— Prénom(s): Idunn n'est que le reflet factice, ce qu'elle n'est pas, ce qu'elle n'a jamais été et ce qu'elle ne peut prétendre effleurer. L'image au cœur d'or, à la poésie avenante et galante, celle à la jeunesse qui frôle une éternité enviée. Elle n'est pas la déité nordique, les ressemblances brouillons et insaisissables d'une allégorie dont elle porte le nom. — Nom: Freidrich. L'emprunt, celui qu'elle a porté avec une outrecuidance dont elle a toujours su faire preuve jusqu'à la pénitence. Au jour d'aujourd'hui, ses épaules s'affaissent, son dos se courbe sous le poids d'un déchirement dont l'hypothèse d'une possible réalité ne l'a jamais frisé. Le panache, la présomption, l’impertinence qui ne sont devenus que niaises afflictions, sa stature se rompt sous le patronyme amoché. Rosenwald, l'originel, le premier, le natif. Il garde de sa prépotence, dans ses marbrures coule le grenat à l'influence incontestée, un attachement, une captivité à laquelle elle ne peut se rebeller. — Age: Quarante huit ans. Des festivités qui années après années, se répètent. La redondance, le las qui brutalement s'est installé. Comme si tous les achèvements n'ont eu pour but que d'émietter le semblant de sérénité, de lucidité à laquelle elle s'accroche de moins en moins. Folie qui l'entoure, folie qui régit chacun de ses mouvements. Bientôt la cinquantaine, et c'est l'insanité qui la fauche. — Date et lieu de naissance: écrire ici. — Etat du sang : Pur. — Statut civil : Veuve. — Emploi: Main de l'impératrice. — Niveau de richesse : écrire ici. — Dieu affilié : La Rose. — Lieu d'habitation : Château de Leipzig. — Camp politique : écrire ici.  — Traits de caractère : écrire ici.  

Vous devez ici rédiger quelques anecdotes sur votre personnages, qui pourraient aider à mieux le cerner. Ou alors, vous pouvez écrire un souvenir particulièrement impactant et qui a forgé le caractère de votre personnage. Vous avez le choix entre ces deux options et ne devez pas faire les deux.