— Prénom(s):Leonhard. Le lion se tenant fier et fort. La puissance d'une seule bête alimentée par son instinct animal et de survie. Imposant, captivant mais, tellement dangereux, pourtant ta famille n'est pas descendante du Lion mais, qu'importe, après tout ce n'est qu'un prénom. — Nom: Les guerriers, ceux dont l'armée ne peut être égalée en Allemagne. Les têtes pensantes mais, aussi les soldats. Ceux qui ne peuvent être attaqués et qui peuvent agir avec une certaine liberté. Ils ne sont pas idiots, leurs caprices sont souvent dissimulés. Feuerbach, alimenté par la flamme destructrice, ta famille n'a rien à envier aux autres, au contraire. Un honneur, une fierté, ta famille te colle à la peau comme encré au fer chaud. — Age: Voilà maintenant vingt-cinq ans que tu fais partie de la grande noblesse et que les traits de ton visage sont maintenant formés par les nombreux entraînements et les épreuves que tu as rencontré. — Date et lieu de naissance: C'est lors d'un été que tu as poussé tes premiers cris, un autre guerrier était né. Exactement comme ta grande-soeur, tu as pointé le bout de ton nez dans le même hôpital magique, lors d'un 24 juillet à l'hopital Günther Bartholomaeus. — Etat du sang : Un sang pur et parfait, une couleur pourpre qui en ferait pâlir de jalousie plus d'un, un sang dont toi, Leonhard, compte bien garder sans souillure. — Statut civil : Jeune marié à Freya Fuchs, qu'en dire de cette relation ? Ils apprennent à se connaître et ce n'est pas de tout repos pourtant devant les autres, ils enfilent leurs masques et se montrent fortement unis, comme en symbiose, se faisant passer pour le petit couple marié parfait..— Emploi: Il ne faut pas s'étonner de te voir orner les rangs des Lieutenants-généraux et cela au côté de certains membres de ta famille. Votre rage n'a pas d'égal et tous vos entraînements apportent leurs fruits : une place au chaud dans les rangs de l'armée. — Niveau de richesse : Alors que tu es né en apprenant à recevoir les coups et à les donner, tu as tout de même eu une cuillère d'argent dans la bouche, les Feuerbach n'ont pas à se plaindre sur ce point-là, leur richesse est toujours présente et cela pour un long moment. — Dieu affilié :La flamme, celle qui détruit tout sur son passage, qui ne laisse pas d'échappatoire, qui peut vous brûler à vif ou vous étouffer lentement de sa fumée épaisse. — Lieu d'habitation : écrire ici. — Camp politique :Impérialiste du Lion. Les Feuerbach et toi, vous avez choisi votre camp et rien ne pourra y faire. — Traits de caractère : Ambitieux ∞ Attentif ∞ Aventureux ∞ Bavard ∞ Charismatique ∞ Charmeur ∞ Confiant ∞ Courageux ∞ Cultivé ∞ Débrouillard ∞ Direct ∞ Entreprenant ∞ Observateur ∞ Rusé ∞ Stratège ∞ Sûr de soi ∞ Agressif ∞ Arrogant ∞ Autoritaire ∞ Bagarreur ∞ Blessant ∞ Bruyant ∞ Calculateur ∞ Dominateur ∞ Hautain ∞ Indomptable ∞ Joueur ∞ Manipulateur ∞ Mesquin ∞ Possessif ∞ Provocateur ∞ Rancunier ∞ Sarcastique
I. La famille est quelque chose d'important pour lui et même s'il a cette image forte qui plane au-dessus de sa tête, lorsqu'on pose le regard sur lui, quand il est en famille, c'est tout autre chose. Le lion se transforme en gazelle, il retourne en enfance et toute la connerie qu'il contient, se libère sans crier gare. Devenant tactile et prenant dans ses bras chaque personne de sa famille, il se montre être quelqu'un de jovial et dynamique, faisant de petites blagues à son entourage. Il a du mal à l'expliquer avec des mots mais l'amour qu'il porte à sa famille est l'un des plus pur et sincère qui soit, alors pour l'expliquer, il le fait avec des gestes et personne dans la famille Feuerbach n'est à l'abri d'être couvert d'embrassades, farces et baisers lorsqu'il est présent.
