vous débarrasser de moi — personnage : inventé. — avatar : Alycia D-C. — crédits : Tumblr. — commentaires ou suggestions ? : JOLEMMONBEBE.

(c) light of the seven

errare humanum est

Les blessures qui ne se voient pas

Caitriona, j'ai peut-être trouvé quelques choses pour toi. Ton regard noisette se soulève vers la voix qui s'élève doucement vers la voix familière de l'un de tes meilleurs amis. Une impulsion de tes pieds contre le sol et tu te redresses pour lui faire face, interrogative et curieuse à la fois. Il s'enferme dans un mutisme taquin alors qu'il te tend le quotidien fraîchement arrivé. Il s'avance et tapote la première page de son index. Tes orbes analyses le cliché avant de se perdre dans les quelques mots alignés en guise de légende. Tu fronces les sourcils et redresses le regard vers lui. Je me suis laissé dire qu'il cherchait une nourrisse pour s'occuper de leur petite merveille. J'ai glissé ton nom à la gouvernante. Elle souhaite te rencontré cet après midi. Tu ouvres la bouche et la referme aussitôt, tes mains venant se planquer contre tes hanches. Tu ne comprenais que trop bien où il venait en venir, il était lui même entré au service des Freidrichs quelques semaines auparavant. A la différence que tu n'y connaissais rien au nourrisson et tu n'étais pas certaine d'être à la hauteur de la tâche. Je n'ai pas la moindre chance, je n'ai aucune référence à leur fournir. Sans que le nom des Walgenwitz était encore aujourd'hui associé à celui des Wolffhart. Autant dire que tu n'étais pas le genre de personne qu'une telle famille emploierais. Mais Mietek ne semblait pas emprunt aux mêmes inquiétudes que les tiennes, il arborait son éternel sourire, comme si le monde entier se ployait pour céder à ses moindres envies. Avec lui, l'impossible devenait possible. Ne t'inquiète pas, tu n'auras qu'à t'y présenter. Je me suis arrangé du reste. Tu te laissais gagner par son enthousiasme. Un sourire délicieux vint s'emparer de tes lèvres alors que tu venais déposer un baiser contre la joue du jeune homme. Vous étiez jeunes, emplit de certitudes et d'idéaux utopiques, vous étiez persuadé que le monde pouvait être changé et que tout espoir était permis. L'insouciance et l'inconscience à fleur de peau, tu te laissais envelopper par cette quête bien plus grande que vous.

Ses mains remontaient délicieusement le long de tes hanches pour venir étreindre ta taille. Ses lèvres venaient déposer leur emprunte indélébile contre ta nuque, marquant délicieusement ta peau de sa chaleur enivrante. Tes mains venaient se glisser contre les siennes, alors que tes doigts se glissaient entre les siens. Ils dorment? Une question à peine murmurée, perdue dans les baiser qu'il abandonnait aux creux de ton oreille. Tu avais tendance à oublier que cet idylle savoureuse n'était qu'une ombre et que les enfants que vous chérissiez l'un et l'autre n'étaient pas les vôtre. L'absence de cette femme ne faisait que te conforter dans les rêves illusoires. Vous aviez beau vous retrouvez dans l'ombre, ce que vous viviez semblait si réel, au delà de toutes les convenances imposées par ce monde. Tu en oubliais les raisons de ta présence ici, tu commençais à douter de tout ces beaux idéaux, constatant avec stupeur ce qu'ils étaient tous, ces gens que tu avais juger bien trop vite. Tu les découvrais dans son regard, tu les découvrais à travers l'amour qu'il leur vouait, leurs qualité et leurs défauts, leurs beautés sorcières au delà de la couleur du sang qui sillonne tes veines. Tu te tournaient pour lui faire face, pour plonger délicieusement ton regard dans le sien et t'y perdre durant les quelques heures qui vous seraient octroyés. Ce n'était pas grand chose, mais c'était tout ce que vous aviez, rien de plus que ces instants suspendu dans le temps, ces instants arrachés à vos vies respectives. Vous n'étiez pas censées vous rencontrez, vous n'étiez ni du même rang, ni du même monde, vous n'étiez pas censé vous aimer. Et pourtant toute cette réalité n'avait pas d'emprise sur vous, pas maintenant, il n'y avait que cette étreinte sublime, cet amour que vous éprouviez l'un pour l'autre, cet intimité que vous dissimuliez aux regards de tous. Ils dorment comme des anges. Et tes lèvres venaient chercher les siennes, s'extasier de cette proximité retrouver. Ton cœur s'emballait furieusement. Chaque étreinte semblait être la première avec la passion langoureuse qui insuffle une joie incommensurable et indescriptible à ton âme. Tu ne désirais pas plus que ça, bien trop consciente que cet amour là était unique et que si les circonstances n'étaient pas parfaite, ce qu'il te faisait ressentir comblait toutes les lacunes de votre relation.

