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| i do not have a gentle heart. (rosaline) | |
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Auteur | Message |
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| Sujet: i do not have a gentle heart. (rosaline) Ven 19 Aoû - 20:00 | |
| Rosaline Dabrowski “All the world's a stage.” — Prénom(s): rosaline. Ce prénom je le dois à ma mère humaine, grande amatrice de théâtre. La Rosaline de Shakespeare, personnage aux premiers abords central et pourtant si effacée. Ma mère avait l'art de voir ceux cloîtrés dans l'ombre, dotée d'empathie, c'est certainement un des côtés de l'héritage qu'elle m'a laissé. — Nom: dabrowski. Je tiens ce nom de mon père, polonais, né dans la célèbre Varsovie. Je ne suis allée que peu de fois dans cette ville empreinte de mille couleurs. Si parmi les humains ce nom fait référence à un scientifique reconnu, dans mon monde il ne signifie rien. Absolument rien. — Age: vingt-six ans. La fleur de l'âge me quitte doucement alors que je ne sais toujours pas quelle est ma place dans ce monde, si ce n'est que survivre. — Date et lieu de naissance: dix huit juillet, journée banale d'un mois de juillet où rien ne se produisit qui vaille la peine d'être conté. Hamburg me vit naître, ville natale de ma mère. — Etat du sang : magicienne, tel est mon fardeau, forcée toute ma vie de me cacher sous l'identité de sang-mêlé. J'ai conscience dû cadeau empoisonné qui m'a été fait par les dieux lorsque ma mère fut touchée par cette étincelle magique. Je ne saurai dire si j'en suis reconnaissante pour autant, bénédiction ou malédiction, le fléau du destin a marqué ma vie à jamais. — Statut civil : célibataire. Je n'ai jamais vraiment eu le temps de me préoccuper de mon sort amoureux. Certes, enfant, j'ai rêvé du prince charmant et bien vite la vie m'a rattrapée. J'ai dû apprendre à survivre, il est dur d'aimer quand on ne peut faire confiance à personne. Une fois mon coeur à flancher, les doux moments ce sont vite transformés en amères souvenirs. — Emploi: interprète, au sein de la maison Monaci, depuis de nombreuses années maintenant. — Niveau de richesse : vie suffisamment aisée. Et même si ma mère nous a quitté, mon père gagnait encore suffisamment d'argent pour que nous puissions manger et voyager, sans compter l'argent versé à mon maître. Certains pouvaient rêver de beaucoup plus mais cela nous suffisait. — Dieu affilié : aucun. Certes appartenant maintenant à un monde bien éloigné de celui de mon enfance, je n'en oublie pas mes origines. Mes parents, en tant que scientifique m'ont transmis leur passion pour le savoir et le raisonnement. Je n'en adore pas moins les contes et légendes, la mythologie et l'histoire des dieux. Cependant, si l'on me demande, je répondrais le lion. Non pas qu'il me fascine, mais travaillant pour les Monaci, je dois adopter leurs idéaux. — Lieu d'habitation : un appartement en centre ville, non loin du lieu de vie des Monaci, où elle doit souvent se rendre pour travailler. — Camp politique : neutre. Je ne fais que survivre, en tant que magicien, je suis presque un paria dans cette société. J'écoute les conseils de mon maître à qui je dois ma situation aujourd'hui, sans lui je serai certainement dans un asile de fou pour humain, n'ayant pas su contrôler mes pouvoirs. J'ai donc une dette à acquitter et s'il prend position, alors je le ferai aussi. — Traits de caractère : solitaire – discrète - tenace – secrète – passionnée – fougueuse - indépendante – débrouillarde – intelligente - observatrice - curieuse. c’était toujours les jours pluvieux, ma mère venait me voir pour me conter les histoires des mythologies grecques, passionnées d’histoire, nous partagions ces moments autour d’un chocolat chaud et de bonbons crocodiles – mon père aimait lui aussi partager son savoir, et s’il ne pouvait pas m’amener dans son laboratoire, ce physicien organisait toujours des soirées à la belle étoile où il m’apprenait les constellations, ma préférée, ironie du sort, celle du Lion – j’ai parcouru le monde grâce au métier de mes parents, tous deux chercheurs et un jour, alors que nous étions en Chine, mon père accepta un poste pour enseigner à l’université de Naples, en Italie – je parle quatre langues couramment, mon