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Micaela Löwewaldimpérialiste du Lion
‹ MESSAGES : 476
‹ PSEUDO : VOYOU. Mais si vous préférez, vous pouvez m'appeler Elodie, ou tout simplement Elo.
‹ FACE & CREDITS : Avatar @Bacaclava| Signature @Solosand | Citation @Slimane-Adieu
‹ ÂGE DU PERSONNAGE : vingt six années que l'univers gravite autour de ce monstre d'égoïsme.
‹ STATUT CIVIL : mariée. Pour le meilleur, mais surtout pour le pire.
‹ STATUT DU SANG : Fleuve écarlate, aussi pur que royal.
‹ COMPÉTENCES : uc
| Sujet: ◊ Fire meet gasoline Sam 13 Aoû - 18:10 | |
| Micaëla Lowëwald Are you insane like me? Been in pain like me? — Prénom(s): Micaëla. Le prénom claque délicieusement contre la langue avec une saveur méditerranéenne. La tempête et la chaleur de l'Italie marque ses traits de porcelaine, la peau de pêche à perdu de ses nuances de soleil. — Nom: Lowëwald. Un nouveau nom, un nom d'emprunt que tu portes telles une parrure, telle les chaines dorées qui encerclent ton annulaire droit. IL ne peut éteindre la Monaci qui est en toi et qui demeure, fidèle à ton nom, ton véritable nom. — Age: Vingt six grains de sable tombés dans le sablier du temps, symbolisant les vingt six années de sa vie déjà écoulée. Elle a la beauté de la jeunesse, cette fleur du mal au cœur assombri par l'ambition de retrouver le pouvoir conféré à sa famille il n'y a pas encore si longtemps. Elle a vécu des blessures, mais elle en a aussi infligé bien plus que son âge n'aurait dû lui permettre, bien plus que ce que les apparences n'y paraissent. — Date et lieu de naissance: Le 30 juin 1990 dans la demeure familiale, bien trop loin de ton Italie chérie. Tu es née sous le signe du cancer, un présage pour le poison qui sillonne tes veines, trahissant la noirceur de ton âme au delà du masque d’amabilité qui ne quitte pas ton faciès. — Etat du sang : Le sang pourpre et écarlate, odyssée de la pureté tant adoré, empreinte d'une essence magique divine, des miette de puissance qui se distille dans tes veines. — Statut civil : Alliance nuptiale qui te lie à cet homme que tu n'aimes pas, mais que tu voudrais apprendre à aimer. Tu lui à juré fidélité, mettant un terme à tout écartement de cuisse. Tu respect cet homme là, tu sais ce qu'il est, ce que vous aller entreprendre ensemble. — Emploi: Femme d’apparence, à la tête de ce que tu maîtrises le mieux, tu diriges une entreprise d’événementielle. Les grand nom se tourne vers toi lorsqu'il s'agit de faire la fête et de mettre les petits plats dans les grands, il n'y a rien de mieux qu'une descendante Monaci. — Niveau de richesse : Tu nages dans l'opulence, unie pour le meilleur et pour le pir à la première puissance économique de l'empire. — Dieu affilié :Le lion dont le cœur a été brisé, comme le tient, tu te sens proche de ce dieu fougueux et vengeur. — Lieu d'habitation : Le manoir Lowëwalde, au côté de ton époux, loin du manoir dans lequel tu as grandis. — Camp politique : Crinière et rugissement, Impérialiste du Lion, dans l'ombre de ton mari, pour l'empire allemand, mais surtout pour la couronne italienne. — Traits de caractère : Manipulatrice,; souriante; cruelle; violente; impulsive; perverse; ambitieuse; déterminée; fidèle; opportuniste; sensible; avenante; chaleureuse; théâtrale. Vous devez ici rédiger quelques anecdotes sur votre personnages, qui pourraient aider à mieux le cerner. Ou alors, vous pouvez écrire un souvenir particulièrement impactant et qui a forgé le caractère de votre personnage. Vous avez le choix entre ces deux options et ne devez pas faire les deux. — Charisme : explications sur la compétence, par rapport à votre personnage, à écrire ici. — tenacité : explications sur la compétence, par rapport à votre personnage, à écrire ici. — impulsivité : explications sur la compétence, par rapport à votre personnage, à écrire ici. | |
— pseudo : Voyou. — âge : vingt six ans, comme mon nouveau bébé . — pays : Belgitude, jusqu'au bout de la mèche. — disponibilité : Sept jours sur sept, ordinateur et portable greffés à mon corps. — personnage : inventé. — avatar : Adélaïde Kane. — crédits : tiré de la série Reign, mais le copyrigh m'est inconnu. — commentaires ou suggestions ? : Welcome in my world.