II. Cependant, cette partie de lui n'est réservé qu'à sa fratrie, effectivement, vous ne verrez jamais ce dernier se balader tout sourire en prenant dans les bras la première personne qu'il voit. Il a beaucoup de mal à se lier aux autres, généralement antipathique, si vous ne partagez pas le même sang que lui, vous n'étes pas digne de son regard sur vous ni de son intérêt.
III. Le Feuerbach est polyglotte et cela depuis son plus jeune âge, suivant en plus de ces entraînements, des cours particuliers de langues étrangères, il peut facilement parler le français, l'italien, l'espagnol, le tchèque et l'autrichien. Il est d'ailleurs actuellement en train d'apprendre le Danois, un nouveau dialecte qui l'a charmé dernièrement, pourtant ses langues favorites resteront le français et l'italien.
IV. Grand sportif comme chaque Feuerbach se doit, au court de sa vie, il a apprit à faire du Judo, Muay-thaï et de la Boxe. Il a cependant effleuré et découvert le Wing Chun mais, ne lui plaisant pas il a vite arrêté.
V. Même si il est maintenant engagé, il ne peut nier ses années de jeunesses où il fit tourner les coeurs de ces dames, le plaisir de la chair et des soirées se finissant n'importe comment sont encrés dans sa mémoire, il a eu de nombreuses conquêtes. Maintenant, lui même ne sait s'il restera fidèle à sa femme mais, pour le bien de sa famille il se doit de se tenir à carreau c'est pour cela qu'il s'est établie des barrières avec la gent féminine.
VI. Colérique, il ne se gêne pas à montrer les crocs lorsque quelque chose ne marche pas dans son sens mais, toujours avec ce sourire de vainqueur sur son visage, car il le sait, le sang qui coule dans ses veines n'appelle qu'à bouillir. Comme un feu naissant, le nourrir de cette soif de combat ne ferait qu'aggravé la situation, prenant une ampleur dont peu de gens voudraient faire face.
— Antipathie : Leonhard ne pense qu'à lui-même et à sa famille, les autres ne l'importe pas, comme des pions dans son jeu d’échec. Il utilise, il s'amuse, il passe son temps. Il fera toujours en sorte de toujours sortir vainqueur, qu'importe s'il y a des dommages collatéraux, la culpabilité, le regret ne le touche jamais et c'est bien l'une des choses dont il faut avoir peur. — Charisme : Charismatique, il dégage cette aura qui attire les regards et envoûte les gens, il aime être le centre d'attention lorsqu'il rentre dans une pièce. Il a ce petit truc, ce magnétisme qui inspire confiance et admiration de la part des autres. — Domination : Une belle gueule, du charisme et ajoutez à ça ce besoin de dominer les autres, vous obtenez une arme spéciale. Enfant il ne le savait que très bien, si il voulait se faire respectez, il se devait de s'endurcir et de montrer son statut, de s'affirmer et d'obliger son point de vue.
— pseudo : sierra/kitty — âge : 21 ans — pays : france. — disponibilité : 5/7 — personnage : inventé — avatar : ben dahlhaus — crédits : sierra/kitty — commentaires ou suggestions ? : cet accueil de folie putain vous êtes beaux et géniaux je ne peux pas demander plus .