père étant polonais et ma mère allemande, ayant vécu plusieurs années en Italie et bien sur, utilisant l’anglais pour voyager, cependant je n’ai que quelques bribes de chinois même que j’arrive à comprendre un discours basique, mes compétences sont très limitées – ma mère est décédée lors d’un séjour en Allemagne, dans un accident de voiture, ce jours là, je n’ai pas réussi à la sauver, mon don de guérisseur a pourtant failli me coûter la vie – j’ai vécu plusieurs années avec mon maître, ne voyant mon père que pendant les vacances, reconnaissante pour m’avoir sauver d’un destin certainement terrible, la moindre des choses que je puisse faire pour mon maître est de le soigner même si j’en souffre – à ses conseils, je suis devenue interprète au sein des Monaci, place de choix qui me permet de connaître des informations tant désirées par certains, pour l’instant je ne fais que me murer dans un silence certains, essayant de cacher au mieux ma véritable nature – presque tous les gens autour de moi pensent que je suis sang-mêlé – il était beau, nous étions jeunes et tout s’est arrêté, aussi brutalement que cela avait commencé – et lorsque ça ne va vraiment pas, je reprends mes vieux livres ou me réfugie dans une bibliothèque, aussi, souvent, j’aime boire une bonne bière, irlandaise, ou un whisky écossais. — ténacité : de la volonté il m'en faut, encore et toujours depuis le décès de ma mère. J'en ai eu besoin pour continuer à vivre, pour trouver une raison de me battre après mon échec, pour apprendre la magie et tous les jours encore, pour travailler avec eux. Plus encore, il m'en faut pour supporter le fardeau de ce don. — discrétion : ne pas se faire remarquer, être invisible, une goutte de pluie dans l'océan. J'excelle dans cette art des apparences. Mon maître m'a appris l'art de la discrétion, indispensable à ma condition de magicienne et surtout, à ma survie au sein de la maison des Monaci en tant qu'interprète. Cependant, dans ce monde de sang-pur où les apparences sont trompeuses, je ne fais rien d'autre que jouer à leur propre jeu en me faisant passer pour une sang-mêlé. — empathie : ma mère avait l'art de comprendre les autres mieux qu'elle ne se comprenait elle-même. C'est certainement d'elle que je tiens ce trait de caractère, elle disait toujours « Si la haine répond à la haine, comment la haine finira-t-elle? » et alors, elle m'expliquait l'importance de comprendre les autres en oubliant mes propres sentiments. Et c'est certainement ce sentiment qui m'a valu ce don, le pouvoir de guérir les autres au prix de mon propre sacrifice. | |
— pseudo : aucun, Amélie. — âge : 21 yo. — pays : France. — disponibilité : au moins trois soirs par semaine. — personnage : inventé. — avatar : a-b frisbey. — crédits : bazzart et tumblr. — commentaires ou suggestions ? : .
Dernière édition par Rosaline Dabrowski le Mar 23 Aoû - 19:48, édité 29 fois |
| | | | Sujet: Re: i do not have a gentle heart. (rosaline) Ven 19 Aoû - 20:00 | |
| when you play a game of thrones, you win or you die Si la Chine fut le premier pays où j’ai vécu, je n’en garde presque aucun souvenir. A l’âge de mes quatre ans, mes parents déménagèrent en Italie. Ils avaient jusque là connu une vie de vagabond ; mon père, polonais de naissance, était un physicien, ma mère, chercheuse spécialisée en histoire antique. Ils n’avaient pas choisi de donner des cours à la fac dans les premières années de leur vie, souhaitant se consacrer à la recherche. Puis un jour, désireux de m’offrir un semblant de stabilité, ma mère accepta un poste d’enseignante à l’université de Naples en Italie, mon père lui, trouva facilement un laboratoire où continuer ses recherches. C’est ainsi que je fus italienne et que j’appris cette langue chantante. Ma vie fut paisible jusqu’à mes neuf ans. A peu de choses près, tout était normal, mis à part les quelques phénomènes bizarres qui se produisaient toujours autour de moi, augmentant avec l’âge. Et plus je grandissais, plus les phénomènes s’amplifiaient, effrayant parfois mes parents qui pourtant n’en touchaient mots. Ce n’était pas un sujet tabou, cependant il semblait qu’instinctivement, toute la maisonnette avait conscience du danger de ma situation et se refusait à croire à l’impossible : la magie.