Dernière édition par Micaëla Lowëwald le Mar 16 Aoû - 14:56, édité 7 fois |
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| Sujet: Re: ◊ Fire meet gasoline Sam 13 Aoû - 18:11 | |
| Acte 1 Violence→ Le monstre de haine te dévore les entrailles. La colère fait bouillir le sang dans tes veines, offrant des colorations rosées à tes joues de porcelaine. Ton cœur bat furieusement à intérieure de ta poitrine, il cogne douloureusement, menaçant de détruire la prison que représente ta cage thoracique. Tes tempes palpites, tintamarre horrible qui te file la migraine. Loin des regards curieux, moins du monde extérieur, le masque tombe pour libérer la créature façonné par la violence. La main s'abat avec une force insoupçonnée sur la joue du souffre douleur. Un corps que tu peux passé martyrisé pour tout ceux qui se ont opposés à toi et ton contrarié, un corps, un vulgaire corps sans importance, dont l'essence magique n'est que déchet. Tu ne connais pas son nom, malgré les année de service, tu t'en fiches, il est cet personne physique sur lequel tu peux allègrement décharger ta frustration. Un sourire carnassier s'empare de tes lèvres alors que tu assènes un deuxième coup. La violence du geste lui fait courber l'échine alors qu'une goutte carmine vient perler contre ses lèvres. Tu t'abaisses, accroupi sur cette carcasse qui n'est rien de plus qu'un corps meurtri par les sévisses que tu lui fais subir chaque jour. Tu te demandes parfois pourquoi il demeure à tes côtés, pourquoi il subit cette souffrance, pourquoi il t'accorde cette confiance aveugle alors que tu n'es pour lui qu'un bourreau. Mais pas là, pas maintenant, la conscience s'est envolée, pour laisser place à de la brutalité à l'état pur. Tes doigts viennent se saisir de sa gorge, d'abord aussi tendrement qu'une caresse, l'étreinte se fait plus agressive alors que l'air vient à lui manquer. La fureur déforme tes traits. Le masque et tombé. Mais même dans cette férocité, tu soignes tes mises en scène. Il est à la limite de la conscience, et t'aimes ça, sentir la vie s'infiltrer au delà de son corps. Jusqu'à ce qu'il ne vienne étreindre tes doigts pour te faire lâché prise. Tu le relâche sans ménagement, lui éclatant la tête contre le sol pour répandre encore plus de sang. Tu te redresses avec lenteur, redevenant celle que tu étais avant cette frénésie sanguinaire ne souille ton âme. C'est une part obscure de ton être, que tu dissimule avec aisance. Seul ceux qui sont atteint par ce même attrait pour la violence peuvent reconnaître cette lueur volcanique qui danse dans la profondeur des tes prunelles sombres. Tu inspires profondément, laissant l'air emplir tes poumons pour retrouver une respiration régulière. Tu rejettes ta chevelure sombre en ailleurs, contemplant ton oeuvre. Il est ton souffre douleur. Ton échappatoire. Ton exutoire. Il est une pièce maîtresse das ton existence. Il n'est rien et pourtant, sans lui tu ne pourrais continuer. Et tu l'aimes, ce corps meurtri et blessé, tu l'aimes d'une façon que nul ne pourrait comprendre. Je t'aime. Murmure à peine audible. Des mots interdit qui ne devraient pas sortir de sa bouche. Mais ils sont délicieux et plaisant. Amour→ Un instant de vie suspendu dans le temps, déconnecté de la réalité. Tu savourais chacun d'entre eux, des petite parcelle de vie, quelques grains de sables, c'était tout ce que vous aviez, mais c'était aussi tout ce qu'il vous fallait. Des moment volée, à la dérobée, loin des yeux curieux, loin de ce monde qui ne voulait pas de votre union. Tu venais écraser tes lèvres contres les siennes, savourant l'étreinte de ses bras, te délectant de la chaleur de sa peau