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Dernière édition par Leonhard Feuerbach le Jeu 1 Sep - 11:57, édité 5 fois
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Sujet: Re: some birds are not meant to be caged - leonhard Mer 31 Aoû - 11:21
douce déchéance
le son macabre peut se faire entendre
“ Grown ups are complicated creatures
full of quirks and secrets. ” ∞
« Leonhard Feuerbach ! Les poils se trouvant sur ton échine commencent à s'iriser, tu peux déjà imaginer le pire. Tes petites mains encore frêles mais, habituées par les entraînements physique que tu as quotidiennement, commencent à transpirer. Grimaçant à l'idée de devoir rejoindre ta mère, tu sors de la pièce dans laquelle tu te trouvais. Traînant le pas, comme pour retarder le moment fatidique, tu savais très bien que tu allais devoir subir les grondements de ta mère. LEONHARD ! Tu surçautes mais pourtant, le pas lent que tu avais jusqu'à maintenant disparaît, te voilà maintenant en train de courir dans le couloir qu'importe si tu allais te faire gronder plus vite, tu éviterais d'être puni de manière plus sévère. Faire attendre ta mère était généralement une mauvaise idée et pourtant, ton esprit et caractère de gamin têtu espérait à chaque fois que ça marche. On pouvait facilement entendre tes pas rapides dans ce grand couloir, après tout, la demeure des Feuerbach était vaste, pourtant tu connaissais parfaitement chaque recoin, après tout, le contraire aurait été bizarre. Ta respiration saccadée, tu approches enfin de l'entrée du salon, tu te rattrapes à l'encadrement de la porte alors, que tu as failli trébucher. MAMAN J'AI FAIT QUOI EN- Tu n'avais pas stoppé ta vitesse et tu lançais ton corps en avant et pourtant qu'elle ne fût pas ta surprise lorsque tu fis coupé par une assiette de chantilly en pleine tête. Tombant en arrière, ton derrière tape en premier contre le sol, suivi du reste de ton corps. Un petit couinement sorti de ta bouche alors qu'en même temps tu peux entendre le rire sincère et spontané de ta mère, suivie quelque instant après, d'un éclat de rire de ta grande-soeur. MAG ! Tu passes ta main droite sur ton visage, essayant tant bien que mal d'enlever la chantilly, bien trop épaisse. MAMAN ! A chaque fois que tu ouvrais la bouche tu te retrouvais avec automatiquement avec un goût sucré, encore au sol, tu ronchonnes. C'EST PAS MARRANT, ARRÊTEZ DE RIGOLER ! Mais rien n'y faisais, elles étaient prises d'un fou rire qui te faisait bouillir. Enervé, tu arrives cependant à enlever ce qui te gênait le plus, tu pouvais enfin ouvrir les yeux. T'appuyant sur tes deux mains tu te redresses difficilement, encore un peu sonné de la chute, salissant au passage le sol de tes mains, tu leurs fais face. Tu pointes ton petit index vers ta mère. Comment as-tu pu t'allier avec ELLE ?! » Et pourtant de nouveaux rires éclatent dans la pièce, après tout, comment être sérieux quand un gamin qui fait des caprices et en plus de ça qui a son visage recouvert de chantilly ? Qui voulais-tu effrayer ou faire culpabiliser comme ça ? En tout cas tu avais échoué et ça, lamentablement. Humilié, tu adresses cependant un regard et un sourire vicieux à ta grande-soeur, cela voulait en dire long. Oui, elle aussi avait une surprise qui l'attendait et cette fois-ci, c'était toi qui allait bien rire. Te retournant finalement, tu tapes du pied et sort de la pièce. Sous peu, tu allais enttendre le cri de ta soeur, il fallait bien que tu trouves une nouvelle cachette dans la maison.
“ Peter had seen many tragedies,
but he had forgotten them all. ” ∞
« Tu baisses ta garde trop souvent, fait attention putain Leonhard. Tu te trouvais dans un des coins du ring, en face de ton coach. Quelques égratignures sont présentes sur ton visage transpirant, ton souffle saccadé, irrégulier même. T'étais encore jeune, 19 ans et pourtant tu étais déjà formé. Tu hoches la tête, le sérieux était de mise, c'était aujourd'hui que tu prouvais que ce nouveau sport qui venait s'ajouter aux autres pratiqués, était maîtrisé lui aussi. Pourtant, faire du Muay Thaï était bien plus difficile que tu avais pu croire, si tu devais comparer aux autres, il était l'un des plus éprouvant. Couche le une bonne fois pour toute bordel ! » Tu reçois une tape sur le crâne et la sonnerie retentit une nouvelle fois, annonçant le troisième round. Tu te retournes, prêt à gagner cette rencontre. Un pas sur le côté et un autre. Alors qu'il s'approche trop dangereusement de toi tu esquives un de ses coups, en profitant pour lui offrir en retour un direct du genou. Reprenant ta garde, tu avais déjà fait ton plan. Tu allais l'épuiser, mentalement et physiquement alors, tu affiches un sourire presque hautain, l'arrogance épuise les hommes c'est bien connu.