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Je détestais les hauteurs. J’adorais voyager. Mais les hauteurs, l’avion, ne pas pouvoir toucher le sol et surtout, ne rien contrôler, j’en avais horreur. Agée de tout juste dix ans, j’aurais préféré passer l’été au camping en Italie, mes amis étaient tous partis en colonie de vacances. Je me retrouvais dans l’avion, en direction de Hamburg, pour rendre visite à mes grands-parents, ceux qui connaissaient à peine mon existence. « Je te demande de faire un effort Rosaline, il est important que tu continues à les voir. N’oublie jamais que si on ne choisit pas sa famille, on ne la remplace pas non plus, malgré toutes les misères qu’elle peut nous faire subir. » Me dit ma mère en allemand, d’un air tenace. Je hochais la tête d’un air grognon. Mon père n’était pas présent, il n’avait jamais entretenu de bons rapports avec eux, je n’en savais pas plus. Trouver un taxi à l’aéroport ne fut pas compliqué. A vrai dire, je ne m’en souviens pas vraiment, j’étais très jeune. Par contre, je n’oublierai jamais cette lumière aveuglante, si blanche qu’on aurait dit un rêve. Je me souviens avoir joué avec les poignets du taxi, un vélo nous dépassa alors que le feu du carrefour était rouge. Il était rouge. Je vis le rouge, puis cette lumière aveuglante et le noir pendant plusieurs minutes. « La petite est réveillée ! Les secours ne devraient pas tarder… » Bla, bla, bla. Le brouhaha ambiant m’avait donné le tournis. Je vis le camion qui nous avait heurté du coin de l’œil. Etendu sur le sol, je tournais la tête sentant la présence rassurante de ma mère à mes côtés. Il ne me fallut que quelques secondes pour comprendre, mon cœur s’affola, des sanglots s’étouffèrent dans ma gorge, une puissante source d’énergie me traversa quand je réussis à attraper sa main. Puis ce fut le noir, à nouveau.
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« Tu dois sentir la magie au fond de toi Rosaline, ferme les yeux, concentre toi sur les éléments autour de toi et tu trouvera l’énergie nécessaire. » C’est avec application que j’essayais de reproduire encore et encore les mêmes gestes. Le jour de la mort de ma mère, mon maître s’était trouvé dans la rue, il était monté dans l’ambulance pour nous suivre jusqu’à l’hôpital. Ce fut le premier visage que je vis à mon réveil. Il prit soin de moi, m’observa, puis expliqua à mon père ce que j’étais réellement. Ainsi se scella le pacte, après de longues heures de discussions ; je vivrai avec mon maître et je partirai en vacances avec mon père. En échange, il ne demandait que peut d’argent et beaucoup de mon énergie de guérisseur pour apaiser ses brulures. Ni mon père, ni moi, n’avions conscience à l’époque qu’il venait de trouver un pion parfait : une jeune fille magicienne, doté du don la de la guérison et maitrisant suffisamment de langues pour prétendre se glisser dans la confiance d’une famille de sang-pur. Encore maintenant, Othmar Ackermann, ce maître au savoir immense et au cœur noir, maniait ses pions avec finesse, justesse et adresse. Les années passèrent ainsi. Othmar se montrait toujours plus dur, il voulait que mes mouvements se fassent toujours de manière plus précise, que mes sorts soient toujours plus étendus, que mes potions soient limpides et que la maîtrise de mes langues soient parfaites. Il essaya même d’élaborer un entrainement pour me rendre plus endurante de manière à ce que je supporte mieux les séquelles de l’utilisation du don lorsque je m’en servais. Ce fut un échec. A chaque fois, j’étais un peu plus affaiblie. Je me demandais quand arriverait le jour où cela me tuerait, certainement jamais, Othmar ne se laisserait pas soigner. Mais en cela, j’avais tord sans le savoir.