voluptueuse, t'enivrant de la fragrance de son parfum. Tu avais écarté les cuisses plus de fois que tu ne saurais le dire, mais tu n'avais ouvert ton cœur qu'à cet homme là. Tu l'aimais d'un amour qui ne pouvais se décrire d'une quelconque façon que ce soit. Il était une évidence qui résonnait dans ton cœur. Tu t'accrochais à lui, reniant les évidences qui auraient dû vous séparer l'un de l'autre. Il était tout à la fois, l'étoile de tes jours, le soleil de tes nous, tout. Tu revivais à chaque fois que son rire éclatait délicieusement dans la pièce. L'ombre et les mensonges étaient vôtre alliées, vos protectrices. Il était partout où tu étais. Une ombre qui cédait à tout tes caprices, une arme armée qui s’abattait quand tu le demandais. Il était ton amant et ton homme de confiance. Il était tout. Éternellement à tes côtés. Il n'aurait jamais dû y avoir de fin. Tu m'as manqué. Tu venais à nouveau chérir ses lèvres, emprisonnant son visage entre tes mains pour le reconquérir. Je ne t'ai pas quitté. Un sourire malicieux venait fendre tes lèvres alors que tu te perdais dans ses bras. Et chaque seconde à te regarder sans te toucher était une torture. Brisure→ Tu t'extraits de l'étreinte dans lequel il tente de t'enfermer. Tu te crispes, tous les muscles de ton corps sont tendus. le moindre contactes t'es insupportable. Tu te recroqueville sur ton lit, encerclant tes jambes de tes bras pour les serrer contre ton ventre, comme pour combler le vide, l'absence. Tu te sens ridicule 'être autant accablé par la perte d'un être que tu ne connaissais pas encore... Il était pourtant une part de vous, un petit bout de vie, une matérialisation de votre amour... Mais aussi une matérialisation de la défiance de votre union. Il ne pouvait existé. Et c'est ce qui te brise. Il était une idée alléchante et divine, mais un rêve impossible, un interdit ue tu ne pouvais braver... pas cette fois. Tu pouvais te perdre dans ses bras, mais tu e pouvais lui donner d'enfant, pas même alors que c'est tout ce que tu voulais, que vie avec lui, une vie avec des petits êtres qui seraient l'union de vos deux êtres. Le sanglot s'empare de ton corps, t'arraches un frisson horrible alors que les larmes coulent sans que tu ne parviennes à les retenir. Il t'attire une nouvelle fois contre son corps, ravalant sa propre détresse pour s'occuper de la tienne. Et si tu tentes de te défaire à nouveau de lui, il t'impose cette proximité, t'enveloppant d'une étreinte protectrice, tentant ainsi de construire une barrière entre toi et ce monde bien trop cruel que pour comprendre l'amour qui vous lie l'un à l'autre. Shht. je suis là. Il te berce, doucement, délicieusement. Il porte le poids de la détresse, mais il n'en montre rien, bien trop conscient que ta douleur ne saurait supporter la sienne. Il te berce, attendri cette foutue souffrance qui te paralyse. Au delà de lui, personne ne saura jamais ce que tu as perdu. Cette nuit là, il est resté auprès de toi, au péril d'être découvert. Il est resté sourd face à tes supplications, refusant de t'abandonner dans l'instant qui devait être le pire de toute ton existence. Vous deviez porté le poids de cette culpabilité, le monde dans lequel vous viviez n'était pas près pour qu'une telle atrocité blasphématoire puisse voir le jour. L'amour avait payé le prix d'une vie. Enfermé dans un mutisme désespéré, sa simple présence pansait cette plaie béante et putride infligé à ton cœur. Blottie dans ses bras, tu t'autorisais à déverser des torrent de larmes, tu t'exposais à une sensibilité que tu n'avais jamais laissé transparaître, tu te risquais à cet instant de faiblesse.
- Spoiler:
Débauche→ ucey.