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Les flammes lèchent ta peau, elles exécutent une danse langoureuse, elles forment un rideau de feu qui t'empêche de les rejoindre. Les cris te parviennent, ils résonnent et frappent douloureusement contre ton crane alors que ton cœur bat à l'intérieur de la poitrine, furieusement, douloureusement. La panique s'insinue sournoisement dans tes veines, paralysant ton corps, figeant tes muscles endoloris par la terreur qui te ronge. Et les cris résonne encore, ils se mêlent à la puanteur de la chaire humaine qui consume ces personnes si précieuses à ton corps. Tu ne peux les sauver, mais ne peux pas non plus les abandonner. Tu es prisonnière de ce choix. L'air disparaît, laissant place à une fumée noirâtre qui empoisonne tes poumons. Chaque respiration est plus douloureuse que la précédente, l'air qui s'infiltre dans ton corps te brûle, t’asphyxie. Tu chancelles, tu t'écroules, ta mâchoire se crispe, tu te brises en un sanglot déchirant alors que tes orbes essayent de percevoir leur présence à travers les dames de feu qui s'agitent sauvagement. Tu sens ton esprit se dissiper, s'envoler, te quitter. Juste à temps pour sentir une poigne féroce t'attirer au dehors. Des bras musclés qui s’agrippent à ton corps pour t'extraire de cette torpeur. Tu te débats. Tu ne sais pas comment tu trouves cette force de te battre contre l’inconnu qui t'arraches à eux. Et alors que l'on te sauve la vie, alors que l'on t'extrait au danger, tu sens ton cœur se briser, bien trop consciente qu'ils ne pourront en sortir vivant. Les cris se meurent, ils disparaissent pour ne laisser éclater que le crépitement des flammes qui dévorent ce qu'il reste de la demeure des ours. La détresse dégueule de ton corps, de ton âme, et cette étreinte continue à t'éloigner. Tu pleures sans aucune larmes ne s'écoulent, tu hurles sans qu'aucun son ne sorte de sa bouche, tu te débat, sans que la force ne te suffise. On ne peut pas rester Caity, ils sauront ce que tu as fais. Incompréhension de gagne alors que cette voix trop familière résonne tel un écho. Ce que tu as fais. Tu n'avais rien fais, non, tu ne voulais pas de tout cela, tu ne voulais pas leur faire de mal... Tu avais renoncer à cette folie... Mais on ne renonce pas aussi facilement à un tel engagement. Peu importe que tu ais fais marche arrière, tu portais la culpabilité de cette atrocité, tu portais le poids de leur mort. L'absence, le manque, le vide. Tu ne pouvais t'en prendre qu'à toi même. Tu te laissais emporté, désarticulée comme une vulgaire poupée de chiffon.

(c) light of the seven

TE VOILA ENFIN I'll be here to face the darkness of the nigh ◊ Caitriona 2550369054

I'll be here to face the darkness of the nigh ◊ Caitriona 1846214505

tu sais que t'es canon I'll be here to face the darkness of the nigh ◊ Caitriona 2545462741

et c'est quoi cette fiche vide là I'll be here to face the darkness of the nigh ◊ Caitriona 323515439

(re)bienvenue parmi nous, hâte que tu finisses ta fiche I'll be here to face the darkness of the nigh ◊ Caitriona 2936650635

I'll be here to face the darkness of the nigh ◊ Caitriona 1457182388

Invité Invité

Re-bienvenue avec la sublime Alycia et bon courage pour ta fiche! I'll be here to face the darkness of the nigh ◊ Caitriona 2878015944

Invité Invité

Anw une Walgenwitz. I'll be here to face the darkness of the nigh ◊ Caitriona 2835641614

+ Alycia, j'adhère.
Lyssa a été à deux doigts d'en être une. I'll be here to face the darkness of the nigh ◊ Caitriona 323515439

(Re)bienvenue sur LOTS. I'll be here to face the darkness of the nigh ◊ Caitriona 2878015944

t moche

I'll be here to face the darkness of the nigh ◊ Caitriona 976012597

rebienvenue chez toi I'll be here to face the darkness of the nigh ◊ Caitriona 2545462741

Invité Invité

Rebienvenue à toi ma belle, hâte d'en savoir plus I'll be here to face the darkness of the nigh ◊ Caitriona 1181266923

Invité Invité

Tu serais pas la soeur de mon scénario par hasard poussin ? Rolling Eyes

On parlera lien si c'est le cas I'll be here to face the darkness of the nigh ◊ Caitriona 2734730111

Je plussois Aerys : C'est quoi cette fiche vide ? I'll be here to face the darkness of the nigh ◊ Caitriona 323515439

Re-bienvenue à la maison I'll be here to face the darkness of the nigh ◊ Caitriona 2878015944

Invité Invité

J'aime l'avatar et le prénom !
Re-bienvenuuuuue

ENFIN !!
Je te souhaite pas bienvenue, tu connais la maison I'll be here to face the darkness of the nigh ◊ Caitriona 820850867

Invité Invité

OMG cette famille ! *O*
je pussoie tout tes choix ! I'll be here to face the darkness of the nigh ◊ Caitriona 1457182388

rebienvenue à toi et bonne chance
pour l'écriture de ta fiche de présentation ! :3

Invité Invité

T'es belle I'll be here to face the darkness of the nigh ◊ Caitriona 1916043063

I'll be here to face the darkness of the nigh ◊ Caitriona 3925041739

tu penses que si je trompe Mica pour freddie (trop compliqué ce nom I'll be here to face the darkness of the nigh ◊ Caitriona 4142883173

) elle serait d'accord I'll be here to face the darkness of the nigh ◊ Caitriona 2734730111

?

le vava et le prénom ça colle trop ensemble I'll be here to face the darkness of the nigh ◊ Caitriona 2545462741

re ouelcome parmi nous et bonne chance pour ta fichette I love you

t'es moche mais je t'aime I'll be here to face the darkness of the nigh ◊ Caitriona 2734730111

Invité Invité

Re-bienv'nue jolie meuf ! I'll be here to face the darkness of the nigh ◊ Caitriona 2936650635

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