Le match était terminé, tu avais gagné et pourtant, ton visage était dans un très mauvais état. Tellement que tu commençais à avoir peur de garder à jamais ce visage-là : des bosses sur le front, l'arcade un peu ouverte, un futur oeil au bord noir et beaucoup d'autres défauts qui te faisaient atrocement mal. Ta belle gueule allait prendre du temps à s'en remettre et d'ailleurs, tu n'allais pas continuer ce sport même s'il était attirant, tu ne pouvais pas t'infliger ça. Tout ceci n'était qu'un passe-temps, une tradition familiale. Tu ne savais pas trop quel était le prochain sport que tu allais vouloir découvrir et apprendre. Sortant de la douche des vestiaires, tu peines à marcher, beaucoup trop épuisé du match. Pourtant, tu réussis à remettre ton short mais, tu finis vite par t'asseoir sur un des bancs, collant le derrière de ton crâne sur le mur froid. Tu ouvres cependant légèrement les yeux, analysant la pièce, cherchant des bandages, du désinfectant, des pansements mais, rien à porter de vue, tu soupires déjà à l'idée de devoir te lever une nouvelle fois. Refermant les yeux tu t'autorisais une petite pause pourtant tu fis vite coupé de ton repos par une voix féminine que tu reconnais sans avoir le besoin d'ouvrir les yeux. « Mon dieu, tu es encore moins beau à regarder que d'habitude. Pouffant tous les deux en même temps un rire, tu finis par te retenir de glousser, venant poser ta main droite sur l'une de tes côtes. Toujours aussi aimable. Dis-tu de manière douloureuse, ouvrant finalement tes yeux tu regardes ta soeur alors qu'elle s'approche de toi, tenant dans ses mains tous les produits que tu avais précédemment besoin. Ton coach m'a appelé pour me dire que t'étais dans un état lamentable et qu'il n'avait pas le temps de s'occuper de toi du coup, je me suis dit que ça serait le moment idéal pour venir me moquer de toi. Tu souris alors, qu'elle continue de s'approcher. Une excuse pour éviter de dire qu'elle devait s'inquiéter pour toi. Je tiens à préciser que j'ai quand même gagné donc ne te moques pas trop Mag. Elle hoche la tête, prenant place à côté de toi. Elle dépose le sac sur ses jambes et l'ouvre, sortant un par un tous ce dont elle avait besoin. Plusieurs compresses, de la lotion antiseptique, pansements et sparadrap. Elle applique la lotion sur une des compresses et te fais finalement face. Ton coach m'a aussi dit que tu lui avais donné mon numéro de téléphone au cas où tu avais un pépin, comment ça se fait ? Adorais-tu ta grande-soeur Leon ? Tu essaies de contenir un rire, essayant de canaliser ta douleur tu finis par soupirer. Je ne vais pas déran- AIE ! Lâches-tu alors, qu'elle appliqua la compresse sur ton arcade. Tu pourrais me prévenir au moins ! Fais-tu en souriant à moitié. Je pensais que tu étais un homme mais, en fait non, je m'étais trompée. Tu soupires une nouvelle fois, exaspéré par ta grande-soeur qui devait certainement prendre un plaisir fou à te tourmenter actuellement. Es-tu certain d'être un Feuerbach au moins ? » Finis-elle par dire tout en rigolant.
Vous partagiez un lien fort entre vous deux, vous aimiez vous taquiner et pour toi l'amour familiale qui t'unissais à ta grande-soeur était l'un des plus fort. Tu aimais le reste de ta famille mais, sans vraiment comprendre pourquoi, Magdalena avais acquis une place beaucoup plus importante.