Dernière édition par Micaëla Lowëwald le Mar 16 Aoû - 15:07, édité 14 fois |
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| Sujet: Re: ◊ Fire meet gasoline Dim 14 Aoû - 10:56 | |
| Acte 2 Ambition→ La colère te ronge les sang, elle s'insinue dans ton être, dévastant tut sur son passage. Ton aîné est sur tes talons il regrette déjà de ne pas avoir su tenir sa langue et de te l'avoir balancé à la tronche aussi platement. Tu pousses les portes au boiserie extravagance, tu les laisses claquer furieusement, ajoutant l'effet théâtrale de ton entrée. Un Lowëwald? C'est tout ce que vous avez trouvé, alors que mon frère peut prétendre au trône italien? Tu te plantes devant l'imposante silhouette patriarcale, les mains planquées contre tes hanches, ton regard d'un marron glacé s'abaisse sur l'endroit où devrait se trouver le regard de ton père, absorbée par la lecture des dernières nouvelles. Un soupire s'extirpe finalement de ses lèvres lorsqu'il repose le journal contre ses genoux pour porter toute son attention sur lui, l’hérité, l’usurpateur. La désapprobation qui se faufile sur les trait de ton daron fait ronronner délicieusement le monstre qui grogne férocement à l'intérieur de tes entrailles. Ton frère baisse le regard, il se dérobe, incapable de lui tenir tête. Pas comme toi. Et finalement les orbes sévère viennent se planté dans les tiennes. Vous avez été façonné dans le même moule, forgé dans un feu ardent et indomptable. Je t'offre l'empire allemand. Un cadeau empoisonné. Il ne s'attend tout de même pas à ce que tu le remercies pour cette couronne factice. Tu secoues le menton à la négative, alors qu'un rire jaune, tinté d'amertume, s'extirpe de tes lèvres. Je ne veux pas de l'Allemagne. Je ne suis pas allemande. Il se lève pour te faire face, essayant de te faire courber l'échine face à lui. Il t'impose sa carrure, mais tes prunelles restent fermement accrochée au sienne. Tu seras ce que je te dirais que tu es. Tu seras SA femme pour que nous puissions récupéré NOTRE trône. Ta mâchoire se crispe, essayant de retenir des mots que tu pourrais bien regretter par la suite. Tu n'es qu'un vulgaire pion, déplacée stratégiquement pour que ta famille toute entière puisse retrouver la place qu'elle mérite. Tu es un sacrifice. Un sacrifice indispensable. Tu ne le sais que trop bien. Tu t'écrases, luttant contre cette violence qui te submerge et te hurle d'arracher la vie de ton frère pour reprendre la place qui devrait être la tienne.Ton père te saisi le menton, une poigne tendre et ferme à la fois. Et si tu ne l'aimes pas, tu feras tout pour que lui, il t'aime, te désire et te chérisse au point qu'il ne regardera plus aucune autre femme. Tu le possédera. Tu ne le connaissais pas encore, mais tu savais déjà que cet homme là, deviendrait le seul et l'unique, éclipserait les autres, même si tu ne l'aimais pas. Il éclipserait Klaus. Vide→ Ton cœur souffrait comme jamais il n'avait souffert auparavant. Tu étais l'instigatrice de cette douleur fulgurant qui t'étreignait la poitrine, comme si l'on y avait enfoncé sa main pour extraire ton cœur de ta cage thoracique. Il ne restait plus qu'un trou béant, un vide, une absence qui ne pourrait jamais être comblée. Tu avais du mal à respirer. chaque inspiration était bien plus douloureuse que la précédente. Et pour la première fois de ta vie, tu avais détourner le regard, pour fuir celui que tu quittais. Tu étais incapable de le confronter, craignant de te perdre dans l'azure de tes yeux, craignant de t'abandonner et de ne plus parvenir à le quitter. Tes orbes s'embrument, elles se remplissent des ces foutues larmes que tu refuses de laisser couler, orgueilleux petit cœur brisé, méprisable, tu craches sur l'amour de ta vie pour servir un dessein bien plus grand. Tu n'es que l'ombre de celle qu'il a aimé. Il se saisit de tes épaules sans ménagement. Tu sens la colère vibrer dans la poigne qui t'enserre. Tu savais que ça arriverait, tu savais que ça ne pouvait être éternelle, tu savais que c'était perdu avant même de commencer. Les mots crèvent dans le fond de ta gorge, à peine audible. Il y a dans ses mots autant de vérités qu'il n'y a de mensonges. Vous saviez, mais cela ne vous a pas empêcher de défier toute les limites que vous