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J’étais faible. Méprisable. Ce don me rendait vulnérable, d’autant plus que je n’aurai pas pu être plus aveugle. Je n’avais pas pu sauver ma mère et je ne pouvais pas sauver mon maître, juste le soulager quitte à ne plus pouvoir me lever pendant deux jours. Trouver des excuses auprès de Monaci pour m’absenter deux jours tous les deux ou trois devenait de plus en plus compliqué. J’étais restée vingt-quatre heures sans pouvoir me lever après avoir soulagé Othmar. Lorsque je me servais de mon don, j’avais l’impression d’être envahie par une âme qui n’était pas la mienne. Comme si quelque chose de plus puissant que les sang-purs eux-mêmes s’installait dans mon corps, peut-être était-ce une forme de dieu, tout puissant lui aussi. Peut-être même le monde de la magie l’avait-il oublié parce que ce dieu ne servait que les magiciens. Je riais à ma propre bêtise, un tel être n’existe certainement pas. Et peu à peu, lorsque mes forces commençaient à s’épuiser, l’âme disparaissait pour laisser place à des fourmillements qui si je n’arrêtais pas le processus pouvait très vite se transformer en brulure intense. Et souvent, le noir complet, la perte de conscience, ce moment où je ne maitrisais plus rien et où n’importe qui pourrait bruler mon corps à vif si l’envie lui prenait. J’étais vulnérable. Si je le voulais, je pourrais arrêter tout ce cinéma dans l’heure, me rendre à l’hôpital, sauver une vie et me laisser mourir. J’étais certainement trop lâche pour le faire. A l’aube, j’avais trouvé la force de me trainer jusqu’au cimetière le temps de quelques minutes. Je déposais les fleurs sur la tombe de ma mère. « Pardonne-moi. » Murmurai-je. Etais-je un monstre ? Les soit disant dieux qui m’avaient fait ce cadeau, ne m’avaient-ils pas lancé une malédiction ? Jurais-je que si. Je soupirai et repartis en direction de la route principale, mon regard ne supporterait pas d’être posé une seconde de plus sur cette pierre abimée où était gravé le nom de ma mère. Je devais retrouver les ancêtres Monaci dans deux heures, ces vieux vautours prêts à tout pour récupérer une couronne d’or. Mon travail d’interprète occupait la plupart de mon temps, néanmoins j’étais mieux dans cette demeure que derrière l’ancien comptoir d’un bar miteux que je ne connais que trop bien pour y avoir passée un an. Depuis six ans déjà, ma vie avait radicalement changé. Et je savais que tout pouvait s’arrêter d’un instant à l’autre. En tant que magicienne je n’étais pas protégée, sans parler de cet excès de guérison qui coulait dans mes veines. Heureusement, Othmar m’aidait, il me demandait parfois de lui raconter mes journées ou de lui dire à quoi s’adonner les Monaci. En réalité, il ne souhaitait pas mon bonheur, pas plus qu’il avait voulu me protéger toutes ces années, ce sont des informations qu’il voulait. Et je les lui donnais parfois, sans même m’en rendre compte.
Dernière édition par Rosaline Dabrowski le Mar 23 Aoû - 19:44, édité 9 fois |
| | | | Sujet: Re: i do not have a gentle heart. (rosaline) Ven 19 Aoû - 20:27 | |
| Astrid ce bébé garde-moi un lien au chaud, je te laisse pas le choix bonne chance pour ta fiche |
| | | | Sujet: Re: i do not have a gentle heart. (rosaline) Ven 19 Aoû - 20:31 | |
| Oh, une magicienne... Salut copine de pouvoir. Hâte de voir ce que tu vas faire avec elle ! <3 Bienvenu à toi et bonne chance pour la finition de ta fiche ! (NOUS SOMMES LES MEILLEURS. LES PLUS PURS. ) |
| | | Liséa Rosenwaldimpérialiste de la Rose
‹ MESSAGES : 731
‹ PSEUDO : Littlewolf aka Hélène.
‹ FACE & CREDITS : Natalie Dormer. Avatar : Stolen Paradise & Signature : anaëlle.
‹ MULTICOMPTES : Seena, la fouine.
‹ ÂGE DU PERSONNAGE : 29 années qu'elle aime mettre en avant comme un bon vin dont on se délecte. Elle est pourtant accro à cette jeunesse qui la rend encore désirable.
‹ STATUT CIVIL : La bague au doigt, le pouvoir entre les mains. Mariée à Lukas par ambition, profitant de son statut et de son nom. Il est son meilleur ami, son confident et son amant mais l'amour n'y trouve pas son compte.
‹ STATUT DU SANG : Le carmin des rois, celui qui reste pur malgré les siècles qui passent. Elle est de ses bourgeoises qui crachent sur les mêlés, détestant leur existence depuis toujours.
‹ OCCUPATION : Femme politiquement engagée mais également directrice d'un cabaret. L'âme d'artiste qui s'évade à travers les corps, sa soif de pouvoir qui l'entraine dans les histoires d'adultes.