“ Hey do you know the dark truth about Peter ?
He was killing the Lost Boys. ” ∞
« J'ai besoin de picoler. Fais-tu alors que tu entres discrètement dans la demeure familiale de ton meilleur ami. Il était tard et tu avais contacté ce dernier en urgence car justement, tu étais perdu, énervé. Mon dieu, qu'est-ce qui se passe encore ? Te réponds le jeune homme soupirant alors, qu'il te suit pendant que tu prends silencieusement la direction de son salon, tout le monde devait dormir et tant mieux d'ailleurs. Vous entrez tous les deux dans le salon, alors que, toi, tu bouilles dans un coin, il referme les portes derrière lui. Tu pars en direction des armoires, cherchant si l'une d'entre elle cachait de l'alcool. Tu peux m'expliquer avant de vouloir voler l'alcool de mes parents ? Fait-il alors qu'il part se poser dans le canapé. Curieux de savoir quel était ton problème, tu pouvais déjà l'entendre pensé que "comme d'habitude Leon, t'en fais toute une histoire pour rien, laisse passer, arrête de te chercher des problèmes pour rien." Le problème, c'est que là, ça n'allait pas passer, justement c'était fait pour durer. Tu finis par attraper une bouteille. Du bourbon ? Cela fera l'affaire. Tu vois, je sais déjà que tu penses que je suis venu ici pour rien mais, non, c'est pas le cas. Lâches-tu de manière énervé, te retournant finalement pour lui faire face. Aucune réponse de sa part, il ne niait pas tes dires. Mon père m'a annoncé que j'allais me marier. Un grognement sort de sa bouche alors qu'il vient claquer ses mains sur son visage. Lassé de la situation. Mais c'est normal de se marier, tu viens d'avoir vingt-trois ans, soit content que tu ais pu t'amuser autant de temps ! Tu attrapes la bouteille d'une main et vient le rejoindre sur le canapé, laissant échapper plusieurs "non" de tes lèvres. C'est normal je sais mais, tu me connais, je n'aime personne à part ma famille... Et toi aussi un peu. Rectifies-tu à la dernière seconde. Je connais même pas son prénom, ou je ne m'en souviens plus ! Je vais devoir faire des enfants, elle va envahir ma vie privée, je vais devoir rester fidèle, montrer une bonne image de moi, sourire comme un idiot et faire en sorte d'être agréable à vivre et tu le sais que ça, c'est impossible pour moi, je ne reçois pas d'ordre, c'est moi qui les donnes normalement ! Termines-tu d'une traite alors que tu reprends ton souffle. Ouvrant la bouteille de ton autre main tu viens t'intoxiquer la gorge de ce breuvage amer. Soit heureux de n'avoir que ça comme problème, tu aurais pu naître sang-mêlée ou voir même magicien et ton petit luxe tu ne l'aurais jamais eu. Puis c'est pour ta famille, t'es obligé, c'est tout. Tu soupires une nouvelle fois lui tendant la bouteille. Tout était mieux quand on était enfant, on n'avait aucun soucis, on vivait le jour le jour mon dieu que ça me manque. Il rigole tout en prenant la bouteille, sourire aux lèvres il te regarde du coin de l'oeil. Et faut dire que tu n'as jamais été tendre avec les autres même ado, un vrai serpent, toujours prêt à cracher ton venin sur le premier qui te regarde mal ou que tu n'apprécies pas. D'ailleurs, tu te souviens de l'autre gamin là, comme il s'appelait déjà... » Votre soirée improvisée dura de longues heures à ses remémorer vos exploits et déboires de jeunots et pourtant ça t'avais fait du bien, dans peu de temps tu allais te marier et finalement tu ne pouvais rien dire, simplement accepté, c'était ton destin, c'était pour ta famille.