vous étiez fixés en tombant amoureux l'un de l'autre. Tu l'avais illusionnés, tu lui avais laissés entendre qu'il ferrait toujours partie de ta vie, parce qu'égoïstement, tu voulais le garder le plus longtemps possible avant d'avoir à renoncer à lui. T'es sérieuse? Tu crois réellement à toutes les conneries que tu me sors? Tu crois qu'il arrivera à t'aimer comme moi je t'aime? Tu crois que TU arriveras à l'aimer comme tu m'aimes?Ses mots résonnent douloureusement. Tu fous la vérité en l'air en te dégageant brusquement de son étreinte. Il ne renoncera pas, pas comme ça, pas tant qu'il se nourrira d'espoir. Tu tes pares de l'un de ces masques que tu as l'habitudes de porter avec ces autres. Tu te planques derrière une pseudo froideur, ravalant une détresse dévastatrice. Encore faudrait-il que je t'ai aimer un jour. Les mensonges le heurtent. Tu vois la souffrance déformer ses traits, entremêler avec une rage et une colère que tu ne lui avais jamais vue. Ce n'était rien de plus qu'un jeu. Un peu de piment. Ce n'était qu'un moment suspendu dans le temps, en attendant de trouver celui avec lequel je partagerais ma vie. Tu le blesses pour le libérer, tu le blesses pour qu'il puisse oublier et guérir. Comment pouvais-tu te douter qu'il te rendrait cette douleur en restant auprès de toi, en demeurant ton ombre. Sa présence constante serait ton ultime punition. Alliance→ Tu es magnifique Il vient déposer ses lèvres contre ton front, laissant une empreinte chaleureuse contre ta peau. Tes mains se nouent, nerveusement, alors que tu sens le poids de ton anneau de fiançailles peser sur ton annulaire, il semble porter le poids de ta souffrance. Il est là? vent de froideur qui s’extirpe de tes lèvres. Une expression glaciale fige tes traits de porcelaine, pour masquer les émotion profonde qui font tressaillir ton âme. Tes iris sombres reste ancrer dans les orbes de ton frère, sondant son âme, recherchant des réponses dans ses silences. Tu ne devrais même pas peser à lui. Il place le bouquet entre tes mains, ses doigts se glissent contre les tient quelques secondes. Ce n'est pas pour lui, mais par respect pour Marius. je vais devenir sienne... Un soupire s'échappe de lui alors que son menton signe à la négative, son regard ce fait plus dure. Il ressemble tellement à votre père comme cela. Tu peux essayer de t'en persuader, mais e me mens pas, pas à moi. Tu ouvres la bouche et la referme aussi tôt, blessée qu'il ait pu lire en toi avec tant de facilité. Tu ne te donnes pas la peine de répondre, rongée par l'idée qu'il se trouve là, comme il l'a toujours été, rongée par la peur que le voir te fasse renoncer à ce mariage. Il relâche tes mains, parcours ton avant bras pour te saisir le coude. Il t'emmène avec lui, il t'emporte jusqu'à ce destin inévitable qui t’effraie tant. Je ne serais pas loin, tu n'as rien d'autre à faire que de marcher vers lui. ne regarde que lui. Le reste n'a pas besoin d'exister. Un nouveau baiser déposer contre ton front. Il te laisse, t'abandonne, sans se douter que cette marche ressemble d'avantage à une mise à mort. La musique vient te surprendre, elle te soulève le cœur et provoque un frisson qui glisse délicieusement le long de ta colonne vertébrale. Tu avances jusqu'à la porte. L'allée, les fleurs, les regards posées sur ta personne. Tu es pourtant coutumière de ce genre d'attention, à dire vraie, tu as tendance à rechercher ce genre de situation. Mais il y a ce poids qui t'écrase le cœur, il y a ce regard qui pèse sur ton épaule, douloureux et suspicieux. Il est là, comme il l'a toujours été, la haine qu'il te voue aujourd'hui est insupportable. Les souvenirs de cette amour passionné te font tourner la tête. Ses baisers ardents semblent avoir laissé des brûlure contre ta peau, ses mains semblent encore parcourir ton corps. Tu respires, profondément, tu cherches un point d'ancrage. Lui. Marius. Il est là, trônant au bout de cet allée. Il est là, ton avenir. Tu oublies tout le reste. il n'y a que lui. Uniquement lui. Ta vie est enlacée à la sienne. Il est beau, il est lumineux, il évince toutes les personnes présence. Et l'ombre de Klaus ne semble plus être qu'un affreux souvenir... Jusqu'à la prochaine fois.
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