‹ COMPÉTENCES : manipulation (niv. 1) ; charisme (niv. 2) ; persuasion (niv. 1)
| Sujet: Re: i do not have a gentle heart. (rosaline) Ven 19 Aoû - 20:36 | |
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| | | | Sujet: Re: i do not have a gentle heart. (rosaline) Ven 19 Aoû - 20:58 | |
| omg, astrid. bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche. |
| | | | Sujet: Re: i do not have a gentle heart. (rosaline) Ven 19 Aoû - 21:04 | |
| une jolie magicienne bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche |
| | | | Sujet: Re: i do not have a gentle heart. (rosaline) Ven 19 Aoû - 21:33 | |
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| | | | Sujet: Re: i do not have a gentle heart. (rosaline) Ven 19 Aoû - 22:14 | |
| Une magicienne et ABF en avatar , je vais te harceler pour que tu devienne la meilleure amie de Saskia Bienvenue parmi nous |
| | | | Sujet: Re: i do not have a gentle heart. (rosaline) Ven 19 Aoû - 22:16 | |
| Astrid, excellent choix d'avatar! Bienvenue et bon courage pour ta fiche! |
| | | | | | | | Sujet: Re: i do not have a gentle heart. (rosaline) Sam 20 Aoû - 0:47 | |
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| | | Magdalena Feuerbachimpérialiste du Lion
‹ MESSAGES : 964
‹ PSEUDO : appletini
‹ FACE & CREDITS : margot robbie & SWEET DISASTER ; tumblr
‹ MULTICOMPTES : roskana dashkov
‹ ÂGE DU PERSONNAGE : vingt-sept années de vie qui se sont écoulées brusquement sans laisser de trace
‹ STATUT CIVIL : mariée, depuis peu, au deuxième fils de la branche majeure des Fuchs
‹ STATUT DU SANG : à n'en pas douter, son sang est aussi pur que le cristal
‹ SCOLARITÉ : ancienne membre du pavillon erde, diplomée de l'académie goldadler il y a déjà quelques années
‹ ALLÉGEANCE : impérialiste du lion.
‹ COMPÉTENCES : ténacité (niveau 2), fraternité (niveau 1), persuasion (niveau 1)
| Sujet: Re: i do not have a gentle heart. (rosaline) Sam 20 Aoû - 3:40 | |
| Cette beauté ** Bienvenue sur LOTS et bon courage pour ta fiche |
| | | Micaela Löwewaldimpérialiste du Lion
‹ MESSAGES : 476
‹ PSEUDO : VOYOU. Mais si vous préférez, vous pouvez m'appeler Elodie, ou tout simplement Elo.
‹ FACE & CREDITS : Avatar @Bacaclava| Signature @Solosand | Citation @Slimane-Adieu
‹ ÂGE DU PERSONNAGE : vingt six années que l'univers gravite autour de ce monstre d'égoïsme.
‹ STATUT CIVIL : mariée. Pour le meilleur, mais surtout pour le pire.
‹ STATUT DU SANG : Fleuve écarlate, aussi pur que royal.
‹ COMPÉTENCES : uc
| | | | | Sujet: Re: i do not have a gentle heart. (rosaline) Sam 20 Aoû - 10:50 | |
| Encore une magicienne Bienvenue et bon courage pour ta fiche |
| | | Lukas Rosenwaldimpérialiste de la Rose
‹ MESSAGES : 951
‹ PSEUDO : summer child, co.
‹ FACE & CREDITS : Dylan O'Brien, songbird (av) wood spoon (sign)
‹ ÂGE DU PERSONNAGE : vingt-cinq ans.
‹ STATUT CIVIL : Marié depuis trois ans et déjà père.
‹ STATUT DU SANG : Un sang pourpre coule dans ses veines, porteur aussi du fardeau de la consanguinité.
‹ OCCUPATION : Guérisseur à la tête du service diagnostic de l'hôpital magique Günther Bartholomaeus.
‹ SCOLARITÉ : de 2000 à 2008.
‹ ALLÉGEANCE : sa famille avant tout, à sa mère, puis son frère malgré leur distance.
‹ LOCALISATION : Berlin la belle, entre le palais où il réside et l'hôpital où il travaille.
‹ INVENTAIRE : Une pince à cravate toujours accrochée, en forme de rose, son portable toujours dans la poche en cas d'urgence, un carnet encorcelé pour prendre des notes pendant ses débriefing avec son équipe. Son alliance, son portefeuille en barda dans lequel une photo de sa fille a sa place
‹ COMPÉTENCES : empathie (1), fraternité (1) & impulsivité (2)
| Sujet: Re: i do not have a gentle heart. (rosaline) Sam 20 Aoû - 11:00 | |
| Ouh punaise j'adore ton ava Bienvenue, et bon courage |
| | | | Sujet: Re: i do not have a gentle heart. (rosaline) | |
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| | | | i do not have a gentle heart. (rosaline) | |
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