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Dernière édition par Leonhard Feuerbach le Jeu 1 Sep - 22:56, édité 12 fois
‹ STATUT CIVIL : Marié à Aloisia Freidrich, devenue Rosenwald. Cependant le brun n'est pas fidèle. Une rumeur court d'ailleurs à ce sujet, mais elle reste à l'état de rumeur car personne n'a de preuves. En effet, Luis est assez persuasif pour éviter que les autres ne parlent.
‹ STATUT DU SANG : Pur, il serait inconscient d'en douter. Ses capacités magiques démontrent de son sang pourpre, qui coule dans ses veines.
‹ OCCUPATION : Prince héritier à plein temps, exerçant le métier d'avocat principalement parce que c'est amusant. Ambitieux, Luis est incapable de ne pas travailler. Même si il n'exerce plus autant qu'il le voudrait, il a aime retourner au bureau pour s'occuper de quelques richissimes sorciers capables de se payer ses services.
‹ SCOLARITÉ : Goldadler, bien sûr, dans le pavillion des purs. Très bon étudiant, il n'a jamais raté dans une seule branche.
‹ ALLÉGEANCE : A sa famille, à sa mère, à lui-même.
‹ LOCALISATION : Berlin.
‹ INVENTAIRE : Son téléphone portable (qu'il déteste), un portefeuille qui ne le quitte jamais et son alliance, bien sûr, qu'il ne retire jamais.
Sujet: Re: some birds are not meant to be caged - leonhard Mer 31 Aoû - 11:23
Bienvenue sur le forum ! J'adore ton avatar, j'ai trop l'impression de l'avoir déjà vu quelque part mais j'arrive pas à me rappeler où bref, si tu as la moindre question, n'hésite pas !
Klaus Badstuberimpérialiste du Lion
‹ MESSAGES : 833
‹ PSEUDO : cranes for spidey (not so serious) - emma.
‹ FACE & CREDITS : toby regbo - gentle heart.
‹ MULTICOMPTES : chiyoko wolffhart, meilleure que vous.
‹ ÂGE DU PERSONNAGE : vingt-huit ans.
‹ STATUT CIVIL : marié, un anneau qu'il aimerait jeter dans les flammes.
‹ STATUT DU SANG : sang-mêlé, malédiction de sa lignée.
‹ OCCUPATION : homme de main de la femme de sa vie. mais pas de sa femme.
‹ SCOLARITÉ : il a suivi le cursus de la prestigieuse académie de Goldadler, même si bien sûr tout l'argent investi ne suffit pas à le débarrasser de ces maudites incantations.
‹ ALLÉGEANCE : loyal aux lowëlad mais avant tout aux monaci. son coeur lui n'obéira toujours qu'aux ordres de micaëla
‹ LOCALISATION : il alterne entre son appartement à Hambourg avec sa femme, sa chambre de fonction au palais des Löwewald et sa demeure familiale à Brême.
‹ INVENTAIRE : sa bite et son couteau. l'un de ces deux objets est long.
Sujet: Re: some birds are not meant to be caged - leonhard Mer 31 Aoû - 13:25
que tu es beau toi mais de même que luis, ça me perturbe, j'arrive pas à me rappeler où j'ai déjà vu sa bouille en tout cas, la bienvenue par ici monsieur feuerbach, bonne rédaction
InvitéInvité
Sujet: Re: some birds are not meant to be caged - leonhard Mer 31 Aoû - 13:43
‹ STATUT CIVIL : Marié depuis trois ans et déjà père.
‹ STATUT DU SANG : Un sang pourpre coule dans ses veines, porteur aussi du fardeau de la consanguinité.
‹ OCCUPATION : Guérisseur à la tête du service diagnostic de l'hôpital magique Günther Bartholomaeus.
‹ SCOLARITÉ : de 2000 à 2008.
‹ ALLÉGEANCE : sa famille avant tout, à sa mère, puis son frère malgré leur distance.
‹ LOCALISATION : Berlin la belle, entre le palais où il réside et l'hôpital où il travaille.
‹ INVENTAIRE : Une pince à cravate toujours accrochée, en forme de rose, son portable toujours dans la poche en cas d'urgence, un carnet encorcelé pour prendre des notes pendant ses débriefing avec son équipe. Son alliance, son portefeuille en barda dans lequel une photo de sa fille a sa place
Sujet: Re: some birds are not meant to be caged - leonhard Mer 31 Aoû - 13:52
Bienvenue et bon courage pour ta fiche
InvitéInvité
Sujet: Re: some birds are not meant to be caged - leonhard Mer 31 Aoû - 16:54
Bienvenue et bon courage pour ta fiche!
Marius Löwewaldimpérialiste du Lion
‹ MESSAGES : 429
‹ PSEUDO : BARJAVEL
‹ FACE & CREDITS : sam claflin (faust)
‹ ÂGE DU PERSONNAGE : vingt-sept ans. des années qui s'écoulent, qui le forgent.
‹ STATUT CIVIL : mariée. une belle femme, celle que l'on voudrait, que l'on désirait. pourtant cela semble si compliqué pour lui.
‹ STATUT DU SANG : pur. une sang pourpre. digne d'un nom royal, il est de la haute société.
‹ OCCUPATION : avocat. une tempête de mots. des paroles qui défilent, une défense sans faille. comme sur un champ de bataille. ambitieux, la défaite n'est pas pour lui.
‹ SCOLARITÉ : diplômé de Goldadler. élève studieux. brillant et remarquable. comme un lion qui brille.
‹ ALLÉGEANCE : impérialiste du lion. avec sa famille. son père. lui.
‹ LOCALISATION : berlin, bel appartement où l'on se perd à cause du luxe.
‹ INVENTAIRE : une alliance au doigt qu'il ne peut retirer. un porte-feuille toujours sur lui. une chaîne autour du poignet offert par sa mère. et un téléphone.
Sujet: Re: some birds are not meant to be caged - leonhard Mer 31 Aoû - 17:16
MON PETITE FRÈÈÈÈRREEE ... Comme t'es beau (l'inceste c'est mal, mais je pourrais bien me laisser tenter ) Je suis trop contente, la famille va être complète, yeaahh
Bienvenue sur le forum et bon courage pour ta fiche ** N'hésite surtout pas si tu as des questions
InvitéInvité
Sujet: Re: some birds are not meant to be caged - leonhard Mer 31 Aoû - 18:22
j'ai l'impression qu'on vit une invasion de feuerbach sans originalité je plussoie les autres pour cet avatar intriguant bienvenue parmi nous
InvitéInvité
Sujet: Re: some birds are not meant to be caged - leonhard Mer 31 Aoû - 19:33
BIENVENUE SUR LOTS on veut en savoir plus
Aloisia Rosenwaldimpérialiste de la Rose
‹ MESSAGES : 468
‹ PSEUDO : flyingsquirrel. (maëlle)
‹ FACE & CREDITS : holland roden. (hepburns)
‹ MULTICOMPTES : andreas le plus beau.
‹ ÂGE DU PERSONNAGE : elle effleure les trois décennies du bout des doigts. vingt-huit ans, un âge vêtu d'une grande signification à ses yeux. une année qu'elle n'oubliera pas.
‹ STATUT CIVIL : l'alliance à son doigt la lie pour la vie à luis rosenwald. mariée depuis quatre ans au futur empereur, on ne peut pas dire qu'ils s'aiment d'un amour fou, mais forment un duo très soudé. cependant il n'est pas rare qu'aloisia ne se perde dans les draps d'un autre.
‹ STATUT DU SANG : son sang est pur et il ne pourrait pas en être autrement.
‹ OCCUPATION : aloisia est juge et ce depuis quelques années. c'est elle qui fait et défait des vies, qui décide qui est coupable et qui ne l'est pas.
‹ SCOLARITÉ : diplômée de goldadler depuis une dizaine d'années, aloisia était une étudiante qui excellait dans tous les domaines.
‹ ALLÉGEANCE : son allégeance va au rosenwald et de ce fait à l'impératrice. ça a toujours été une évidence pour aloisia, qui a été élevée avec les valeurs de l'empire.